Mars 1913. Après une chute à cheval, Guillaume Deferranges se voit offrir l’hospitalité par une modeste famille. En remerciement, il obtient pour Louise, la fille cadette, une place de domestique auprès de son oncle et sa tante. S’il est loin d’être insensible au charme de la jeune fille, celle-ci est agréablement surprise de découvrir que ce jeune bourgeois fortuné partage ses idéaux de paix et d’égalité. Entre eux, la complicité grandit. Quand le désir les emporte, Louise prend peur. Par amour, Guillaume semble prêt à tout affronter, mais l’annonce de leurs fiançailles provoque une telle hostilité qu’il s’enfuit à Paris. Louise se retrouve seule et sans travail. Elle accepte la demande en mariage du gentil Joseph, cordonnier. Mais la guerre approche et avec elle, son lot de bouleversements…
L’orpheline du bois des loups – Tome 1
4ème de couverture personnalisé :
L’histoire se déroule à Aubazine, près de Brive et commence en Mars 1906. Nous suivrons Marie. Au début du récit, elle a 13 ans et ne connaît de la vie que les recoins de l’orphelinat où elle a grandi. Une enfance pas toujours facile, mais baignée d’affection grâce aux sœurs de l’hospice. Un jour, une femme à l’aspect sévère propose d’accueillir l’enfant comme servante dans sa propriété.
A dater de ce jour, tout bascule pour Marie. Et pas en mieux. Elle est maltraitée, humiliée et méprisée par sa patronne. Marie travaille dure dans les champs et à la ferme. Sans compter, sur le neveu de la famille, Macaire, qui a une présence fallacieuse. La jeune enfant, ne peut compter que sur Jean Cuzenac, le propriétaire des lieux, pour lui témoigner une bonté et une délicatesse déconcertantes.
Dans cette lourde atmosphère, la jeune servante, trouve du réconfort auprès de Pierre, le fils des intendants. Elle trouve également du réconfort dans les superbes terres alentour du bois des Loups. Que deviendra la jeune Marie, aux prises avec les contraintes d’une époque, d’un milieu et d’une mémoire oubliée ?
Avis personnel sur ce livre :
L’orpheline du bois des Loups est le deuxième tome que j’ai lu de Marie-Bernadette Dupuy, après avoir lu « les amants du presbytère ». J’apprécie énormément la plume de l’auteure.
Dans le livre nous allons suivre Marie, qui a grandit dans un orphelinat. A l’âge de 13 ans, elle sera engagée comme domestique, par une riche famille des environs, les Cuzenac. C’est Amélie Cuzenac, l’épouse, qui viendra chercher la jeune fille. Sur le retour vers le domaine, en calèche, l’employeuse laissera la jeune fille à l’arrière, dehors sous la pluie. Cette dernière tombera malade. Cependant grâce à Nanette, une femme qui vit dans la ferme du domaine des Cuzenac, avec son mari et son fils, Marie ira vite mieux.
Amélie va mal se comporter avec l’enfant, mais peu de temps après la mort de la première, on comprend son comportement, sans que cela ne l’excuse. Dans le livre nous voyons la jeune Marie grandir avec ses joies et ses peines.
Je trouve que les livres de Marie-Bernadette Dupuy sont très bien écrits, et parfait pour quelqu’un qui veut lire une romance sans forcément être très romantique, donc pour moi c’est parfait. Grâce aux descriptions de l’auteure, nous imaginons aussi parfaitement les paysages des livres.
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