Amour, meurtres et conspiration : une recette de la manipulation. A Nantua, dans le Jura, le lieutenant Gange élève seul sa fille de six ans. Gaëlle, sa femme, les a quittés sans donner de raison. Quand deux meurtres se produisent la même semaine dans ce coin du Jura où il ne se passe « jamais rien », Gange est entraîné dans une enquête explosive. Il s’oriente peu à peu vers l’Abbaye blanche, une secte particulièrement dangereuse, en cheville avec des notables locaux. Entre trafic d’art, âmes perdues et intervenants haut placés dans l’appareil d’Etat, il démêle peu à peu les fils et prend la mesure de l’iceberg qui se dresse devant lui. Les enjeux le dépassent, mais sa femme est peut-être victime de l’Abbaye blanche… L’Abbaye blanche est un polar rural, écrit comme un film d’action et d’aventure. Visuel, sonore et bourré d’humour noir, il met en scène des personnages réalistes et touchants, victimes de l’onde de choc, au niveau local, d’affaires qui les dépassent amplement. Soucieux d’explorer les dimensions sociale et politique, Laurent Malot développe les thèmes de la manipulation, du mensonge, de l’amour et de la mort. La secte manipule ses adeptes, l’appareil d’Etat manipule la secte, et Gange, ce montagnard qui est un modèle d’intégrité mais a aussi ses failles, ment à sa fille, à son entourage et à lui-même en prétendant ignorer pourquoi sa femme est partie. La part belle est faite à une galerie de femmes autour de lui, qui ne s’en laissent pas compter : la journaliste, la baby-sitter, la juge, etc. Au coeur du Jura, un des personnages clé du livre, dont les magnifiques paysages offrent des horizons plus larges qu’en ville et permettent l’émergence de la sagesse et de la vérité. Laurent Malot s’est mis à écrire des romans, des pièces et des scénarios dans sa chambre, à 19 ans, parce qu’il rêvait de travailler avec Steven Spielberg. Il a gagné ses premiers droits d’auteur grâce à des fictions radio. Son premier roman, De la part d’Hannah (Robert Laffont, 2014) a conquis près de 25 000 lecteurs. Mêlant habilement thriller politique et roman noir, L’Abbaye blanche est son premier polar.
Meurtres en blouse blanche
4ème de couverture personnalisé :
A l’hôpital John Carpendar, un imposant établissement qui abrite plusieurs services, dont une école d’infirmières est témoin de plusieurs morts mystérieuses. La première victime est une élève infirmière, tuée d’une façon atroce. Les suspects ne manquent pas. Il y a les infirmières, la directrice, ses trois secondes, mais aussi le grand patron, le docteur Courtney-Briggs, qui avait eu une liaison avec l’une des victimes.
L’enquêteur en charge de l’affaire, le commissaire Dalgliesh aura fort à faire pour dénouer une intrigue qui nous emmène vers le passé.
Avis personnel sur ce livre :
C’est le premier livre que je lis de P.D James et je dois avouer que je ne suis pas pleinement convaincue, par son style d’écriture. Je n’ai pas pleinement adhérée à l’histoire. Le récit est bien, mais j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de passages descriptifs, peut-être un peu trop à mon goût. Cela fait perdre le fil de l’histoire selon moi et c’est dommage. Je me suis aussi perdue dans les personnages, je ne savais plus qui était qui, mais après peut-être était-ce dû au fait que je n’étais pas pleinement concentrée sur le livre.
Le récit de ‘meurtres en blouse blanche’ est très intéressant, mais je n’ai pas pleinement adhéré. Je pense que je lirais d’autres livres de P.D James pour me faire un avis plus concret sur son style d’écriture.
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