En 1381, la grande peste et la Guerre de Cent ans ont ruiné le royaume d’Angleterre. Quand le roi décide d’augmenter les impôts, les paysans se rebellent. Parmi les héros de cette première révolte occidentale : John Wyclif, précurseur du protestantisme, Watt Tyler, grand chef de guerre, John Ball, prêtre vagabond qui prône légalité des hommes en s’inspirant de la Bible. Mais on trouve aussi des femmes, dont Joanna, une Jeanne d’Arc athée, qui n’a pas sa langue dans la poche et rejoint cette aventure en se disant que, puisque l’on parle d’égalité, il serait bon de parler d’égalité homme-femme.
Les Catilinaires
4ème de couverture personnalisé :
Emile est un ancien professeur de latin et de grec quand, il se retire avec sa femme Juliette dans une maison paradisiaque, éloignée de tout, avec la certitude absolue d’y vivre heureux, jusqu’à la fin de leur vie. Cependant, au bout d’une semaine de pur bonheur, quelqu’un va sonner à leur porte. Il s’agit de Palamède, leur unique voisin. Celui-ci va prendre l’habitude de s’imposer tous les jours de quatre à six heures, sans ne jamais rien dire. Pour le couple, cette présence muette, ainsi que grossière et envahissante, va vite s’avérer plus dérangeante que les bavardages les plus intempestifs. Mais pour les deux amoureux, la descente aux enfers ne fait que commencer…
Avis personnel sur ce livre :
Une fois encore, en lisant un livre d’Amélie Nothomb, je n’ai pas été déçue. Ce ne fut le cas qu’une seule fois avec « Le sabotage amoureux ».
En ce qui concerne « Les catilinaires » je l’ai adoré. D’une certaine façon, il m’a fait penser au livre « Cosmétique de l’ennemi ». Une discussion sur le bien et le mal, sous plusieurs formes. Différentes question se posent dans ce récit. Est-ce bien ou mal de se laisser envahir par un voisin, qui n’a plus goût à rien ? Est-ce bien ou mal de vouloir sauver ce même voisin qui nous empoisonne ? D’autres questions de ce genre se posent.
Une fois encore j’ai adoré Amélie Nothomb. Comme je l’ai dis un peu plus haut, il n’y a qu’un livre d’elle jusqu’alors que je n’ai pas apprécié. Mais ce n’est pas parce-que nous adorons un ou une auteur(e), que nous allons aimer tous ses ouvrages.
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