4ème de couverture personnalisé :

Venise semble loin à Chiara ! Cela fait quatre moi que Nicola et la jeune femme, ont été obligée de fuir pour échapper à la mort. Sur la route qui conduit le couple à Avignon, elle a donné naissance à Luiza. C’est en famille qu’ils entrent dans la Cité des Papes.

Sous la protection d’Innocent VI, Nicola a pour mission d’accueillir les prostituées de la cille dans une maison des repenties, Notre Dame des Miracles. Malgré son désir de défendre ses consœurs, Chiara est préoccupée par la santé de sa fille Luiza, qui se dégrade de jour en jour.

A Venise certains n’ont pas perdu espoir de retrouver la blonde pécheresse…

Avis personnel sur ce livre :

Je trouve très difficile de faire un avis sur ce troisième tome car il est vraiment très bien, mais il y a aussi des passages tristes. Dont un, en particulier qui fut si triste que j’ai pleuré. Dans ce tome 3 nous continuons de suivre les différents personnages que ce soit en Avignon ou à Venise.

Castelletto est une trilogie que j’adore et que je me ferais une joie de relire un jour, et que je recommande vraiment.

4ème de couverture personnalisé :

Dans ce deuxième tome, nous retrouvons Marie, adulte, épouse et mère de quatre enfants. Elle est devenue institutrice et s’épanouit à Aubazine, le village où elle a grandi. Sa réussite aussi bien privée que professionnelle est incontestable.

Malgré tout elle n’a pas oublié son enfance difficile. Ses jeunes années à l’orphelinat et tous ceux qui l’ont fait souffrir. En plus de cela, deux évènements vont bouleverser sa tranquillité. Des lettres diffamantes à l’encontre de son couple, ainsi que sa rencontre avec Mélina, une jeune orpheline. Tout cela va faire ressurgir des souvenirs douloureux.

Avis personnel sur ce livre :

Dans ce deuxième tome nous suivons toujours Marie, mais cette fois adulte. Nous suivons, ses peines, ses joies, mais aussi ses craintes pour sa famille, surtout pour son fils Paul et son deuxième époux Adrien lors de la seconde guerre mondiale.

J’ai vraiment été touchée par ce livre. J’ai même eu les larmes aux yeux et d’ordinaire il m’en faut beaucoup. C’est un récit qui nous bouleverse.

Il y a des personnages attachants comme Marie, Adrien et sa famille. Les personnages détestables sont également présents comme Macaire, Elodie et son mari. Il y a un personnage dont j’ai du mal à me faire un avis est Guillaume, je le trouve complexe comme personnage.

Bref j’ai été touchée par cette duologie et j’ai beaucoup aimé l’écriture de l’auteure.

4ème de couverture personnalisé :

L’histoire se déroule à Aubazine, près de Brive et commence en Mars 1906. Nous suivrons Marie. Au début du récit, elle a 13 ans et ne connaît de la vie que les recoins de l’orphelinat où elle a grandi. Une enfance pas toujours facile, mais baignée d’affection grâce aux sœurs de l’hospice. Un jour, une femme à l’aspect sévère propose d’accueillir l’enfant comme servante dans sa propriété.

A dater de ce jour, tout bascule pour Marie. Et pas en mieux. Elle est maltraitée, humiliée et méprisée par sa patronne. Marie travaille dure dans les champs et à la ferme. Sans compter, sur le neveu de la famille, Macaire, qui a une présence fallacieuse. La jeune enfant, ne peut compter que sur Jean Cuzenac, le propriétaire des lieux, pour lui témoigner une bonté et une délicatesse déconcertantes.

Dans cette lourde atmosphère, la jeune servante, trouve du réconfort auprès de Pierre, le fils des intendants. Elle trouve également du réconfort dans les superbes terres alentour du bois des Loups. Que deviendra la jeune Marie, aux prises avec les contraintes d’une époque, d’un milieu et d’une mémoire oubliée ?

Avis personnel sur ce livre :

L’orpheline du bois des Loups est le deuxième tome que j’ai lu de Marie-Bernadette Dupuy, après avoir lu « les amants du presbytère ». J’apprécie énormément la plume de l’auteure.

Dans le livre nous allons suivre Marie, qui a grandit dans un orphelinat. A l’âge de 13 ans, elle sera engagée comme domestique, par une riche famille des environs, les Cuzenac. C’est Amélie Cuzenac, l’épouse, qui viendra chercher la jeune fille. Sur le retour vers le domaine, en calèche, l’employeuse  laissera la jeune fille à l’arrière, dehors sous la pluie. Cette dernière tombera malade. Cependant grâce à Nanette, une femme qui vit dans la ferme du domaine des Cuzenac, avec son mari et son fils, Marie ira vite mieux.

Amélie va mal se comporter avec l’enfant, mais peu de temps après la mort de la première, on comprend son comportement, sans que cela ne l’excuse. Dans le livre nous voyons la jeune Marie grandir avec ses joies et ses peines.

Je trouve que les livres de Marie-Bernadette Dupuy sont très bien écrits, et parfait pour quelqu’un qui veut lire une romance sans forcément être très romantique, donc pour moi c’est parfait. Grâce aux descriptions de l’auteure, nous imaginons aussi parfaitement les paysages des livres.

4ème de couverture personnalisé :

En 1361, dans les ruelles de Venise, Chiara rêve à une autre vie. La jeune femme a été recueillie par une communauté de prostituées, à la mort de sa mère, victime de la peste. Treize ans après la mort de sa mère, Chiara, vit elle aussi de ses charmes. La jeune prostituée est belle, brillante et déterminée. Elle économise dans l’espoir de se construire un avenir plus radieux.

Mais la découverte de l’identité de son père va bouleverser ses plans et la conduire sur un chemin qu’elle n’aurait jamais envisagée d’emprunter. Celui du pouvoir.

Plus sulfureuse que jamais, la cité des Doges devient le décor rêvé pour la quête d’amour et de liberté de la jeune femme.

Avis personnel sur ce livre :

J’ai adoré ce livre, bien qu’à certains moments, j’ai trouvé certaine longueurs et qu’il y avait un peu trop de description, mais ce n’ai pas gênant. J’ai trouvé très intéressant le fait que l’histoire parle d’une fille de prostituée, devenue elle-même prostitué, car je trouve que c’est un sujet dont on ne parle pas assez.

Il y a un point qui m’a quelque peu dérangé. C’est le dialecte. Le récit est censé se passer en 1361, donc au 14° siècle et j’ai eu l’impression, que la façon de parler était moderne. Après je ne dis pas que les italiens avaient un parlé différents du notre, mais je m’attendais à un langage plus ancien. Hormis cela j’ai adoré le livre et le récit.