« Courir pour me sentir unique sur terre. Courir pour exister. Me forger un moral de championne, un corps solide, musclé, entraîné. Un corps qu’on ne piétine pas. Qu’on n’avilit pas. Courir pour que mon corps n’appartienne qu’à moi. Que mes désirs n’appartiennent qu’à moi. Courir pour marcher librement sans me soucier du regard des autres, et surtout pas de celui des hommes. Tel était mon salut. » Le long de la ligne verte, Hanna avale les kilomètres de chemin quatre fois par semaine. Dans ces moments de solitude, elle se sent libre, forte, protégée du regard des autres. Hanna est la fille d’Olga, prostituée ukrainienne. Ailleurs, en ville comme en cours, c’est plus difficile. Par amour pour sa mère, elle décide un jour de ne plus avoir honte. De relever la tête et de raconter son histoire, au rythme de ses foulées.
Gardiens des cités perdues Tome 7 – Réminiscences
4ème de couverture personnalisé :
Sophie Foster ne sait plus qui croire. Dans un conflit où il y a tellement de monde, la pire erreur serait de se tromper d’ennemi. Elle se rend compte qu’il est temps de changer de tactique lorsque les Invisibles démontrent que la jeune elfe est bien plus vulnérable qu’elle se l’imaginait.
Ses pouvoirs aussi immenses soient-ils ne peuvent la protéger que dans une certaine mesure. Pour affronter ses ennemis qui n’ont aucuns scrupules elle doit apprendre à se battre.
Des risques immenses seront pris, encore plus grands que ceux que Sophie et les siens n’en ont jamais couru. C’est peut-être précisément ce qu’attendait l’ennemi depuis le début. Il est temps de laisser les frontières entre le passé et le présent se brouiller.
Avis personnel sur ce livre :
A l’instar du tome 6, je n’ai pas autant apprécie ce tome 7 que les autres, car je l’ai trouvé trop long, sans trop d’actions et sans révélations. Je m’y étais habituée avec les autres tomes. Il y a plusieurs passages de bien et d’autres dont je ne voyais pas forcément l’utilité au moment de la lecture. Peut-être que qi je le relisais alors mon avis changerais.
Après avec le recul, je me dis que c’est bien aussi de voir et découvrir les questions que peuvent se poser les personnages sur eux-mêmes et, sur les relations vis-à-vis des autres que ce soit de nature amicale ou amoureuse.
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