Entre les années 1915 et 1946, l’histoire de Thomas, un gamin du Nord, qui tente de vivre et d’aimer malgré toutes les épreuves qu’il traverse.
Enlevé à sa mère dès sa naissance, il passe son enfance et son adolescence dans un orphelinat à la discipline impitoyable. A sa sortie, il est placé dans une ferme comme ouvrier agricole. Des années plus tard, la mère de Thomas se met à la recherche de son fils…
A travers la vie au quotidien de cette région du Nord si chère à Marie-Paul Armand, L’Enfance perdue est un émouvant roman où l’on retrouve avec bonheur Pauline, l’héroïne de La Cense aux alouettes, un grand succès de l’auteur.
Edition du Club France Loisirs, Paris,
avec l’autorisation des Presses de la Cité
Editions France Loisirs,
123, boulevard le Grenelle, Paris
www.franceloisirs.com
© Presses de la Cité, 1999
ISBN : 2.7441.3455.4
Cet ouvrage a été achevé d’imprimer
sur Roto-Page
par l’imprimerie Floch
à Mayenne
pour le compte de France Loisirs
en janvier 2000
Cet ouvrage est imprimé
sur du papier sans bois et sans acide.
N° d’édition : 32878. N° d’impression : 47753
Dépôt légal : février 2000
Imprimé en France
Etat du livre : Bon état.
Benoît, le fils de Louise, va réaliser son rêve : conduire ce monstre d’acier, la légendaire Pacific 231. Mais, après la « drôle de guerre », voici la débâcle, l’occupation nazie dans le nord devenu zone interdite, les années noires…
Louise, son mari et son fils participent activement à la résistance, établissent des filières d’évasion des réfractaires et des aviateurs alliés. Un drame conjugal va assombrir les jours glorieux de la Libération : l’infidélité de la femme de Benoît amène la honte sur la famille.
Avec l’après-guerre revient le temps de la sérénité. Louise aura la joie de voir naître ses petits-enfants et Benoît transmettra à son fils, Mathieu, le flambeau de la lignée des cheminots. Avec l’électrification, c’est une époque qui s’achève.
Une édition du club France loisirs, Paris,
réalisée avec l’autorisation des Presse de la Cité
© Presses de la cité, 1992
ISBN 2-7242-7259-5
Achevé d’imprimer
en juin 1993
par Printer Industria Gráfica S.A.
08620 Sant Vicenç dels Horts
Depósito Legal B. 12401-1993
pour le compte de
France Loisirs
123, Boulevard de Grenelle,
Paris
N° d’éditeur : 22460
Dépôt légal : Juin 1993
Imprimé en Espagne
Etat du livre : Bon état. La jaquette a quelque peu vieillie mais son état est acceptable. En 4ème de couverture, quelques griffes assez légères sont présentes dont une beaucoup plus prononcée (visible sur le bas de la jaquette présentée).
« Une poignante histoire d’enfant arraché à sa mère célibataire en 1915 pour être confié à un orphelinat… Un récit très touchant mais aussi un témoignage bouleversant sur la vie des orphelins du début du siècle. »
Jean-Paul Guéry, Le Courrier de l’Ouest
Couverture : Francis Pessin
Illustration : Henri Martin / edimedia
ISBN 2-7441-3455-4
420189
| Poids | 399 g |
|---|---|
| Dimensions | 20.7 × 14.1 × 2.7 cm |
| ISBN 10 | 2-7441-3455-4 |
| ISBN 13 | 978-2-7441-3455-5 |
| Format | Relié |
| Nb pages | 354 |
| EAN | 9782744134555 |
4ème de couverture personnalisé :
L’histoire de « La Faucheuse » se déroule en MidAmérique, anciennement l’Amérique du nord, dans le milieu du troisième millénaire. La mort a été vaincue. Plus personne ne peut mourir sauf en étant glanée par un Faucheur professionnel.
Citra et Rowan, deux adolescents, ont été choisi pour devenir apprentis-Faucheurs. Ils ont tous les deux cette vocation en horreur. Malgré cela ils vont devoir apprendre l’art de tuer et comprendre en quoi cette mission est bel et bien une nécessité. Au début de l’apprentissage, les deux vont se rapprocher, mais quand ils apprennent qu’un seul sera choisi comme apprenti, et que sa première mission sera de glaner le perdant, alors Citra et Rowan se retrouvent dressés l’un contre l’autre malgré eux…
Leur mentor, va leur apprendre à respecter le code des Faucheurs, et à vivre une vie simple, sans tomber dans l’opulence. Car, malgré le fait que les Faucheurs forment une communauté à part, ils ont des règles à suivre. Comme tuer sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation. Ils doivent accorder un an d’immunité à la famille du glané qui a accepté son sort. Ils doivent tuer la famille de celui qui a fui. Ces règles ne sont que des exemples, il y en a d’autres encore.
Avis personnel sur ce livre :
J’ai vraiment adoré ce livre. Au départ je l’avais trouvé un peu long à se mettre en route, mais avec le recul je me rends compte que c’était pour faire en sorte que l’histoire se mette bien en place. Une fois tout mis en place, on ne voyait pas les pages tournées. J’ai trouvé l’univers très immersif. On s’attache aux différents personnages sauf à certains, car bien évidemment comme dans tout les livres il y a des personnages détestables.
D’ordinaire je n’aime pas trop lire des suites, ou du moins je n’en ai pas l’habitude mais Neal Shusterman, ma conquise et je lirais la suite sans la moindre hésitation.
4ème de couverture personnalisé :
L’histoire se déroule en Californie, durant la Grande Crise. Nous suivons Lennie et George, qui vont de ferme en ferme. Ils travaillent des les fermes des autres en attendant d’avoir leur propre ferme à eux, avec un petit bout de luzerne pour élever des lapins. Lennie, malgré sa grande taille, n’a pas plus de malice qu’un enfant de 6 ans. George veille sur lui et le protège du monde qui n’est pas tendre aux innocents.
Le soir, ils se racontent leur rêve, celui d’avoir une maison et des lapins. Mais parfois, les rêves de certains finissent en cauchemars.
Avis personnel sur ce livre :
J’avais entendu parler de ce livre, et je voulais me faire mon propre avis, car j’avais entendu des avis divergents. Bien que ce fût une bonne lecture, et une bonne découverte, je reconnais que je n’ai pas pleinement apprécié ce livre. Je suis peut-être passée à côté de quelque chose. Il est aussi possible que je ne l’ai pas lu au bon moment, afin de rentrer pleinement dans l’histoire. Je pense que je n’ai pas su l’apprécier à sa juste valeur.
4ème de couverture personnalisé :
Lorsqu’un macho, séduisant jusqu’au bout des chaussettes, et une féministe, séduisante jusqu’au bout des convictions, se rencontrent que se passe-t-il ? Quand la féministe adhère au club « En avant toutes ! » et le macho eu mouvement « Ni brutes. Ni soumis » ? Quand les deux s’affrontent violemment dans une émission de télévision et que, sans crier gare, l’Amour débarque dans la bagarre ? Les deux vont-ils réussir ce défi ? Un couple basé sur un équilibre nouveau?
Avis personnel sur ce livre :
Comment vous dire ? Parti dans l’idée de passer un bon moment, je ne peux que vous avouer mon désarroi et ma déception. D’un côté, le féminisme à 100%. De l’autre, le machisme également réglé sur 100%. Ni l’un, ni l’autre ne font et ne feront de concessions. Tel un mauvais film, l’on pense que la scène suivante sera meilleure. Malheureusement on s’y enlise de plus en plus et l’ensemble traine en longueur.
Ayant eu de bons avis sur Françoise Dorin sur d’autres sites internet mais n’ayant jamais personnellement lu autre chose de cette autrice, je reste perplexe. Je ne dis pas que je ne lirais rien d’autres de ses ouvrages, mais je ne m’attendais pas à faire un résumé aussi court de ce récit. Ceci n’est que mon jugement et ne peut être considéré comme parole d’évangile. Surement et je vous le souhaite, l’apprécierez-vous d’une autre façon ?
4ème de couverture personnalisé :
Pour Annie Ernaux, la fréquentation de l’hypermarché est loin de se résumer à la seule corvée des courses. Elle va tenir un journal de ses visites au magasin Auchan des Trois-Fontaines. La romancière livre dans ce récit des sentiments mêlés, attirance mais aussi interrogations, que suscite en elle ce haut lieu de l’abondance…
Avis personnel sur ce livre :
Je ne regrette pas d’avoir lu ce récit. J’avais lu d’autres livre de la collection ‘Raconter la vie’ dont ce récit fait partie et je les ai tous apprécié. La lecture de cet ouvrage me permettra de voir les magasins avec un autre œil. La plume de l’autrice est magnifique.
Le fait que le récit soit sous forme de journal, rend l’ouvrage plus intéressant encore.
4ème de couverture personnalisé :
Elle a pour nom Hélène, mais se fait appeler Joe car elle rêve de vivre en garçon comme lady Oscar, son héroïne de dessins animés préférés. Lady Oscar est le capitaine de la garde rapprochée de Marie-Antoinette. Comme lady Oscar, Hélène aimerait vivre à une autre époque et réaliser de nombreux et glorieux exploits. Elle a l’âme romantique et un imaginaire avide de drame. Malheureusement pour elle, elle doit se contenter de distribuer les journaux, puis de travaille comme serveuse dans une salle de bingo. Après tout, elle n’a que huit ans même si elle prétend en avoir dix, au début du roman.
Hélène vit dans un quartier populaire, qui est peuplé de gens hauts en couleurs dont le plus attachant est sûrement son nouveau voisin, Monsieur Roger, un vieil homme, qui ne rêve que d’une chose, mourir. Les deux personnages vont développer une amitié indéfectible.
Avis personnel sur ce livre :
Je ne connaissais ni ce récit, ni l’autrice. Je pense que ce n’est pas le genre de livre vers lequel je serais allée instinctivement si je ne l’avais pas eu dans un cône surprise. Ce fût une belle découverte, mais j’ai mis un certain temps à lire cet ouvrage, car je n’arrivais pas à me concentrer pleinement dessus.
Hélène se fait appeler Joe car, elle rêve de devenir comme son héroïne lady Oscar. Parfois, la fillette va même se prendre pour le personnage du dessin animé. Mais il n’est pas toujours facile de faire la différence entre les deux, parce qu’il n’y a pas de transitions claires, par conséquent c’est compliqué pour suivre.
Il y a aussi un point qui m’a bloqué sans être trop gênant, c’est le fait que certains mots soient en québécois. Quand on n’a pas l’habitude cela perturbe. Mais ce qui est bien en revanche c’est qu’il y a un lexique à la fin du livre pour savoir ce que veulent dire les mots.
En tout cas ce fût une belle découverte. Je ne suis pas pleinement convaincue, mais je lirais d’autres ouvrages de cette autrice sans problème.
4ème de couverture personnalisé :
Dans le magasin des suicides, on aide tous ceux qui veulent mourir en se suicidant. Dans cette petite entreprise familiale on y vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se donner la mort. Cette boutique prospère dans la tristesse et l’humeur sombre jusqu’au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre…
Avis personnel sur ce livre :
J’avais beaucoup entendu parler de ce livre, que ce soit en positif ou négatif, alors je voulais me faire ma propre idée. Je l’ai commencé en version audio et je n’ai pas réussi à terminer l’écoute. Je sais que parfois quand je prends un livre en audio et que je n’arrive pas à le terminer, je vais essayer en version papier. Mais avec ce livre ce n’est pas le cas. L’écoute ne m’a pas donné envie de tester le livre sur papier. Probablement parce-que je n’accroche pas à l’humour noir du magasin des suicides. Ce genre littéraire n’est sans doute pas fait pour moi.
En tout cas l’auteur ne m’a pas conquise avec ce livre, mais j’essaierai volontiers un autre livre de Jean Teulé pour me faire un autre avis.
Avis
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