Dans ce roman, la jeune romancière belge narre sa vie au Japon jusqu’à l’âge de trois ans. À sa naissance et jusqu’à l’âge de deux ans et demi, Amélie est considérée par tous comme un « tube digestif inerte et végétatif dont les activités se bornent à ses besoins primaires». Cette vie passive est à l’origine d’une réflexion sur la vie, sur Dieu, mais aussi l’occasion de faire un portrait humoristique, voire satirique, de la vie familiale du point de vue d’un tube. À partir de l’âge de deux ans et demi, Amélie perd ce statut presque divin de tube pour devenir une enfant « normale » et décrit de façon humoristique la vie de son entourage.
Barbe bleue
4ème de couverture personnalisé :
Alors qu’elle recherche un appartement, Saturnine trouve une colocation dans un hôtel luxueux de Paris. Mais, car en effet, il y a un mais, il faut à Saturnine vivre avec le propriétaire et obéir aux conditions de celui-ci. A savoir ne jamais rentrer dans la pièce interdite, partager le diner du maitre des lieux, et devenir sa confidente. Et tout cela pourrait se révéler être au risque de la vie de la jeune fille. Et pourquoi cela ? Tout simplement car on attribue à l’aristocrate espagnol, la disparition de huit jeunes femmes, qui furent les colocataires avant Saturnine…
Avis personnel sur ce livre :
Pendant beaucoup de temps, j’adorais lire les livres d’Amélie Nothomb, mais depuis quelques livres déjà je sens que je décroche de sa plume. Je pense que Barbe bleue sera pour moi le dernier livre de cette autrice, du moins pour un certain temps. En effet, comme je l’ai dis je décroche de la plume de cette écrivaine et si je lis ou relis un de ses livres, je risque de ne pas être objective et ne pas apprécier le livre à sa juste valeur. Bien que l’histoire de Barbe Bleue soit intéressante, je n’ai pas su apprécié ce récit comme il l’aurait fallu. Si je n’ai pas su l’apprécié comme il faut, c’est parce que je le redis j’ai besoin d’une pause avec cette autrice, qui a une très jolie plume.
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