Population 48


4ème de couverture personnalisé :


L’histoire de « Population 48 » se déroule dans une petite bourgade au Texas. La population est de 48 habitants. Les personnes qui arrivent à Caesura doivent choisir un nouveau nom. Ce nouveau nom est nécessaire car les nouveaux habitants ne savent plus qu’ils sont. Leurs souvenirs ont été effacés. Ils ignorent s’ils sont coupables ou témoins.

La ville de Caesura a été fondée par un mystérieux institut. Celui-ci voulait mener une expérience unique. Tout au long de l’histoire de « Population 48 » nous allons suivre certains personnages qui sont au cœur de l’intrigue.

Durant 8 ans les habitants vivent en harmonie jusqu’au jour où… mais pourquoi le dirais-je ? Il arrive parfois que notre passé nous rattrape au galop, alors qu’on cherche désespérément à le fuir.

Quels drames ont eu lieu pour que tout bascule ? Comment se terminera l’histoire ?


Avis personnel sur ce livre :


A l’instar de « Léonora Kean » j’ai pris « Population 48 » sur Audible. Le titre m’avait intrigué, alors j’ai lu le résumé. Celui-ci était très intéressant. J’ai également écouté un extrait, pour être sûre de le prendre ou non. Suite à l’écoute de cet extrait j’ai été curieuse, alors j’ai pris le livre en audio.

Malgré le fait, que le titre m’ait intrigué et le résumé intéressé, j’ai trouvé l’écoute fastidieuse. J’ai eu le sentiment que l’histoire était longue. Malheureusement la voix du narrateur avait un effet soporifique sur moi quand il lisait. Sa voix n’était pas du tout monotone. Il savait faire les différentes intonations, et les fluctuations de voix en fonction du sens de la phrase. Mais malgré cela j’avais énormément de mal à rester concentrer.

Je pense que j’aurais davantage apprécié « Population 48 » si je l’avais lu en version papier.

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Meet The Author

Tout le monde est coupable. Personne ne sait de quoi.

Caesura Texas – une minuscule bourgade clôturée, au fin fond du désert. Population ? 48 habitants. Des criminels, a priori. Ou des témoins. Comment savoir ? Tous ces gens ont changé d’identité, et leur mémoire a été effacée. Pour leur bien. Dans l’optique d’un nouveau départ.

En échange de l’amnistie, les résidents doivent accepter trois règles simples : aucun contact avec l’extérieur, aucun visiteur, et aucun retour possible en cas de départ. Une expérience unique, menée par un mystérieux institut. Pendant huit ans, tout ce petit monde est resté à peu près en place. Jusqu’à aujourd’hui. Errol Colfax, en effet, s’est suicidé… avec une arme qu’il n’aurait jamais dû posséder. Puis Hubert Humphrey Gable est assassiné.

Calvin Cooper, le shérif local, est contraint de mener l’enquête. Ce faisant, il risque de déterrer des secrets que l’essentiel des habitants – y compris lui-même – auraient préféré voir rester enfouis. Trop tard pour faire marche arrière. Bientôt, un irrépressible déferlement de violence va s’abattre sur les rues poussiéreuses de Caesura…

Férocement drôle, comiquement féroce, Population : 48 – le troisième roman d’Adam Sternbergh – est aussi un redoutable page-turner où, quelque part entre Tarantino et L a Quatrième Dimension, aucun personnage n’est vraiment ce qu’il paraît être.

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