Effet miroir

4ème de couverture personnalisé :

Romane, jeune femme trentenaire, donne des stages de déburnerie, ainsi que des conférences sur le sujet. Lors de l’une d’elles, alors que Romane s’apprête à parler, le micro part dans un terrible larsen. Un homme au premier rang s’esclaffe : « Ah ! Les femmes et la technologie… » La conférencière rend grâce de manière silencieuse à cet homme, car cela lui permet de confirmer l’importance de l’ampleur de sa mission. Réduire le taux de burnerie.

Les symptômes de ce mal sont, aussi bien, féminin que masculin, et ils sont très connus. Ils sont : sentiment de supériorité, égocentrisme, penchant naturel pour les jeux de pouvoir, inflation de l’égo, mauvaise foi…

Les burnés sont légion. C’est pour cette raison que Romane a décidé de fonder sa société Sup’ de burnes, afin d’aider ses stagiaires dans leur parcours de déburnerie. Ses méthodes originales et surprenantes ont le vent en poupe. Lors d’une nouvelle session la jeune femme accueille 5 nouveaux stagiaires, dont l’un est Maximilien Vogue, célèbre PDG, d’un des plus grands groupes cosmétique au monde.

Cet homme est charismatique… et terriblement burné ! Romane aura bien du mal, tant pour l’accompagner à changer que pour lui résister…

Avis personnel sur ce livre :

J’ai entamé ce livre en version audio, bien qu’à l’origine je l’avais en version papier. Si j’ai décidé de l’écouter au lieu de le lire, c’est parce-que je voulais tester les livres audio et que je sentais que je n’arriverais pas à le lire en papier, et aussi je n’étais pas motivée pour le visuel à ce moment là.

Je pense que j’ai bien fait de le prendre en audio, car j’ai eu dû mal à suivre l’histoire et je pense que si je l’avais lu, je n’aurais pas aimé, alors que là, mon avis est plutôt mitigé. L’histoire est sympathique, mais il y a quelque chose qui fait je n’ai pas plus aimé que cela. Je ne saurais pas dire ce que c’est. Peut-être que le livre « le jour où les lions mangeront de la salade verte » n’était pas fait pour moi, où alors je l’ai écouté au mauvais moment.

En ce qui concerne la personne qui lit le livre j’ai trouvé qu’elle lisait très bien, et aussi qu’elle faisait les différentes voix, ou en tout cas qu’elle essayait. Elle mettait aussi du ton quand elle lisait.