2084.
50 ans que les naissances sont régies par la Prolificité.
50 ans que les filles sont stérilisées et que seules des Porteuses, sélectionnées pour leur patrimoine génétique irréprochable, fournissent la population en bébés qui tendent à atteindre l’excellence.
Dans ce monde de perfection, contrôlé et normé, 54 ans après le pic des naissances qui fut à l’origine de toutes ces perturbations, le destin d’Inaya, jeune Porteuse aux résultats exceptionnels, va être bouleversé.
Si les symptômes apparaissent, il est déjà trop tard…
Folie, violences, suicides…
Tandis qu’une épidémie aussi étrange que terrifiante fait rage, la situation se dégrade à mesure que le gouvernement s’en empare.
Alors que les morts s’accumulent, Aedan se retrouve séparé de sa famille, ainsi que de la femme qu’il aime.
Entre survivre et rester libre, Aedan devra-t-il choisir ?
.
| ISBN 13 | 9782957349715 |
|---|---|
| ISBN 10 | undefined |
| Format | Broché |
| Parution | 1-01-2021 |
4ème de couverture personnalisé :
Lauri Kenyon, une étudiante de 21 ans est arrêtée pour le meurtre de son professeur. Ses empreintes ont été retrouvées partout y compris sur l’arme du crime. Tous les indices l’accablent, même si elle ne se souvient de rien. Sarah, la sœur de Laurie, refuse de croire que celle-ci soit coupable.
Avec l’aide d’un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie qui peut explique le présent. L’enlèvement de l’étudiante alors qu’elle avait 4 ans, les violences subies et les graves troubles de la personnalité qu’elle a depuis, sans s’en apercevoir.
Alors que Laurie tente de retrouver ses souvenirs, un homme au regard fou n’a pas oublié la fillette qu’il avait aimé passionnément plusieurs années auparavant.
Avis personnel sur ce livre :
Mary Higgins Clark est l’autrice qui m’a donné le goût de la lecture et dont je n’avais plus lu de livre depuis un moment. Avec « Nous n’irons plus au bois » j’ai renoué avec la plume de cette autrice. J’ai adoré ce livre et quand je le lisais je ne voyais pas les pages se tourner tellement j’étais prise dans l’histoire.
Après un malaise inexplicable, Benjamin se retrouve brutalement hospitalisé À son réveil, un voile épais recouvre ses souvenirs, laissant dans l’ombre les moments qui ont précédé ce dramatique épisode.
Mais une douloureuse nouvelle lui est révélée : sa femme et sa fille, en route pour le rejoindre à l’hôpital, ont été victimes d’un accident de la route.
Leur disparition abrupte plonge Benjamin dans un cauchemar éveillé, où le deuil se mêle à l’amnésie.
Au cœur de la tourmente, une réalité plus déconcertante se dévoile peu à peu. Benjamin réalise qu’il est en proie à des bonds dans le temps, des sauts qui le transportent sans crier gare vers des moments passés ou futurs, sans qu’il puisse en comprendre le pourquoi ni le comment.
Plongé dans cette dualité entre une vie fragmentée par les sauts temporels et le deuil inconsolable de ses proches, Benjamin se lance dans une quête effrénée pour élucider le mystère qui lie ces deux réalités. Chaque saut dans le temps devient un indice à décoder, chaque instant vécu devient un pas de plus vers la vérité.
« Toi, mon âme et la mort » vous plonge dans l’univers tourmenté d’un homme en lutte contre les méandres du temps.
Hippolyte Delay est un amateur de cigare autodidacte. Il vient d’intégrer un prestigieux club de passionnés de Havanes, et il n’en est pas peu fier. Il y côtoie tout ce que la cité de Calandreville compte de notables. Parmi eux, Maître Lecornu, notaire, qui reçoit dans son manoir. La bibliothèque, meublée de fauteuils chesterfield, accueille luxueusement tout ce petit monde. Mais, pendant ce temps, une jeune fille a été enlevée. Le commandant de gendarmerie Lopez, grand amateur de cigares lui aussi, va demander de l’aide à ce brave Hippolyte pour résoudre cette enquête qui s’annonce délicate… Et si le maître des lieux avait quelque chose à se reprocher ?
Pascal Neufville écrit là sa deuxième fiction, après « Homicide au Bloc Opératoire ». L’ambiance chic et feutrée des soirées dégustation de cigare dans cette bibliothèque cosy nous ramène immanquablement vers un univers de style anglais cher aux autrices d’outre-Manche. Un cheminement difficile pour cette intrigue (où les suspects sont nombreux), et un final inattendu, rendent ce récit haletant.
4ème de couverture personnalisé :
Dans ce troisième opus intitulé Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, nous retrouvons Harry âgé de 13 ans désormais. Pour les vacances d’été il est retourné chez sa tante et son oncle qui vivent à Little Whinging.
Il va apprendre l’évasion d’un dangereux criminel qui a réussi à s’échapper de la prison d’Azkaban. Il s’enfuira de la maison après qu’il est jeté accidentellement un sort à la sœur de son oncle. Plus tard Harry prendra connaissance du fait que le criminel évadé est à sa recherche. La prison où était détenu ce fugitif est l’endroit où sont enfermés les plus dangereux sorciers.
Durant toute l’année scolaire une chasse à l’homme se fera entre eux, comme une danse en quelque sorte. Le jeune Harry aura des alliés inattendus.
Avis personnel sur ce livre :
La lecture de ce tome 3 fut une lecture très perturbante car j’avais le film en tête à longueur de temps. J’ai trouvé qu’il y avait énormément de différence entre le film et le livre. Dans ce tome j’ai trouvé Hermione extrêmement agaçante, qui se plait dans son rôle de Miss-je-sais-tout, comme le dirait Rogue, mais cela reste mon avis.
Laissez-vous séduire par 7 nouvelles signées Désiré Nelson.
Embarquez vers un voyage mélancolique où s’entremêlent les émotions.
L’amour, la haine, la trahison, la vengeance…
Mars 1973. L’inspecteur Dubourg est chargé d’une enquête difficile : un étudiant de la fac a été retrouvé mort. Qui pouvait bien en vouloir à ce garçon plein d’avenir ?
Dubourg, ce flic à l’ancienne, revêtu de sa veste pied de poule est un peu perdu au milieu de tous ces jeunes gens aux cheveux longs. Il ne connaît pas le milieu universitaire. Il lui faudrait de l’aide…
Contre toute attente, il va trouver cet appui auprès d’un jeune et impertinent étudiant iconoclaste…
Pascal Neufville nous livre ici son troisième roman, après « Homicide au Bloc Opératoire » et « Volutes Kidnappées ».
La confrontation tout d’abord, puis la connivence entre un vieil officier de police et un étudiant que tout oppose a priori est une belle leçon d’amitié intergénérationnelle. Entre mini-jupes et pantalons « pattes d’eph », une double enquête menée par un duo improbable.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.