Amsterdam, une de ces maisons étroites légèrement penchées sur l’eau des canaux, derrière sa façade se cachent Anne Frank et sa famille. C’est ici la maison des Gies (les Van Santen du « JOURNAL D’ANNE FRANK »).
Aujourd’hui Miep Gies témoigne. Après quarante ans de silence, elle s’est enfin décidée à raconter de quelle façon elle a essayé de sauver l’adolescente et les siens, et comment elle a protégé ceux qui vécurent la peur et la clandestinité, terrés dans le local exigu de l’Annexe.
« … II n’est pas un jour où je ne songe à ce qui se passa… »
J’étais sa petite prisonnière
4ème de couverture personnalisé :
Alors que Jane n’a que quatre ans, sa vie se transforme en cauchemar. En effet, son beau-père qui est un homme violent et terrifiant, commence à abuser d’elle. La fillette va subir quotidiennement, des viols, des coups et du sadisme psychologique. Elle grandit et reste prisonnière d’une véritable maison des horreurs.
Autour d’elle, tout le monde sait ce qui se passe, mais personne ne lui vient en aide, par lâcheté et par peur. Durant dix-sept années, Jane subira ce calvaire ! Un jour, elle trouve enfin la force et le courage de s’enfuir. Par la suite, la fillette devenue femme, va se rendre à la police pour dénoncer son bourreau. C’est seulement à partir de ce moment que, pour Jane, la vie va vraiment commencer.
Avis personnel sur ce livre :
Un livre vraiment bouleversant et poignant et touchant. Quand on lit ces lignes, on se demande comment des êtres aussi monstrueux peuvent exister et faire cela à des enfants. Jane a du être quelqu’un de très courageux pour supporter de telles horreurs, mais elle a dû être davantage courageuse pour briser ses chaines et se libérer de l’emprise de son bourreau.
Ce que j’ai trouvé vraiment révoltant dans ce livre, c’est la réaction de la famille de Jane et, en particulier la réaction de sa mère et de ses frères. Nous ne sortons pas indemne de la lecture de ce livre.
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