Le sang du dragon

J’avais acheté ce livre lors d’un salon du livre à quelques kilomètres de chez moi. J’avais été à ce salon car il y avait une autrice que j’adore et j’en avais profité pour faire un tour. A un moment donné j’ai été attiré par ce livre, par sa couverture et j’ai lu le résumé et j’ai un peu discuté avec son auteur. Il m’a parlé un peu de son style d’écriture et parmi tous ses livres qu’il présentait j’ai décidé de prendre « le sang du dragon ».

Au début de ma lecture j’ai failli abandonner car j’avais du mal à entrer dans l’histoire mais j’ai persisté et je ne regrette pas du tout car même si ce n’est pas un coup de cœur, c’est une lecture agréable, c’est une lecture un peu simpliste mais dans le bon sens du terme, si un bon sens existe bien sûr.

J’ai adoré le personnage de Bart et aussi un peu celui de « bonbon rose », je dois avouer que je la cite par son surnom car j’ai oublié le prénom de son personnage.

C’est une bonne histoire mais j’aurais aimé avoir plus de détails sur certains points comme d’où vient « le sang du dragon ».

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9782953991703 / ISBN-13 : 978-2-9539917-0-3

A propos de l'auteur

Pas facile de se réinsérer lorsqu’on a fait carrière de voyou. Quant à vivre de sa peinture, c’est sans doute un noble rêve mais un rêve quand même et, en plus, qui coûte cher : les salles d’exposition, c’est pas donné. C’est dire que l’histoire démarre déjà mal pour notre héros arrivé au terme de ses économies mal-acquises. Et, parce qu’une histoire qui démarre mal ne peut qu’empirer, voilà que la tentation se présente sous les traits bonasses d’une vieille crapule de ses connaissances.
Il suffirait, après tout, d’un bien petit casse sans risque pour se renflouer. Pas deux. Un seul ! Il est clair que ce pauvre Ryu Bakkara a bien peu de chances de ne pas céder, surtout avec la remise d’une avance non négligeable. Il est vrai que voler le Sang du dragon, un rubis rare entouré d’une prestigieuse légende, dans un petit musée mal protégé, c’est une plaisanterie pour lui.
La plaisanterie est déjà moins drôle quand d’autres escrocs se trouvent sur les lieux, bien décidés à récupérer l’objet et sans états d’âme sur la valeur de la vie humaine, eux. Par chance, va savoir pourquoi, un chien secourable se trouvait sur place. Seulement, dans l’échauffourée, le Sang du dragon a été perdu. Que ledit chien soit un loup-garou est un détail. De ces détails sur lesquels se fondent les complicités bien comprises. Pas un luxe, donc, si l’on considère que Ryu ne peut compter que sur une unique amie, Abby, receleuse et tireuse d’élite, aussi rose qu’un bonbon anglais mais pleine de ressources cependant.
Un quatrième membre, des plus improbables, va cependant se joindre au trio. Une vampire à tendance dépressive. Qui sait pourquoi mais, en tout cas, elle ne va pas être de trop. C’est là la fine équipe qui va se trouver face à des escrocs, des tueurs, d’autres vampires, d’autres loups-garous et une redoutable sorcière.
Bref, une histoire loufoque que l’auteur nous bâtit, comme à son habitude, autour un héros un peu naïf, un peu malchanceux qui ne s’en tire guère que parce qu’un hasard facétieux lui tient lieu de main secourable. Sans doute, parce qu’il est juste que les bons soient récompensés et les méchants punis. Rien de littéraire. Pas de prise de tête, juste le plaisir de s’amuser sans y penser le temps d’un après-midi à la plage. Lecture bien utile donc aux neurones surchargés.

Poids 407 g
Dimensions 20.9 × 17.8 × 2.5 cm
ISBN 13

978-2-9539917-0-3

Format

Broché

Nb pages

306

Parution

08/06/2012

EAN

9782953991703

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