« Orgueil et préjugés et zombies », c’est la rencontre délirante entre le roman culte de Jane Austen et… des milliers de morts-vivants. Le résultat : un livre qui pour les trois quarts est du pur Jane Austen, le récit des intrigues matrimoniales qui animent le petit village anglais de Meryton, et notamment la famille Bennet, laquelle a cinq filles à marier ; le quart restant, ce sont les zombies, qui attaquent inlassablement les habitants de ce paisible village.
Car, dans cette version azimutée d’ « Orgueil et préjugés », une terrible calamité s’est abattue sur l’Angleterre : les morts se sont réveillés et en veulent terriblement aux vivants. Non contentes de trouver un mari, les demoiselles Bennet doivent se défendre contre les zombies, autrement dit les « innommables » ; entre deux tasses de thé chez le châtelain voisin, elles sortent leurs dagues et massacrent allègrement les suppôts de Satan.
Gwendy et la boite à bouton
4ème de couverture personnalisé :
Pour accéder à Castle View, un point de vue panoramique de la ville de Castle Rock, il y a trois manières : la route 117, la Pleasant Road ou Suicide Stairs, les marches du suicide.
Durant tout l’été de 1974, Gwendy Peterson, âgée de 12 ans, monte les marches jusqu’en haut de la falaise. Au sommet de cette escalade, la fillette, rattrape son souffle et écoute les bruits des enfants du terrain de jeu, et les jeunes de l’équipe de la grande ligue s’entrainant pour le match caritatif du 4 septembre.
Un jour, un étranger l’interpelle et lui dit « hé, petite fille. Viens ici un petit peu. Il faut que nous palabrions, toit et moi ».
Sur un banc à l’ombre, se tient un homme dans un jean sombre, un manteau noir comme celui d’un costume, et une chemise blanche déboutonnée en haut. Sur la tête de l’homme, un petit chapeau noir. Viendra un temps ou Gwendy fera des cauchemars à propos de ce chapeau…
Avis personnel sur ce livre :
J’avais vu ce livre par hasard et à ce moment là, je voulais lire quelque chose de court et un livre de Stephen King celui-ci me semblait parfait. Ce livre était une bonne découverte. On y suit Gwendy qui reçoit une boite à boutons spéciale de la part d’un inconnu. Cet étranger lui dit que désormais elle est la gardienne de la boite, et qu’il reviendra la chercher quand il aura trouvé un autre gardien.
Cette boite est différente. En effet il y a deux boutons sur le dessus. Si Gwendy appuie sur l’un des deux elle recevra un bonbon ou un chocolat, si elle appuie sur l’autre elle déclenchera les malheurs de l’humanité.
En refermant le livre, ma première pensée fut que King et court n’allaient pas forcément ensemble, car je n’ai pas retrouvé la même ambiance que dans les autres livres que j’ai pu lire de lui, même si elle était légèrement présente. Pour moi, ce n’est pas le meilleur livre de Stephen King, en tout cas dans ceux que j’ai lu mais j’ai tout de même apprécié cette lecture.
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