Romane a toujours le trac avant une conférence. Ce jour-là, au moment où elle s’apprête à prendre la parole le micro part dans un terrible larsen. Un homme au premier rang s’esclaffe : « Ah ! Les femmes et la technologie… » Romane rend silencieusement grâce à cet homme, qui lui permet de confirmer l’importance et l’ampleur de sa mission : réduire le taux de burnerie. Les symptômes de ce mal aussi bien féminin que masculin sont connus : sentiment de supériorité, égocentrisme, penchant naturel pour les jeux de pouvoir ou les rapports de force, inflation de l’égo, mauvaise foi, etc.
C’est parce que les burnés sont légion que Romane a décidé de créer sa société Sup’ de burnes, et d’aider ses stagiaires dans leur parcours de déburnerie. Ses méthodes originales et surprenantes ont le vent en poupe. Lors d’une nouvelle session Romane accueille Emilie, Nathalie, Patrick, Bruno, et le charismatique Maximilien Vogue, célèbre PDG d’un des plus grands groupes cosmétiques au monde. Charismatique… et terriblement burné ! Romane aura du pain sur la planche, tant pour l’accompagner à changer que pour lui résister…
Marguerite
4ème de couverture personnalisé :
L’histoire de Marguerite débute en 1905, dans un quartier modeste de Paris. La jeune femme s’affaire quotidiennement aux tâches ménagères ingrates données par sa famille, et les travaux de coutures dans l’atelier de Madame Lambert. Un jour alors que Marguerite se promène dans Paris avec l’une de ses créations sur elle, Joséphine, la propriétaire d’une luxueuse maison de mode, la repère et lui propose un emploi. C’est une occasion en or pour la jeune femme de s’émanciper d’une famille qui l’a toujours méprisée. De fil en aiguille, la talentueuse Marguerite va trouver sa place dans ce nouvel univers et bientôt croiser la route de l’amour, et de ses tourments.
Avis personnel sur ce livre :
Le livre « Marguerite » écrit par Suzanne Gachenot m’a fait au style Mari-Bernadette Dupuy, qui est une autrice très bien si l’on veut lire des romans où il y a de l’amour, mais pas trop et pas seulement. Pour ce récit, il y a certains passages que je trouvais un peu trop descriptif, mais j’ai du mal avec le genre descriptif. Il y a différents sauts dans le temps et il n’est pas toujours simple de déterminer si c’est le passé ou le présent.
Après avoir vécu un premier amour qui a disparu, Marguerite se marie avec François et je trouve dommage que l’histoire entre eux ne soit pas plus développée car j’aurais aimé en apprendre plus sur ce couple.
Je me rends compte que j’ai du mal avec le genre romantique, car bien que l’histoire soit intéressante et mignonne je n’ai pas accroché pleinement au récit.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.