Vivre, quand on a seize ans, au sein d’un clan de sorcières sociopathes n’est pas facile tous les jours, moi, je vous le dis.
Entre les cours de sortilèges, de potions et de magie élémentaire des Vikaris, je suis au bout du rouleau.
Alors, si en plus, on commence à ramasser les cadavres dans tous les coins, je sens que je ne vais pas tarder à provoquer un massacre.
Parce qu’on peut dire ce qu’on veut : la patience, chez nous, n’est décidément pas un trait de famille…
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