Le décor : l’hôpital John Carpendar, imposant établissement d’époque victorienne abritant plusieurs services, dont une école d’infirmières. La première victime : une des élèves, tuée d’une manière particulièrement atroce. Les suspects : les infirmières, et, surtout, la directrice, la formidable Mary Taylor, ses trois « secondes », mais aussi le grand patron, le docteur Courtney-Briggs, dont on découvre bientôt qu’il a eu une liaison avec l’une des victimes. L’enquêteur : le commissaire Dalgliesh, bien sûr, qui, face à des femmes aguerries à la souffrance, dures à la tâche, habituées au secret professionnel et farouchement féministes, aura fort à faire pour dénouer une intrigue dont les ramifications plongent loin dans le passé.
Le baiser du canon
4ème de couverture personnalisé :
Dans la ville du Havre, le commandant Faidherbe, de la brigade criminelle, a accepté d’être consultant pour le tournage d’un épisode d’une série policière. Il va tomber sous le charme d’une réalisatrice dominatrice. En parallèle, un réseau de voyants avec des pratiques peu orthodoxes, tente d’éliminer l’un des siens, lanceur d’alerte.
Devins, mages ou marabouts seront prêts à tout pour optimiser leurs prédictions et leurs gains. Faidherbe se trouvera alors pris entre deux feux…
Avis personnel sur ce livre :
Robert Vincent est un duo d’écrivain. Dans ‘le baiser du canon’ nous suivons un commandant de la police, qui a le rôle de consultant sur une série policière, le temps d’un épisode. En parallèle le commandant Faidherbe, va devoir enquêter sur le meurtre d’un voyant. Je pense que si l’écriture n’avait pas été fluide, j’aurais abandonné dès les premières pages.
Bien que le sujet soit intéressant et que ce soit bien écrit, je n’arrive pas à me plonger pleinement dans l’histoire afin de finir le livre, puisque j’ai abandonné à une soixantaine de pages de la fin. C’est le deuxième livre que je lis de ces auteurs, puisque comme je l’ai dit un peu plus haut, Robert Vincent sont deux écrivains, qui ont décidé d’écrire à quatre mains. Donc comme je le disais, c’est le deuxième livre que je lis d’eux, et je dois admettre que je n’accroche pas particulièrement à leur façon d’écrire.
C’est bien écrit et les sujets qu’ils peuvent aborder sont intéressants car leurs récits sont des policiers, et c’est un genre que j’affectionne particulièrement. En revanche, j’ai dû mal à adhérer au style de ces auteurs.
Je pense que je vais laisser du temps avant de retenter la lecture de l’un de leurs ouvrages.
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