Le chagrin d’aimer


4ème de couverture personnalisé :


La narratrice dit ‘on écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas.’ Lorsqu’elle écrivait son roman ‘Vie de ma voisine’, elle s’est rendu compte qu’elle ignorait ce qu’était l’amour d’une mère. Par conséquent elle est partie sur les traces d’une petite fille grecque et arménienne et de sa mère.


Avis personnel sur ce livre :


Tout d’abord je remercie les éditions Grasset pour l’envoie du livre de Geneviève Brisac le chagrin d’aimer.
En refermant ce livre je dois avouer que j’étais assez perplexe. Dans cet ouvrage, l’auteure recherche ses origines, cherche à savoir qui sont ses ancêtres du côté de sa mère, mais j’ai eu l’impression qu’elle ne cherchait pas vraiment, mais peut-être que j’ai eu ce sentiment parce-que en lisant le résumé je m’étais fait une autre idée du contenu du livre.
A plusieurs moment durant la lecture de ce livre j’ai trouvé une certaine ressemblance avec Frappe-toi le cœur d’Amélie Nothomb à savoir, une fille qui recherche l’amour de sa mère. J’ai trouvé une certaine ressemblance dans le fait que l’une des deux est jalouse de l’autre bien que dans Frappe-toi le cœur c’est la mère qui est jalouse de la fille et dans le chagrin d’aimer c’est la fille qui est jalouse de la mère. En tout cas c’est comme ça que je l’ai ressenti.
Je trouve que l’écriture est fluide et facile et lire ce livre m’a donné envie de découvrir d’autres ouvrages de Geneviève Brisac, car j’ai vraiment apprécié sa plume et cela me permettra d’ouvrir mes horizons littéraires davantage.
L’auteure fait allusion à la mythologie grecque, au génocide arménien, les deux guerres rapidement, la folie des années vingt. Toutes ces périodes, excepté le génocide arménien car je n’en ai pas entendu parler ou très peu ce qui fait que je n’ai pas d’intérêt plus que cela mais ils serait bien de s’y intéresser, sont des périodes qui m’intéresse énormément.
Bref, hormis le fait que je sois sortie perplexe de cette lecture j’ai vraiment apprécié cet ouvrage et je pense que ça sera avec plaisir que je lirais d’autres livres de Geneviève Brisac.

Comparer cet ouvrage avec...
9782246813309 / ISBN-13 : 978-2-246-81330-9 ,

A propos de l'auteur

« On écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas. Quand j’écrivais Vie de ma voisine, mon héroïne me parlait de sa mère. Elle me racontait ses mots, elle évoquait ses gestes. L’amour d’une mère. Je mesurais mon ignorance dans ce domaine. Ma mère n’en savait ni les mots ni les gestes.
Je suis donc partie sur les traces d’une petite fille grecque et arménienne et de sa mère, danseuse orientale et apatride, à Paris dans les années 20.
Ma mère ne voulait rien savoir de son passé. Il a fallu que j’enquête et que je l’invente. Que je trouve les mots pour la retrouver. C’est ce livre, Le chagrin d’aimer.
Je suis passée par la cour du roi de Grèce et par les collines de Fiesole. Par un atelier d’écriture, une maison de retraite, plusieurs voitures, un supermarché, des quantités de paquets de gauloises, une machine à écrire. Autant de circonstances, par-delà les guerres, les destructions, les irrémédiables pertes, où ma mère se battait avec ce qui fait la vie ordinaire : la nourriture, l’argent, le travail, l’amour.
J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur elle, sur moi. Chemin faisant, j’ai compris que ce n’était qu’un début. »

Poids 197 g
Dimensions 20.5 × 13.1 × 1.3 cm

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Le chagrin d’aimer”