Transportée aux urgences de l’hôpital de Strasbourg pour un malaise, Angèle Lieby commence à avoir des difficultés à s’exprimer, puis perd connaissance. On la plonge dans un coma artificiel pour l’intuber. Le quatrième jour, elle ne se réveille pas. Or Angèle est consciente et souffre sans pouvoir réagir. Pour le personnel médical, elle est très vite considérée comme morte. Le miracle: une larme. Le 25 Juillet, jour de l’anniversaire de son mariage, sa fille aperçoit une larme au coin de son œil. Elle avertit le personnel médical qui rétorque que c’est impossible. Puis Angèle bouge le petit doigt. Commence alors une longue période de rééducation qui va durer presque un an. Un cas exceptionnel pour la science. La maladie d’Angèle est le syndrome de Bickerstaff. Il peut se déclencher après une infection aussi commune qu’une rhinopharyngite… Son histoire fait aujourd’hui l’objet de présentations dans divers congrès de médecine et de recherches.
Le chagrin d’aimer
4ème de couverture personnalisé :
La narratrice dit ‘on écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas.’ Lorsqu’elle écrivait son roman ‘Vie de ma voisine’, elle s’est rendu compte qu’elle ignorait ce qu’était l’amour d’une mère. Par conséquent elle est partie sur les traces d’une petite fille grecque et arménienne et de sa mère.
Avis personnel sur ce livre :
Tout d’abord je remercie les éditions Grasset pour l’envoie du livre de Geneviève Brisac le chagrin d’aimer.
En refermant ce livre je dois avouer que j’étais assez perplexe. Dans cet ouvrage, l’auteure recherche ses origines, cherche à savoir qui sont ses ancêtres du côté de sa mère, mais j’ai eu l’impression qu’elle ne cherchait pas vraiment, mais peut-être que j’ai eu ce sentiment parce-que en lisant le résumé je m’étais fait une autre idée du contenu du livre.
A plusieurs moment durant la lecture de ce livre j’ai trouvé une certaine ressemblance avec Frappe-toi le cœur d’Amélie Nothomb à savoir, une fille qui recherche l’amour de sa mère. J’ai trouvé une certaine ressemblance dans le fait que l’une des deux est jalouse de l’autre bien que dans Frappe-toi le cœur c’est la mère qui est jalouse de la fille et dans le chagrin d’aimer c’est la fille qui est jalouse de la mère. En tout cas c’est comme ça que je l’ai ressenti.
Je trouve que l’écriture est fluide et facile et lire ce livre m’a donné envie de découvrir d’autres ouvrages de Geneviève Brisac, car j’ai vraiment apprécié sa plume et cela me permettra d’ouvrir mes horizons littéraires davantage.
L’auteure fait allusion à la mythologie grecque, au génocide arménien, les deux guerres rapidement, la folie des années vingt. Toutes ces périodes, excepté le génocide arménien car je n’en ai pas entendu parler ou très peu ce qui fait que je n’ai pas d’intérêt plus que cela mais ils serait bien de s’y intéresser, sont des périodes qui m’intéresse énormément.
Bref, hormis le fait que je sois sortie perplexe de cette lecture j’ai vraiment apprécié cet ouvrage et je pense que ça sera avec plaisir que je lirais d’autres livres de Geneviève Brisac.
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