C’est l’histoire de Stradi qui naît avec un violon dans le crâne. A l’école, il va souffrir à cause de la maladresse ou de l’ignorance des adultes et des enfants. A ces souffrances, il va opposer son optimisme invincible, héritage de ses parents. Et son violon s’avère être un atout qui lui permet de rêver et d’espérer. Roman de l’éducation, révérant la différence et le pouvoir de l’imagination.
La petite et le vieux
4ème de couverture personnalisé :
Elle a pour nom Hélène, mais se fait appeler Joe car elle rêve de vivre en garçon comme lady Oscar, son héroïne de dessins animés préférés. Lady Oscar est le capitaine de la garde rapprochée de Marie-Antoinette. Comme lady Oscar, Hélène aimerait vivre à une autre époque et réaliser de nombreux et glorieux exploits. Elle a l’âme romantique et un imaginaire avide de drame. Malheureusement pour elle, elle doit se contenter de distribuer les journaux, puis de travaille comme serveuse dans une salle de bingo. Après tout, elle n’a que huit ans même si elle prétend en avoir dix, au début du roman.
Hélène vit dans un quartier populaire, qui est peuplé de gens hauts en couleurs dont le plus attachant est sûrement son nouveau voisin, Monsieur Roger, un vieil homme, qui ne rêve que d’une chose, mourir. Les deux personnages vont développer une amitié indéfectible.
Avis personnel sur ce livre :
Je ne connaissais ni ce récit, ni l’autrice. Je pense que ce n’est pas le genre de livre vers lequel je serais allée instinctivement si je ne l’avais pas eu dans un cône surprise. Ce fût une belle découverte, mais j’ai mis un certain temps à lire cet ouvrage, car je n’arrivais pas à me concentrer pleinement dessus.
Hélène se fait appeler Joe car, elle rêve de devenir comme son héroïne lady Oscar. Parfois, la fillette va même se prendre pour le personnage du dessin animé. Mais il n’est pas toujours facile de faire la différence entre les deux, parce qu’il n’y a pas de transitions claires, par conséquent c’est compliqué pour suivre.
Il y a aussi un point qui m’a bloqué sans être trop gênant, c’est le fait que certains mots soient en québécois. Quand on n’a pas l’habitude cela perturbe. Mais ce qui est bien en revanche c’est qu’il y a un lexique à la fin du livre pour savoir ce que veulent dire les mots.
En tout cas ce fût une belle découverte. Je ne suis pas pleinement convaincue, mais je lirais d’autres ouvrages de cette autrice sans problème.
Avis
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