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Poney flottant


4ème de couverture personnalisé :


Sweetie Horn est une autrice à succès. Un jour elle reprend conscience, mais elle est dans le coma. Elle est incapable de communiquer avec le monde extérieur. Sweetie entreprend alors d’écrire mentalement le récit des premières années. Elle se souvient de l’année de ses 10 ans. Elle vivait en Angleterre dans la ferme familiale. Elle est très imbue de sa petite personne et elle exige un cheval pour son anniversaire. Mais voilà, son corps stoppe sa croissance d’un coup. Sweetie se fait surnommer Poney. Ce surnom l’énerve. Elle fomente sa revanche…


Avis personnel sur ce livre :


Je remercie chaleureusement les éditions ON LIT, pour l’envoi de ce livre, qui m’a permis de découvrir une nouvelle autrice. Grâce à cette réception, j’ai pu découvrir la plume d’Isabelle Wéry, mais je dois avouer que j’ai eu beaucoup de mal avec l’écriture de ce livre.
J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup d’insultes. D’ordinaire les insultes dans les récits ne me dérange pas plus que cela, mais dans ce livre c’était souvent répété, parfois c’était 2 ou 3 fois, voire un peu plus la même insulte, dans la même phrase. Je pense que ça devient lourd à force. J’ai eu l’impression que le personnage, ou l’autrice disait des grossièretés pour se donner un genre.
J’ai eu un peu de mal avec la forme d’écriture, mais c’est parce que je n’ai pas l’habitude de ce style. En ce qui concerne le fond, j’ai trouvé ça très intéressant mais j’ai eu un peu de mal avec la forme. Comme je l’ai dis c’est parce que je n’ai pas l’habitude de ce style.
Cette lecture n’est pas un coup de cœur mais ce fut très intéressant et cela m’a permis de découvrir une nouvelle autrice et de sortir de ma zone de confort. Je pense que je le relirais un jour pour voir si mon jugement sera modifié.

La patience des arbres


4ème de couverture personnalisé :


Le 21 mars 2016, Jérémy Laniel, un libraire québécois, vient passer quelques jours à Bruxelles. Le lendemain matin, plusieurs attentats terroristes touchent la ville. Le bilan est lourd. 32 morts.340 blessés. Ces événements ont inspiré à Jérémy ce texte fort. Contre la terreur, il célèbre l’importance du livre et de ses passeurs : les libraires.
Jérémy Laniel est libraire, critique et coordinateur éditorial de la revue Lettres québécoises. En plus de pouvoir le lire, on peut aussi l’entendre à différentes émissions de radio, dont La librairie francophone.
Il pense et dit : « A moi s’imposait l’idée qu’entre tous les commerces, tous pouvaient fermer, sauf un. La journée où les bombes et les balles feraient fermer les librairies, nous aurions perdu. A onze heures, comme l’indiquait l’horaire sur la porte, nous avons ouvert le grillage et déverrouillé la porte. Et nous avons attendu. »


Avis personnel sur ce livre :


Tout d’abord, un merci très chaleureux aux éditions ONLIT, pour l’envoi de ce livre. Ensuite, j’ai trouvé que le récit est magnifique et bien écrit. L’auteur va décrire ce qu’il ressent après les attentats de Bruxelles en 2016. Jérémy Laniel va aussi parler de son amour pour les livres. Il va partager son idée sur le fait que, la lecture, les livres et les libraires seront toujours plus forts que les terroristes. L’auteur pense que, le jour où les libraires seront obligés de fermer à cause des terroristes alors, tout sera perdu.
C’est un texte vraiment bouleversant. En à peine quelques pages, on ressent de très fortes émotions. Je le recommande vraiment.