À Chicago, une femme meurt dans l’incendie de son appartement. Deux ans plus tard, le 31 juillet 1979, rue de Tolbiac, en plein Paris, un nouveau-né est abandonné dans un kiosque à journaux. Alors qu’il défèque sur Le Monde et pisse sur L’Humanité, un couple le trouve, l’adopte et le nomme Tolbiac Juillet. Adulte, Tolbiac devient magicien doublé d’un pickpocket de génie. La vie de cet énergumène au cuir tendre aurait pu se dérouler paisiblement, mais voilà qu’il se fait aspirer… par la cuvette des toilettes ! Oui, aspiré. Quant à savoir quelle brûlante vérité l’attend de l’autre côté…
L’errante
4ème de couverture personnalisé :
Dans L’errante de Valeria Montaldi, nous avons plusieurs points de vue différents dont trois principaux, à deux époques différentes. Celui de Britta da Johannes en 1494. Ceux de Barbara Pallavicini et de Giovanni Randisi en 2014.
Britta est une herboriste de la fin du 15° siècle. Barbara une doctorante en histoire du 21° siècle. Giovanni un carabinier d’Aoste du 21° siècle également.
Leur destin est lié d’une manière bien étrange. En effet Britta a été accusée de sorcellerie et a été enfermée dans un château de la région d’Aoste. Barbara fait des recherches sur l’inscription qu’une femme aurait laissée inscrite dans la pierre, de son cachot. Quand au carabinier il se retrouve à enquêter sur la mort d’une jeune femme que la chercheuse a trouvé.
Avis personnel sur ce livre :
J’avais beaucoup aimé ma lecture malgré une longue pause de lecture. Le fait de voyager entre deux époques est très intéressant. L’histoire qui se déroule en Italie, un pays qui me fascine, est très prenante. Nous découvrons des paysages magnifiques grâce à la description des lieux.
Un petit bémol que je peux noter c’est le fait que certains points n’étaient pas suffisamment développés. Si ces derniers l’avaient été plus, alors l’intrigue aurait été beaucoup plus intéressante à mon avis.
Comme je l’ai dit un peu plus haut, le destin de ces trois protagonistes sont liés. De quelle façon l’est-il ? L’écriture de « L’errante » est faite de telle façon qu’on se pose la question.
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