4ème de couverture personnalisé :
Dans le monde de « City hall » l’écriture a été bannie. En effet, dès qu’un personnage était décrit sur papier, cela donnait naissance à un être de papier nommé « coupure de papier » ou papercut. Ce phénomène étrange se produisit au XVII° siècle. Ce papercut est plus ou moins doué de pouvoirs et d’initiative, en fonction de la description et donc, du talent de l’écrivain. Cette possibilité a été utilisée à des fins militaires, ce qui a fait apparaitre la Grande Guerre, qui s’est déroulée de 1700 à 1750 environ. A la suite de cela, l’écriture a été interdite et les stocks de papiers détruits.
Une technologie, essentiellement basée sur la vapeur va se développer. L’absence d’écriture va âtre compensée par la création d’audio-livres, des phonographes dont le son est gravé sur des rouleaux de cire ou d’acier.
L’histoire de City Hall se déroule au début du XX° siècle. Un criminel se sert des papercuts afin de commettre ses méfaits à Londres. Jules Verne et Arthur Conan Doyle vont être chargés
Avis personnel sur ce livre :
C’est un manga très intéressant, qui nous montre une réalité alternative de l’histoire. C’est une série en 7 tomes et j’ai commencé à accrocher vers la fin du quatrième. Pour moi, le récit met un certain temps à se mettre en route, ce qui fait que 7 tomes sont largement suffisants de mon point de vue.
L’histoire est très intéressante, mais à certains passages, j’ai eu le sentiment que c’était survolé, qu’on ne faisait que passer certains détails, j’ai trouvé cela perturbant. Dans certains mangas, j’arrivais à suivre aussi grâce au dessins, mais ici, je me perdais dans les différentes esquisses, qu’il y avait. Je ne savais plus quel papercut, était à qui.
Ce fut une belle découverte et je ne regrette pas de l’avoir lu.