Ninon Février, jeune femme indépendante, quitte la France en 2004 pour partir à la conquête du Nouveau Monde. C’est la première fois qu’elle s’expatrie, elle a pour mission d’enseigner le français à San Diego, en Californie ! Comment fait-elle la connaissance de Geneviève Legrand, une autre femme française partie pour San Francisco plus d’un siècle avant elle, en 1848, en pleine ruée vers l’or ? Par l’intermédiaire de l’écriture, car notre héroïne est chargée de traduire le récit de Geneviève pour ses descendants californiens. S’enchevêtrent alors le journal de l’une et celui de l’autre, deux lignes du temps, deux récits à la fois intimes et anthropologiques, dessinant une quête initiatique en miroir et invitant le lecteur à plonger dans l’héritage ancestral de la Californie.
Qui est la tribu Ohlone ? Que reste-t-il aujourd’hui de la spiritualité des peuples indigènes ?
Ninon aura besoin de Geneviève pour comprendre cette Californie qui cache bien plus de secrets que de stéréotypes. À travers ce double regard de femmes écrivaines-voyageuses, certes on redécouvre avec joie l’Amérique des pionniers, le Californian dream des self-made man, mais surtout on découvre les mythes et traditions d’un peuple oublié, qui semble avoir laissé une empreinte subtile dans l’esprit californien contemporain.
À la fois enquête, carnet de voyage, théâtre, correspondance épistolaire, ce roman hybride à la croisée des genres entremêle les époques et les destins, accompagnant le lecteur dans des pages méconnues de l’histoire franco-américaine.
Le magasin des suicides
4ème de couverture personnalisé :
Dans le magasin des suicides, on aide tous ceux qui veulent mourir en se suicidant. Dans cette petite entreprise familiale on y vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se donner la mort. Cette boutique prospère dans la tristesse et l’humeur sombre jusqu’au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre…
Avis personnel sur ce livre :
J’avais beaucoup entendu parler de ce livre, que ce soit en positif ou négatif, alors je voulais me faire ma propre idée. Je l’ai commencé en version audio et je n’ai pas réussi à terminer l’écoute. Je sais que parfois quand je prends un livre en audio et que je n’arrive pas à le terminer, je vais essayer en version papier. Mais avec ce livre ce n’est pas le cas. L’écoute ne m’a pas donné envie de tester le livre sur papier. Probablement parce-que je n’accroche pas à l’humour noir du magasin des suicides. Ce genre littéraire n’est sans doute pas fait pour moi.
En tout cas l’auteur ne m’a pas conquise avec ce livre, mais j’essaierai volontiers un autre livre de Jean Teulé pour me faire un autre avis.
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