Aude Perrin
- ROMANCIERE
- LECTRICE-CORRECTRICE
- CIVILISATIONISTE
- TRES GRANDE LECTRICE
Moi, c’est Christelle. Mon nom de plume c’est Nora (ou Nora Nash pour certains romans). J’écris depuis mes huit ans. J’ai commencé par des nouvelles, puis un jour j’ai décidé d’écrire un premier roman Trouble jeu, il était inspiré de faits réels, mais aussi de beaucoup d’imagination, il a été réédité sous le nom Affaire(s) Nash, dix ans après. Ensuite, j’ai continué dans le fantastique/ fantasy avec la pierre de Srha et la vie secrète des hamsters. Dans les derniers policiers, j’ai écrit la malédiction du bestseller.
Bientôt en dédicace pour son premier roman, cette femme de lettres se révèle être une « belle plume » selon les dires d’une ancienne agrégée de Lettres. Son roman La Force de l’Amitié est une fiction touchante, à lire et à relire pour découvrir et redécouvrir le goût de la Douleur, mais également de l’Espoir et de la Vie !
Pourquoi le Storytelling ?
Lectrice d’ouvrages en tout genre et de fanfictions sur Internet depuis ma plus tendre enfance, la passion pour l’écriture n’est apparue qu’en 2013 et je puise mes idées dans mon imagination et dans les études que j’ai faites. Belle découverte !.
Interview, impressions...
- Aude, écrivez-vous tous les jours ?
Malheureusement…non ! Les journées sont trop courtes, et j’avoue que je dois « avoir la tête » au processus d’écriture. J’écris par phase. Certaines fois, je peux écrire plusieurs jours d’affilée, d’autres fois, une fois de temps en temps… Et le temps file, inéluctablement ! Tout dépend aussi de ma réflexion sur ce que je vais écrire : quand je « réfléchis », je ne me mets jamais devant ma feuille (c’est peut-être une erreur !) mais j’attends de savoir à propos de quoi je vais écrire. C’est parfois frustant, je vous l’accorde, surtout quand votre roman n’avance pas malgré l’envie que vous avez de le continuer !
- Qu’est-ce qui vous a amenée à l’écriture ?
Malgré de hautes études littéraires et linguistiques et une passion dévorante pour la littérature française et étrangère, je n’aimais pas écrire les « rédactions » demandées au collège ou au lycée (sujet imposé, temps imparti etc).
Depuis mon adolescence, je lis en outre des ouvrages habituels, des fanfictions d’Harry Potter, de Twilight… J’ai essayé de commencer à écrire à cette époque une fanfiction sur Harry Potter, mais je n’arrivais pas à faire s’envoler mon imagination. J’ai donc laissé tomber.
Puis à l’été 2012, j’ai découvert la trilogie de Jenny Han : 1) L’été où je suis devenue jolie, 2) L’été où je t’ai retrouvé et 3) L’été devant nous. J’ai tellement été captivée par cette série pour adolescents que je me suis promis qu’un jour, à mon tour, j’écrirai un roman.
Mon projet de premier roman a débuté en 2013 lors d’une période sans études, ni activité professionnelle, avec une première édition de 2020
- Quels sont vos projets en cours ou à venir ?
La Force de l’Amitié est donc paru une première fois chez les éditions Sydney Laurent en novembre 2020 et a été réédité chez les éditions Milot en mai 2023. J’ai débuté immédiatement un roman historique sur l’Angleterre, actuellement en pause d’écriture.
J’ai commencé un autre roman en janvier 2023 qui relatera un drame au moment de Noël -j’espère le finir très vite !-. J’ai également en projet d’écriture une trilogie de fantasy-fantastique. Et pleins d’autres projets en tête, que vous découvrirez au fur et à mesure, c’est promis!
- Maison d’édition ou auto-édité ?
Je commence à penser sérieusement à l’auto-édition, suite à mes déboires avec les éditeurs. L’avantage d’être en Maison, c’est qu’ils s’occupent de créer le livre, d’imprimer et que dans la logique des choses, l’auteur bénéficie en principe de leurs réseaux de distribution. Revers de la médaille, les éditeurs rémunèrent à peine 2 euros par livre vendu!
Cerise sur le gâteau et que beaucoup ne savent pas, l’auteur doit acheter ses propres exemplaires s’il veut dédicacer son propre livre!
L’auto-édition quant à elle, permet de garder une liberté d’action en tant qu’auteur et d’être mieux rémunéré pour son travail. Pour information: le prix de vente affiché revient entièrement -ou presque- à l’auteur.