Demain je pars…


4ème de couverture personnalisé :


Est-ce que cela vous est déjà arrivé d’avoir envie de tout plaquer, quelque soit votre âge ? De vous demander si vous aviez fait le bon choix ? Où bien si vous êtes fait pour autre chose ? Ne vaut-il pas mieux regretter quelque chose que l’on a faite plutôt qu’une chose que l’on n’a pas faite ? Alors que faire ? Garde cette idée, de tout plaquer, de changer de vie, comme un beau rêve, ou bien partir au risque de se ramasser et de gâcher sa vie ?


Avis personnel sur ce livre :


J’ai beaucoup aimé ce récit de Laurent Leoncini. L’écriture est fluide et l’auteur nous emmène à travers les interrogations de deux personnages, vraiment attachants, Hugo et Anna. Ces deux personnes ne rêvent que d’une chose. Vivre le grand amour sur les îles.
Il y a un point que j’ai particulier aimé, c’est le fait que l’auteur arrive à se mettre dans la tête d’Anna. Ce n’est pas toujours une tache aisée de se mettre dans la tête de quelqu’un qui est de l’autre sexe. D’ordinaire, les histoires d’amours, ne sont pas un genre que j’affectionne particulièrement mais ici j’ai vraiment apprécié. L’histoire est très bien écrite, au point que nous voulons connaitre la suite, et savoir comment cela se termine.

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A propos de l'auteur

Cela ne vous est jamais arrivé d’avoir envie de tout plaquer, que vous ayez seize, vingt-cinq, quarante ou cinquante ans ? Changer de pays, de climat, de culture, de vie. Voir de nouvelles personnes, vivre sous un autre rythme. L’homme est-il fait pour vivre toute son existence avec la même femme ? Ai-je fait le bon choix ? Ne suis-je pas fait pour autre chose ? Après tout, je n’ai qu’une seule vie, je prends le risque ou pas ? Tout plaquer sur un coup de tête déjà trop réfléchi, remplacer ses habitudes quotidiennes pour découvrir quelque chose de nouveau. Pas comme une aventure de vacances pour faire un break, mais partir sans avoir l’idée de revenir, un départ sans retour possible dans le passé. Ça fait quoi de partir sans se soucier de payer son loyer, ses factures, de laisser ses meubles, ses souvenirs, ses vieilles pantoufles usées que l’on gardait sans savoir pourquoi, son bol de café. Est-ce de la lâcheté, ou du courage ? Plus aucun souci, fini les problèmes, une vie nouvelle t’appartient car je suis libre de faire ce que je veux, mon existence n’est pas celle de ma famille, elle est mienne. Ne vaut-il pas mieux regretter une chose que l’on a faite plutôt qu’une que l’on n’a pas faite ? Alors quoi faire, garder cette idée comme un beau rêve auquel on pense chaque nuit et que l’on oublie quand le réveil sonne, pour vivre une vie sans surprise dont on connaît déjà le déroulement. Ou bien partir au risque de se ramasser la figure, et de gâcher sa vie?

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