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Orgueil et préjugés


4ème de couverture personnalisé :


Le livre raconte l’histoire de Mr et Mrs Bennett et de leurs cinq filles. Mrs Bennett ne souhaite qu’une chose : marier ses cinq filles. Avec Orgueil et préjugés Jane Austen dépeint les rigidités de la société anglaise au tournant du dix-neuvième siècle, tout cela au-delà des aventures sentimentales des cinq filles Bennett. En effet, le comportement et les réflexions d’Elizabeth Bennett, le personnage principal, révèlent les problèmes auxquels sont confrontées les femmes de l’époque pour s’assurer sécurité financière et statut social. Effectivement la seule solution passe par le mariage.


Avis personnel sur ce livre :


Pendant longtemps Orgueil et préjugés était resté dans ma bibliothèque sans que je prenne le temps de le lire. Lors du mois de Mars 2020 j’ai pris le temps de le lire. En effet, grâce à Florence de la page Instagram @floandbooks qui a lancé le concept, depuis quelques années déjà, de mars au féminin. Le but est de lire exclusivement des livres écrit par des femmes. Cela m’a permis de lire le livre de Jane Austen. D’ordinaire j’ai du mal avec les classiques mais là, je reconnais que j’ai adoré Orgueil et préjugés. J’ai adoré les caractères des différents personnages et la plume de l’autrice. Je n’irais pas dire que ce livre m’a réconcilié avec les classiques mais il m’a fait un changé d’avis sur le genre littéraire qu’est le classique.

Je suis née au harem


4ème de couverture personnalisé :


Lors d’un voyage au Nigéria, la mère de Choca Regina Egbeme, est tombée amoureuse du père de Choca, David Egbeme, un riche exploitant agricole qui possédait un harem et dont elle a accepté de devenir la trente-troisième épouse.

 

Choca a vécu une enfance heureuse et insouciante derrière les murs du harem, protégée du monde extérieur. Les femmes et les enfants de David formaient une grande famille où tout le monde s’aimait et s’entraidait. Mais, lorsqu’elle à 16 ans, la vie de Choca se trouve bouleversée, lorsque son père l’oblige à se marier. Son mari est brutal et infidèle, alors elle décide de fuir avec son fils. Fuir… mais à quel prix ?


Avis personnel sur ce livre :


J’avais trouvé ce livre dans une boite à livre et j’avais essayé de le lire une première fois sans succès, cela ne devait pas être le bon moment, alors je l’ai remis dans ma bibliothèque en me disant je le lirais plus tard. Un jour je l’ai pris pour essayer de le relire et, je me suis plongée dans le récit de cette femme courageuse qui a vécu beaucoup d’épreuves mais qui s’est toujours relevée.

 

C’est un récit très dur et j’avais du mettre ma lecture en pause car c’était très éprouvant. Après quelques jours j’ai repris le livre et j’ai pu le terminer. C’est une lecture difficile car on y découvre une vie et une situation très dure et révoltante pour les femmes, du point de vue de notre mode de vie occidental. C’est une lecture très intéressante tout de même car on en apprend un peu sur la culture africaine, même si j’ignore si ça se passe comme cela dans toute l’Afrique.

Ne dis rien


4ème de couverture personnalisé :


Reece est un enfant extrêmement violent. A seulement 7 ans, il est déscolarisé et a été renvoyé de nombreux foyers. Il est le dernier de six enfants, tous placés.
Cathy va tenter de comprendre son histoire, tentative portée par son désir de secourir cet enfant en détresse. Seulement Reece ne veut pas en parler. En effet, il a promit à sa mère, de taire toutes les violences qu’il a pu subir.
A force de tendresse et d’obstination, Cathy va pourtant découvrir son abominable secret. A partir de cette découverte, Cathy va tout faire pour aider le jeune garçon à guérir des terribles démons qui le hantent.


Avis personnel sur ce livre :


« Ne dis rien » est un récit vraiment bouleversant, comme tous ceux que j’ai pu lire de cette autrice. Il y a des passages très difficiles dans ce livre, mais il n’est pas le plus dur à lire. Avec la lecture de ce livre on se dit qu’il y a des personnes qui ne devraient vraiment pas avoir d’enfant. Comme c’est le cas pour cette femme, surtout quand on sait comment ses enfants ont étés conçus. Certains des enfants auront de la chance, ils pourront s’en sortir mais, ils vont avoir une étiquette qui risque de leur coller à la peau, pour un moment. Surtout en ce qui concerne Reece.
L’un des personnages qui m’a énervé est le directeur de l’école dans laquelle est envoyé le petit. Le premier n’est pas du tout accueillant et chaleureux, à l’arrivée et au départ du garçon. La mère n’a pas le comportement d’une mère et au vu de son histoire, nous avons pitié d’elle, mais cela n’excuse pas sa façon d’être. Cette histoire est bouleversante et très bien écrite.

Violentée


4ème de couverture personnalisé :


Un jour, Cathy Glass, mère d’accueil va se voir confier la garde de Jodie, une petite fille de huit ans. La mère d’accueil ignore qu’elle va affronter le cas le plus difficile de sa carrière.

En effet, la fillette est particulièrement violente envers elle-même, mais aussi son entourage. Elle a le niveau mental d’une enfant de quatre ans, et souffre d’un trouble de dédoublement de la personnalité. Deux personnalités, vont fréquemment apparaitre. Une fillette de deux ans, Amy. Un homme particulièrement cruel, Reg.

Cathy Glass, se demande quelles atrocités les parents de l’enfant, ont-ils bien pu commettre, pour détruire à ce point leur fille ? La mère d’accueil, ca découvrir l’horreur absolue qui empêchait l’enfant de s’ouvrir.

Avec du temps, de la persévérance et de la gentillesse, Cathy va réussir à obtenir la confiance de Jodie, qui finir par se confier à elle. L’enfant retrouvera la joie de vivre et l’innocence qu’elle n’aurait jamais dû perdre.


Avis personnel sur ce livre :


Ce livre est bouleversant et poignant, à tel point qu’à certains passages, j’avais les larmes aux yeux tellement ce qu’a vécu la petite Jodie est affreux. Malgré la dureté du sujet abordé et la dureté du récit, j’ai bien aimé. La dureté du récit est telle, qu’il faut avoir le cœur bien accroché pour arriver jusqu’à la dernière page.

Malgré la dureté du sujet et la façon dont l’histoire est raconté, le livre est bien écrit et très touchant et bouleversant. Cathy Glass est une autrice avec une plume sublime.

Maman dit que c’est ma faute


4ème de couverture personnalisé :


Cathy est désemparée devant Donna, la petite fille qu’on vient de lui confier. En effet, l’enfant semble porter sur ses frêles épaules toute la tristesse du monde. Elle ne prononce pas un mot et a le regard vide.
Quand enfin Donna parle, Cathy ne s’attend pas à entendre autant d’atrocités vécues par une si jeune enfant. En effet la mère de Donna, la bat, l’humilie et la traite en esclave. Et celle-ci pousse ses autres enfants à faire de même envers Donna.
Cathy saura-t-elle redonner à Donna l’estime de soi et faire sortir toute la colère qui semble près de l’étouffer ?


Avis personnel sur ce livre :


Ce livre est vraiment poignant et touchant. Quand on le lit on se dit que certaines personnes ne devraient pas avoir d’enfant car, si c’est pour les traiter de la sorte, alors autant ne pas en avoir. J’ai trouvé la mère de Donna abominable de traiter sa fille ainsi. La mère traite sa fille en esclave, la bat et l’humilie, en lui disant qu’elle est sale et que Donna devrait se nettoyer la peau car elle est métisse. En plus la mère pousse sa fille ainée ainsi que ses deux jeunes fils à traiter Donna de la même manière.
Heureusement tout se termine bien pour Donna qui trouvera une famille d’adoption aimante et qui lui fera, en quelque sorte, oublié son passé. Le livre est intéressant et triste. J’ai failli pleurer à plusieurs passages.