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Le festin chez la comtesse Fritouille et autres nouvelles


4ème de couverture personnalisé :


Les dîners du vendredi chez la comtesse Fritouille est un véritable honneur pour tout le monde. Les convives sont élégants, la nourriture est végétarienne et délicate et les conversations raffinées. Mais il faut prendre garde, car certaines réceptions peuvent être surprenantes…


Avis personnel sur ce livre :


Je ne connaissais pas du tout cet auteur. Je l’ai découvert lors d’un échange livresque avec quelqu’un sur Instagram. ‘Le festin chez la comtesse Fritouille et autres nouvelles’ est un petit livre avec plusieurs nouvelles. Je l’ai trouvé très intéressant comme recueil. Mais il est vrai que, j’ai eu du mal dans ma lecture car comme dit un peu plus tôt cet ouvrage est constitué de nouvelles. Les recueils avec différentes nouvelles est un style avec lequel je n’ai pas l’habitude.
Bien que je n’ai pas l’habitude de ce genre de lecture j’aime changer de style et sortir de ma zone de confort de temps à autres. Ce n’est pas une lecture négative loin de là, mais une jolie découverte et je pense que je lirais d’autres ouvrages de cet auteur.

Bruges-la-morte


4ème de couverture personnalisé :


La ville de Bruges est la véritable héroïne de ce roman. Avec ses tours, ses cloches et ses canaux silencieux sillonnés de cygnes sous un ciel de brume, elle plante le décor au réalisme magique, inoubliable de ce drame qu’est la mort, ainsi que la fatalité.

Georges Rodenbach est un poète symboliste belge de la fin du dix-neuvième siècle. Il a publié une bonne vingtaine d’ouvrages.


Avis personnel sur ce livre :


Bruges-la-morte fût la première œuvre de Rodenbach que je lisais. Sa tournure et son style ont fait que je n’en lirais pas d’autres car c’est une écriture qui ne m’a pas convaincue personnellement. Après, il se peut que je ne sois pas habituée à la plume de l’auteur qu’est Georges Rodenbach.

Peut-être qu’un jour je changerais d’avis, mais pour l’heure je ne suis pas persuadée que ce sera le cas.

Le cercle


4ème de couverture personnalisé :


Mae Holland n’en revient pas lorsqu’elle est engagée par ‘Le Cercle’, un fournisseur d’accès Internet, installé sur un campus californien. Celui-ci relie tout ce qui se fait sur internet à un système d’exploitation universel, qui est à l’origine d’une nouvelle ère hyper-numérique, qui prône la civilité et la transparence.
Mae n’en revient pas de travailler pour l’entreprise la plus influente qui soit. Mais, le campus l’absorbe entièrement, l’éloignant de ses proches et l’exposant aux yeux du monde en participant au dernier projet du Cercle, qui est d’une avancée considérable et inquiétante.
Ce qui ressemble d’abord au portrait d’une femme ambitieuse et idéaliste devient rapidement un roman haletant, qui étudie les liens troubles entre mémoire et histoire, vie privée et addiction aux réseaux sociaux, et interroge les limites de la connaissance humaine.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais vu passer ‘le Cercle’ sur les réseaux sociaux, mais sur le moment il ne m’intéressait pas plus que cela. Puis un jour une personne sur Instagram en a tellement bien parlé que cela m’a donné envie de le lire. Donc je peux dire merci à cette personne car je ne regrette absolument pas ma lecture, et en plus cela m’a convaincu qu’on est un peu trop connecté aux écrans.
D’une certaine manière ‘le Cercle’ m’a fait penser à ‘la vague’ de Todd Strasser. Le récit de Dave Eggers est étrange, mais tellement vrai, et assez effrayante comme histoire.
Au début de l’histoire Mae commence son nouveau travail dans l’entreprise qu’est Le Cercle, et elle va commencer à l’expérience client. Un jour, vient le moment où tout s’accélère. On lui explique qu’il y a un classement et que c’est mieux d’être dans les meilleurs. Pour cela, il faut être connecté à longueur de temps et poster sans arrêt, ce que Mae va faire. Elle doit être connectée tout le temps, au point qu’elle ne peut plus rien faire sans être obligée de le partager sur les réseaux sociaux.
En ce qui concerne les personnages, je n’ai pas aimé Mae, qui est la protagoniste de l’histoire. Je l’ai trouvé énervante à se plaindre et se poser des questions. Il y a un moment de l’histoire qui est un très bon exemple. Il y a une question qui est « est-ce que Mae est super ? » il y a un peu plus de 300 personnes sur 10 00 qui répondent non. Cela représente à peu près 3% et pourtant, Mae va se plaindre que ces gens ne l’aiment pas et elle va se remettre en question, et faire en sorte de se faire bien voir.
Francis l’un de ses amis va lui dire que cela ne veut rien dire. En parlant de lui, j’ai trouvé que c’était quelqu’un de très attachant.
Quand je regarde autour de moi je vois pleins de gens sur leur téléphone ou autre écran facilement transportable et je trouve que c’est dommage. Je ne dis pas que je ne suis jamais sur les écrans pour les réseaux sociaux ou autres mais j’essaye simplement de décrocher de temps à autres et de faire autre chose.
Pour conclure, c’est un livre très perturbant et bluffant. J’ai beaucoup aimé, presque adoré même.

Le vieil homme et la mer


4ème de couverture personnalisé :


Un vieil homme, qui est un vieux pêcheur, part seul sur la mer, dans sa petite barque. Il part à la recherche d’une grande prise. Le grand poisson mord à l’hameçon du vieil homme. Le vieux pêcheur luttera contre cet énorme poisson, pendant trois jours et deux nuits. Il viendra à bout de l’animal, au prix d’efforts incroyables. Après cela, le vieil homme met le cap sur la terre, mais au bout d’une heure les requins arrivent et commencent à manger le grand poisson. L’homme en tue le plus qu’il peut, mais quand il rentre au port, il ne reste pas grand-chose du poisson excepté la tête et les arêtes.
Ce récit dépeint la condition même de l’homme. C’est l’histoire du courage humain, de l’énergie humaine, de l’amour des êtres. La victoire du cœur sur le désespoir.


Avis personnel sur ce livre :


Je trouve que c’est un livre très intéressant. Quand je l’ai lu, j’ai trouvé qu’il manquait d’action, mais avec le recul je me dis que c’est l’histoire qui veut cela. Ce n’était peut-être pas le bon moment pour moi de le lire.
Dans ce récit, nous suivons Santiago, un vieux pêcheur qui n’a rien pécher depuis 84 jours. Il se dit que le 85° jour sera le bon. Il a raison car il pêche un gros poisson. Cependant, le poisson est coriace, et fait dériver le vieux pendant trois jours. Au cours du troisième jour, le poisson fatigue et Santiago arrive à l’achever.
J’ai lu ce récit d’Ernest Hemingway, car j’avais envie de découvrir cet auteur. Bien que le récit soit intéressant, et que l’écrivain ait une écriture particulière, je pense que je ne lirais pas d’autres livres de lui, car je pense que c’est un auteur qui n’est pas fait pour moi.

Une bonne épouse indienne


4ème de couverture personnalisé :


L’un des fondements de la famille en Inde, est le mariage arrangé. C’est l’une des traditions à peu près immuables encore maintenue à l’heure actuelle par les femmes des familles, et à l’insu ou presque des principaux intéressés.
Neel est un indien qui a étudié aux Etats-Unis, et il est devenu un anesthésiste brillant dans le plus grand hôpital de San Francisco, il ne va pas échapper à cette tradition, malgré son passeport américain, et sa maîtresse californienne. Alors qu’il effectue un bref voyage en Inde, il se retrouve marié à Leila, qu’il n’a vu qu’une seule fois. Bien que Leila, soit belle et intelligente, Neel n’en veut pas. Pourtant, il est obligé de la ramener avec lui à San Francisco. Une fois sur place, il va lui mener la vie dure avec pour objectif de s’en débarrasser.
Au début, Leila sera apeurée, soumise et perdue dans un univers dont elle ignore les codes. Elle va pourtant se reprendre, deviner, comprendre et refuser d’accepter. Ce qui fait qu’elle va gagner sur toute la ligne. Sans bruit, sans drame, sans scènes et pas à pas, elle va prouver à son insupportable mari qu’il n’est pas aisé de se couper de ses racines, et qu’avoir une bonne épouse indienne, est sûrement la meilleure chose qui pouvait lui arriver.


Avis personnel sur ce livre :


Un jour alors que je faisais un tour dans une librairie, j’ai vu qu’il y avait des cônes surprises. Comme je n’avais pas d’idée particulière d’achat, et que je souhaitais découvrir de nouveaux livres, j’ai acheté un cône. A l’intérieur, il y avait, « une bonne épouse indienne » et quelques goodies. Je pense que j’ai bien fais, car cela fût une incroyable découverte. En plus, ce n’est pas le genre de livre vers lequel je vais à l’ordinaire.
La plume de l’autrice est incroyable. Je l’ai trouvé fluide. J’ai trouvé les personnages attachants sauf la tante de Neel, mais de mon point de vue, dans tous les ouvrages, il faut un personnage que l’on n’aime moins que les autres. En ce qui concerne Leila, je la trouvais parfois irritante à croire que, ce qui se passait dans les romans à l’eau de rose pouvait être vrai dans la vraie vie, mais d’un autre côté ses croyances la rendent très attachante.
Dans ce récit d’Anne Cherian, on découvre des choses sur la culture indienne ce qui est très intéressant. La lecture de ce livre fût une bonne lecture, et une jolie découverte.

La cantatrice chauve


4ème de couverture personnalisé :


Résumé la pièce d’Eugène Ionesco est chose presque impossible, tellement l’absurde est omniprésent. Cependant, nous pouvons dégager un semblant d’histoire : les Smith, famille traditionnelle, reçoivent les Martin. Le capitaine des pompiers leur rend visiter et il reconnait en Mary, la bonne des Smith, une vieille amie.
Cela ne retrace pas l’ambiance de la pièce dans laquelle, aucune intrique n’est présente. Cette œuvre est une autopsie de la société contemporaine par le truchement de propos ridicule, par leur banalité, que tiennent deux couples au coin du feu.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais lu une première fois cette pièce au collège et j’avais beaucoup aimé. Comme j’ai décidé de lire ou relire des pièces de théâtres, j’ai relu la cantatrice chauve.
Au collège j’avais beaucoup aimé cette pièce de théâtre, mais aujourd’hui après relecture je reconnais avoir moins apprécié. Peut-être que si j’ai moins aimé c’est que mes goûts ont évolué, ce qui est normal, ou alors c’est parce-que je n’ai pas l’habitude du théâtre comme genre littéraire et que je n’arrivais pas à en profiter pleinement.
Bien que mon avis ait changé comparé à la première fois ce fut une bonne lecture, amusante tout de même.