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Emissaires des morts

Deux meurtres ont eu lieu sur One One One, un écosystème artificiel créé par les IA dominantes de l’univers afin d’abriter plusieurs espèces fabriquées par génie génétique. L’agent Andrea Cort, qui travaille pour le Corps Diplomatique, est chargée de choisir un coupable crédible et politiquement correcte, parmi une communauté d’humains semi-esclaves qui se sont vendus par contrat au Corps Diplomatique. Mais Andrea Cort refuse de se limiter dans sa chasse au tueur, personne ne pourra faire pression sur elle. Car Andrea n’a plus rien à perdre, elle connait les secrets des morts…

Ces enfants d’ailleurs

Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Élisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur père, Thomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Thomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus…
Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
Tous les 3 trouveront tour à tour où semer leurs rêves de bonheur et d’amour. Près d’un grand fleuve, à Montréal et dans les vastes plaines du Manitoba. Mais que récolteront « ces enfants d’ailleurs » ? La vie pour eux ne fait vraiment que commencer…

 


Edition du Club France Loisirs, Paris,
réalisée avec l’autorisation des Éditions Albin Michel S.A.

© Arlette Cousture, 1992
Editions Libre Expression, Montréal
© Editions Albin Michel S.A., 1994
ISBN 2-7242-8126-8


Achevé d’imprimer en novembre 1995
sur presse CAMERON
par Bussière Camedan Imprimeries
à Saint-Amand-Montrond (Cher)
pour le compte de France Loisirs, Paris


N° d’édition : 26365 – N° d’impression : 1/2726
Dépôt légal : octobre 1994.

Imprimé en France


État du livre : Bon état. Comporte un signet (marque-page) en tissu de couleur noir.


Joyland


4ème de couverture personnalisé :


Vous avez une peur bleue des clowns ? L’atmosphère des fêtes foraines vous angoisse ? Alors un petit conseil : ne venez pas à Joyland, pour vous aventurer sur une grande roue un soir d’orage…


Avis personnel sur ce livre :


J’ai lu ce livre, car Stephen King est un auteur dont j’apprécie particulièrement la plume. Joyland est le quatrième livre que je lis de cet auteur.

Je reconnais que je suis un peu déçue en ce qui concerne cette lecture, car le résumé est trompeur. Quand j’ai regardé la quatrième de couverture, je m’attendais à de l’angoisse, de la peur et du suspense, mais ce ne fût malheureusement pas le cas. J’ai trouvé que cela ressemblait à un journal intime, où le narrateur racontait ce qui lui était arrivé l’été de ses 21 ans, et les mois qui ont suivi.

Ce qui m’a déçu c’est que le résumé nous promettait plein de choses, mais l’histoire n’a pas suivi. Hormis cela, ce fut une bonne lecture que j’ai aimé. L’écriture de King est toujours aussi prenante. On plonge facilement dans l’histoire et nous avons envie de connaitre la fin.

22/11/63

4ème de couverture personnalisé :

Imaginez que vous ayez un ami mourant, et que celui-ci, aie trouvé une brèche temporelle vous permettant de retourner dans le passé. Que ce même ami vous demande d’emprunter ce passage afin de sauver quelqu’un d’une mort certaine. Que cette personne n’est nulle autre que JFK. Que feriez-vous ? Comment réagiriez-vous ?
C’est ce qui arrive à Jake Epping, professeur d’anglais à Lisbon Falls. L’un de ses amis en phase terminale, lui a demandé de retourner en 1963 à Dallas, pour empêcher la mort de JFK. Mais Jake va vite découvrir que jouer avec le temps est très risqué…


Avis personnel sur ce livre :


22/11/63 est le troisième livre de Stephen King que je lis et j’adore sa plume. Dans ce récit, il faut un certain temps pour rentrer dans l’histoire mais une fois à l’intérieur, on n’en sort plus.
Je l’avais dis sur d’autres livres, et c’est un discours que je redis ici, parfois il faut peu de mots pour dire si nous avons aimé ou non un ouvrage, et c’est le cas ici. J’ai vraiment adoré cette histoire. Je l’ai trouvé très bien écrite et les personnages sont attachants. Il y a des personnages sur lesquels on ne peut pas se faire d’avis car ils sont justes de passage. Stephen King fait partie du top 5 de mes auteurs favoris.

Riquet à la houppe


4ème de couverture personnalisé :


Déodat et Trémière. Deux être que tout oppose mais qui vont se rencontrer par la force du destin. Déodat, lui est d’une exceptionnelle intelligence et d’une laideur absolue. Quant à Trémière, elle est d’une beauté à couper le souffle, mais simple d’esprit disait-on.

Ces deux personnes vont se rencontrer, s’apprivoiser et s’aimer d’une façon étrange.

L’art a une tendance naturelle à privilégier l’extraordinaire.


Avis personnel sur ce livre :


Au début de l’histoire j’ai eu du mal à me plonger dedans, donc je l’avais mis en pause, afin de pouvoir le reprendre par la suite, pour faire un avis constructif une fois la lecture terminée. Quand j’ai repris ma lecture, les pages se sont presque tournées toutes seules, tellement le récit était prenant. Et, j’ai même réussi à lire le livre en écoutant de la musique, ce qui est un véritable exploit pour moi, car d’ordinaire je n’arrive pas à me concentrer sur une lecture quand j’écoute de la musique.

Frappe-toi le cœur


4ème de couverture personnalisé :


L’histoire se déroule dans une petite ville de province en 1971. Ici, vit Marie, jeune femme de 19 ans. Elle est magnifique et compte bien en profiter. La jeune femme aime voir l’envie et l’admiration dans le regard des autres à son encontre. Comme toutes les jeunes personnes de son âge, elle possède des rêves de libertés. Mais ceux-ci disparaissent quand Marie tombe enceinte.

Pour elle, plus question de liberté, selon ses souhaits. La jeune femme va se marier avec le fils du pharmacien dont elle n’est pas amoureuse, mais qui est le plus beau parti de la ville. Marie va donner naissance à une fille, Diane. La mère, sera maladivement jalouse de l’attention que les gens attribuer à son enfant. Par la suite, la mère de Diane, aura deux autres enfants. Un garçon, Nicolas, qu’elle aimera raisonnablement. Et de nouveau une fille, Célia, qui sera étouffée d’amour par sa maman.


Avis personnel sur ce livre :


J’ai adoré ce récit, je l’ai lu très rapidement. C’est un livre que j’ai trouvé génial à un tel point que, je ne trouve pas de mots pour décrire exactement ce que je pense. Je le recommande sans soucis.

Depuis l’au-delà


4ème de couverture personnalisé :


Dans « Depuis l’au-delà » nous suivons Gabriel Wells qui est écrivain. Son genre littéraire est le policier et tout ce qui relève du monde de  l’enquête. La prochaine énigme qu’il devra résoudre, en est une toute particulière. Afin de mettre un point final à l’histoire, il devra enquêter sur sa propre mort.

Pour faire cela il mènera cette enquête sous forme de fantôme. Il sera aidé de Lucy Filipini qui est médium.


Avis personnel sur ce livre :


J’ai trouvé ce livre vraiment génial. Dès les premières pages nous sommes plongés dans l’histoire et nous n’avons pas envie de lâcher la lecture. Bernard Werber, par ses personnages, nous fait mener une enquête tout en restant fidèle à son univers. A savoir la fiction, la philosophie et la réflexion sur soi.

Au fil des pages nous avons plusieurs suspects, mais aucunes des personnes auxquelles nous pouvons penser n’est coupables. Parfois ce sont les plus petits détails qui révèlent la vérité.

Pour conclure c’est un récit vraiment bien écrit et bluffant. Une œuvre que je recommande avec la plus grande sincérité.

L’Arbre des possibles

Dans « l’arbre des possibles » il n’y a pas qu’une histoire. Ce sont différents histoires, indépendantes les unes des autres, qui forment le livre.

Je n’ai rien contre les livres qui sont écrits avec différents histoires ou nouvelles à l’intérieur, mais je trouve que c’est mieux quand il n’y a qu’une seule histoire. Quand c’est un seul récit on se laisse emporter et nous ne voyons pas forcément les pages tourner.

Quand ce sont différentes histoires comme ici dans « l’arbre des possibles », on va se laisser emporter et d’un coup nous serons « refroidis » car c’est la fin et l’on passe à une autre chose. C’est ce qui m’a bloqué dans cet ouvrage.

A mon humble avis « l’arbre des possibles » n’est pas le meilleur des livres que j’ai pu lire de Bernard Werber.

Les Catilinaires


4ème de couverture personnalisé :


Emile est un ancien professeur de latin et de grec quand, il se retire avec sa femme Juliette dans une maison paradisiaque, éloignée de tout, avec la certitude absolue d’y vivre heureux, jusqu’à la fin de leur vie. Cependant, au bout d’une semaine de pur bonheur, quelqu’un va sonner à leur porte. Il s’agit de Palamède, leur unique voisin. Celui-ci va prendre l’habitude de s’imposer tous les jours de quatre à six heures, sans ne jamais rien dire. Pour le couple, cette présence muette, ainsi que grossière et envahissante, va vite s’avérer plus dérangeante que les bavardages les plus intempestifs. Mais pour les deux amoureux, la descente aux enfers ne fait que commencer…


Avis personnel sur ce livre :


Une fois encore, en lisant un livre d’Amélie Nothomb, je n’ai pas été déçue. Ce ne fut le cas qu’une seule fois avec « Le sabotage amoureux ».

En ce qui concerne « Les catilinaires » je l’ai adoré. D’une certaine façon, il m’a fait penser au livre « Cosmétique de l’ennemi ». Une discussion sur le bien et le mal, sous plusieurs formes. Différentes question se posent dans ce récit. Est-ce bien ou mal de se laisser envahir par un voisin, qui n’a plus goût à rien ? Est-ce bien ou mal de vouloir sauver ce même voisin qui nous empoisonne ? D’autres questions de ce genre se posent.

Une fois encore j’ai adoré Amélie Nothomb. Comme je l’ai dis un peu plus haut, il n’y a qu’un livre d’elle jusqu’alors que je n’ai pas apprécié. Mais ce n’est pas parce-que nous adorons un ou une auteur(e), que nous allons aimer tous ses ouvrages.

Attentat


4ème de couverture personnalisé :


Epiphane Otos est hideux. Mais est-il condamné par sa laideur, à vivre exclu et interdit d’aimer ? Malgré son physique peu avenant, il est devenu la star paradoxale d’une agence de top model. Epiphane sera martyr, bourreau et ambassadeur de la monstruosité internationale. Il tombera amoureux de la divine Ethel, une jeune comédienne émue par sa laideur. Mais est-ce que cela se passera-t-il bien pour les deux jeunes gens ?


Avis personnel sur ce livre :


C’est un livre que j’ai particulièrement aimé. Ce livre a été un vrai coup de cœur. Le personnage d’Epiphane est touchant dans son caractère naïf et combattant. Ethel est également attachante.

Dans ce livre Amélie Nothomb nous dévoile avec brio que même les personnes au faciès le plus ingrat peuvent aimer d’un amour sincère et profond. Ces personnes peuvent également être approchées et appréciées. Cet amour peut se révéler si sincère et profond qu’on ne sait plus forcément ce que l’on fait, et que l’on commet un acte sous le coup de la folie.

Le fait du prince


4ème de couverture personnalisé :


« Le fait du prince » retrace l’histoire d’un homme qui vole l’identité d’un inconnu. Il y a un instant, entre la 15° et la 16° gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate…


Avis personnel sur ce livre :


J’ai lu plusieurs livres d’Amélie Nothomb et selon j’ai plus ou moins apprécié les ouvrages de cette autrice. En ce qui concerne Le fait du prince, je reconnais que j’ai apprécié l’écriture et l’histoire est intéressante. A certains passages du récit, j’avais l’impression que ce n’était pas pleinement approfondi, que c’était traité juste en surface.

Pour moi ce livre est intéressant mais je trouve qu’il manque un petit quelque chose pour qu’on puisse rentrer pleinement dans l’ouvrage, mais je ne saurais pas dire quoi.

Tuer le père


4ème de couverture personnalisé :


Le sujet de ce livre est le « bluff parfait ». Amélie Nothomb nous en donne sa définition : « le bluff parfait est de créer un très grand tour de magie. C’est emmener le lecteur avec nous. On crée quelque chose, une émotion qui s’installe et puis, PAF. A la fin on se rend compte que nous étions parti dans la mauvaise direction, car ce qui se racontait  n’était pas du ce que pensions. Et pourtant… Tout s’est déroulé sous nos yeux, rien n’a été caché, c’était là, simplement nous l’avons pas vu. »


Avis personnel sur ce livre :


Ce roman d’Amélie Nothomb est une fois de plus sur les rapports familiaux et extra-familiaux, sujet, qui est caractéristique de son œuvre. Joe Whip est un adolescent qui vit avec sa mère à Reno. Il ne connait pas son père. Sa seule passion est la magie. Un jour, alors que sa mère a un nouveau conjoint, elle demande à son fils de partir, afin de préserver cette relation amoureuse naissante. L’adolescent va vivoter dans un motel, jusqu’à sa rencontre avec un magicien du nom de Norman Terence, qui est considérer comme le plus grand. Entre les deux hommes, une relation qui va aller au-delà de la relation professeur-élève. Norman va considérer Joe comme son fils. Celui-ci va vivre avec Norman et Christina, la compagne du grand magicien. Celle-ci est danseuse. Mais, l’adolescent va tomber éperdument amoureux de la danseuse.

J’ai trouvé que nous retrouvions très bien l’univers d’Amélie Nothomb sans ce récit. Le livre est décomposé en trois temps. Un premier temps, qui est le début de l’histoire au présent. Un deuxième temps, qui est une grande majorité du livre au passé. Et enfin un troisième temps, qui est la fin du livre, de nouveau au présent. Ce découpage est appréciable, et cela permet de mieux comprendre l’histoire.

L’autrice nous plonge dans l’univers de la magie, qui est un monde fascinant et qui nous permet de rêver. La relation entre Norman et Joe est très conflictuelle. Comme pourrait l’être une relation entre un père et son fils. J’ai adoré ce livre. En ce qui concerne les personnages masculins principaux, je les trouve à la fois attachants et énervants. Je recommande ce livre.

Mercure


4ème de couverture personnalisé :


Hazel, est une jeune fille, atrocement défigurée suite à un bombardement. Un vieillard, le capitaine O. Loncours, à quai depuis longtemps. Une maison biscornue, où tous les objets capable de réfléchir un reflet ont disparu. L’île de Mortes-Frontières, cache d’étranges secrets. Des sbires, qui fouillent tous ceux qui s’y aventurent… voici le décor, planté. Françoise, jeune infirmière appelée au chevet d’Hazel, fait l’expérience de l’étrange vie sur l’île. Le plus étrange l’attend à l’intérieur. Aucune question n’est tolérée sous peine de mort…


Avis personnel sur ce livre :


Dès les premières lignes de ce récit, j’ai su que j’allais adorer, et cela a été le cas. Les personnages de Françoise et d’Hazel, sont adorables et attachantes. Leurs conversations sont sublimes. Comme la plupart des ouvrages d’Amélie Nothomb, que j’ai pu lire, ce livre ne m’a pas déçue.

J’ai aussi apprécié le fait que l’auteure propose deux fins différentes à l’histoire, cela la rend plus appréciable. Comme cela nous pouvons choisir la fin que nous préférons.

Antéchrista


4ème de couverture personnalisé :


Les amis ne sont pas forcément bien intentionnés. Dans cet esprit déroutant, Amélie Nothomb retrace ici la relation perverse entre deux étudiantes. L’une, Blanche, est crédule, mal dans sa peau, celle qu’on ne remarque nulle part, qu’on embrassa peut-être parce qu’elle n’est pas « plus moche qu’une autre ». L’autre, Christa, est impétueuse, tyrannique, belle et charmeuse, envoûtante, sollicitée. Quand Christa pose son regard sur Blanche, celle-ci se plonge d’emblée dans les délices d’une amitié qu’elle n’a jamais eue, dans la complicité, la confiance partagée, de rires en confessions. Elle ne sait pas, et ne comprend pas qu’elle a déjà glissé du côté des rapports masochistes imposés par une jeune fille diabolique, se livrant aux mensonges et aux abus… qui feraient d’elle moins une Christa charitable et affable qu’une Antéchrista effrayante. Une fois de plus, Amélie Nothomb parvient à dessiner des personnages denses, dotés d’une psychologie complexe. Surtout, elle réussit à lier le lecteur à son récit, même en brossant le portrait d’une créature agaçante et irritante.


Avis personnel sur ce livre :


Ce livre a été un véritable coup de cœur. Je me suis un peu reconnu dans le personnage de Blanche, par son côté mal dans sa peau. En revanche j’ai détesté le personnage de Christa, ainsi que les parents de Blanche. Je me suis demandé comment des parents pouvaient se montrer aussi méchants envers leur propre fille ? J’ai adoré la façon dont Blanche a réussi à se sortir des griffes de Christa, ainsi que la manière dont la première a remise la seconde à sa place.

Amélie Nothomb, nous montre avec brio le côté manipulateur, narcissique et pervers de certaines personnes dans les relations amicales ou amoureuses.

Le sixième sommeil


4ème de couverture personnalisé :


Il y a cinq phases de sommeil. La première est l’assoupissement. La seconde est le sommeil léger. Le sommeil lent en phase trois. Le sommeil profond en phase quatre. La cinquième phase est le sommeil paradoxal.
Mais s’il y avait une sixième phase ? Un sixième sommeil, qui serait celui de tous les possibles.


Avis personnel sur ce livre :


Ce récit de Bernard Werber est celui qui m’a fait tomber amoureuse de la plume de cet auteur. ‘Le sixième sommeil’ nous fait comprendre de faire plus attention à nous et à notre santé. Le récit est très bien écrit. Le fait qu’il y ait plusieurs cultures décrites est très intéressant. On peut y porter un intérêt, et comprendre, que toutes les civilisations n’ont pas le même mode de vie. On peut aussi comprendre pourquoi elles choisissent un mode de vie non matérialiste.
Dans ce récit, Bernard Werber nous pousse à faire attention à notre sommeil, à repousser les limites du possible également. L’auteur nous dit de faire attention à notre sommeil, en passant par des phases et d’essayer de se rappeler nos rêves. Il est risqué de remonter trop vite dans le réel.
C’est un excellent livre que je recommande plus que sincèrement.