Vendez vos livres en direct. Aucun intermédiaire

Toyoko Kids : jeunesse à vendre

Au cœur du Japon, où la tradition rencontre la modernité, une histoire de contraste et de complexité se déroule à l’abri du regard quotidien.

Ce récit est tissé des murmures silencieux de ceux qui vivent dans les ombres du soir.

Nous embarquons dans un voyage à la découverte des enfants de Toyoko à travers la vision de l’un d’eux, un adolescent qui vécu dans la rue.

Dans ce pays où règne la discrétion, souffrance, rejet, prostitution, exploitation, doivent être cachés.

Bienvenue dans les profondeurs de l’invisible ; bienvenue dans le quartier du Kabuki-chō après la tombée de la nuit, au crépuscule du pays du Soleil Levant, quand tout devient possible à la lueur des néons.

Une vie de flic

Éric est flic depuis le début des années 1990. Il a d’abord exercé en Seine-Saint-Denis, le département de tous les excès, puis dans le Sud de la France. En trente ans de carrière, il a enquêté sur toutes sortes d’affaires et croisé des meurtriers, voyous, professionnels de l’arnaque, petits drogués et grands trafiquants.

Dans ce livre sans tabou, il dévoile l’envers du décor et les moments qui ont marqué sa vie de policier. Les interventions musclées où l’on risque sa vie, les planques interminables, les indics qui flirtent avec l’illégalité, les interrogatoires, le suicide de collègues, les arrestations…

Avec beaucoup de passion, il raconte ce métier souvent injustement décrié. Loin de l’image du «  fonctionnaire  » de police, on découvre qu’être flic c’est d’abord respecter les valeurs de courage, dévouement et intégrité. Un témoignage-vérité sur une véritable vocation au service des autres.

Coïncidences

Je vais vous raconter une histoire. Une histoire vraie, comme il en existe tant d’autres. Mais celle-ci, c’est l’histoire de Caroline et de Jacques. Deux êtres dont les chemins n’avaient qu’une infime chance de se croiser. Pourtant ce fut le cas à deux reprises. Le 25 novembre 1978, lors d’une enquête hors du commun, en plein coeur de Paris, puis trente-huit ans plus tard, tandis que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel venait d’assassiner quatre-vingt-six personnes à Nice. Sur la terre, il existe de multiples destinées. Certaines, d’une belle simplicité, gorgées d’implications et d’altruisme en côtoient parfois d’autres, emplies de douleurs et d’avatars. Les voici réunies.

Tribulations d’un écrivaillon

D’un théâtre Valentinois en passant par un aéroport, de la Tunisie à la Côte d’Ivoire, du Pont du Gard aux rives du Rhône, d’une traversée héroïque et la recette d’une gourmandise, suivez l’auteur dans ses tribulations, tantôt comique , tantôt graves.

Joueur avec les mots, mais toujours rêveur et poète, il accorde un regard parfois acide et réaliste sur nos contemporains, mais aussi porteur de courage pour l’avenir.

De pages en pages, de nouvelles en nouvelles, les textes sana liens  si ce n’est le besoin de crier la vie défilent.

Takamat, servante du désert

Sous Constantin 1er, en Afrique romaine, une dame riche fuit, avec sa servante, une existence dorée. Pourquoi ont-elles abandonné une vie paisible ? Probable que personne ne le sût. Oubliant ses doutes, la jeune Takamat suit sa maîtresse à travers les montagnes et le désert, bravant les tempêtes, les esprits de la nuit, la soif, les blessures, jusqu’à ce que…

Rien ne les présageait à ce destin incroyable.

Tin Hinan s’oppose aux lois romaines, au fanatisme de certaines hordes, combat armes à la main ses opposants et devient, par sa bravoure, la reine des Berbères. Aujourd’hui encore, Tin Hinan, incarnation de l’intelligence et du charme, et Takamat sont considérées par les Touaregs comme leurs ancêtres.

Asseyez-vous autour d’un feu de bois et écoutez Takamat vous raconter leur épopée.

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le passais – T1

Marie LELANDAIS « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le Passais
En 1902, Julien Salles, maire de Flers dans l’Orne présenta à l’Académie Française un mémoire relatant la vie de Marie LELANDAIS (1821-1902), afin que lui soit décerné « Le Prix de Vertu ». 110 ans plus tard,  Marie revient raconter sa vie à Côme, que 7 générations séparent.
Elle raconte sa vie simplement, parfois avec son parler du pays bas-normand et toujours avec honnêteté, sincérité et humour.
Afin que Côme comprenne bien comment elle a vécu et pourquoi sa vie a été celle qu’elle fût, elle entreprend de commencer son récit par l’histoire de ses deux grands-pères : le « Bleu » et le « Blanc » ou le « Républicain » et le « Chouan », qui s’affrontèrent pendant la Révolution.
Elle raconte le monde rude des paysans normands de cette époque, nous raconte sa vie en tant que bonne de ferme dans ce début de 19éme siècle.
Il s’agit d’une histoire réellement vécue où l’histoire d’une personne, l’histoire locale et l’histoire de France se mêlent.

Il s’agit là du premier volume de cette saga historique 1789/1902
« Cette personne a existé : c’était Marie-Jeanne-Julienne Lelandais.  Tout le monde dans la contrée connait la belle conduite et le dévouement de cette fille……Profitant de la confiance qu’elle m’a accordée, je lui fais raconter tous les détails de son existence ; elle me fait souvent couler des larmes, mais à chaque visite, je recommence à la questionner tant j’éprouve d’émotion et de bonheur à entendre cette brave fille me parler avec simplicité et comme d’une chose toute naturelle des actes d’héroïsme qu’elle a accomplis.. »

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1840/1861-Domfront – T2

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1840/1861 – DOMFRONT
 Volume 2 de cette saga historique

Marie Lelandais, aurait pu se fondre dans la population sans que personne ne la remarque, tant elle était discrète. Mais c’était sans compter sur Julien Salles, Maire de Flers, qui, ému par sa vie, décida d’en écrire les détails dans un mémoire qu’il présenta à l’Académie française,  pour qu’un prix de vertu lui soit accordé.
C’était en 1902.
Aujourd’hui, Marie revient nous faire le récit de sa vie en s’adressant à un petit garçon, Côme, que 7 générations séparent. Elle lui raconte avec simplicité ce qu’était sa vie dans ce 19éme siècle.
Dans le premier volume, son récit s’arrête en 1840, lorsque qu’un banquier vient la sortir de l’enfer où elle vivait. Une nouvelle vie s’offre alors à elle, une vie de confort, de sécurité. Elle connaîtra l’amitié sincère et rencontrera l’amour. Mais ce bonheur durera-t-il, dans ce siècle bercé par  tant de transformations politiques, techniques, économiques et sociales ?
Elle connaîtra dans les moindres détails les turbulences d’une famille bourgeoise, qui à l’automne de sa vie, fera prendre un détour insoupçonné à son destin.
La vie n’est-elle faite que d’un éternel recommencement ?

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1861 / 1902 – Paris-Flers T3

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1861/1902 – PARIS-FLERS
3ème et dernier opus de cette saga historique !

1861, Jacques-François LOUVEL, banquier de Domfront et protecteur de Marie,  meurt brutalement et bizarrement. La banqueroute est inévitable.
Paul-Prosper, le frère et associé de la banque Louvel frères, et directeur de la ferme-école du Saut-Gautier, disparaît à son tour. Seule la veuve doit faire face aux créanciers et sa ruine est inévitable.
Marie, sans hésiter et fidèle à la promesse qu’elle fit à son maître sur son lit de mort, décida de sauver sa famille du déshonneur et du scandale en fuyant avec elle et ses enfants pour la capitale, laissant derrière elle, son pays, sa famille, son amour.
Réussira-t-elle à survivre dans ce Paris misérable de ce début de 19ème siècle où une foule de personnes s’engouffre pour se noyer dans la masse ? Neuf ans plus tard, la guerre est annoncée. À nouveau, il faut fuir, se battre et recommencer…
L’auteure, Guylaine Bisson, originaire de Bellou-en-Houlme, un petit village de l’Orne a depuis sa tendre enfance, été passionnée de généalogie et d’histoire locale.
Le hasard, peut-être guidé par Marie Lelandais, lui a mis entre les mains l’écrit que Julien Salles, Maire de Flers dans l’Orne, a transmis à l’académie française en 1902. Ce texte, relatant les grandes lignes de la vie de Marie Lelandais, fut retenu par les académiciens qui décidèrent de lui attribuer le Prix Monthyon ou Prix de Vertu, haute récompense pour son sacrifice et son dévouement.
De ce mémoire, Guylaine Bisson a su, à force de recherches, d’enquêtes, de lecture, en faire un roman, décliné en 3 volumes, digne d’une série télévisée.
La façon dont Marie perçoit et raconte sa vie, avec force, énergie et humour, donne à ce roman, parallèlement à son histoire, une étonnante vision de l’histoire de France de ce 19ème  siècle.
Le roman de l’histoire de Marie Lelandais, ne se lit pas tout simplement, il se dévore.

Mémoires de la 1ère guillotine de Haute-Loire

Louison vous présente sa vie, ses origines, ses cousines, ses pourvoyeurs et les bourreaux ainsi que tous ceux qui prenaient soin d’elle. Elle vous parle aussi de tous ceux qui sont passés sous sa lame. Elle se défend : produit du cerveau humain, son but premier était l’humanisation de la mort des condamnés, car la morale humaine de l’époque n’était pas encore à l’abolition de la peine de mort. Elle a été une précurseure de certaines avancées sociales comme les pensions d’invalidité et de réversion.

Au Bout Du Chemin

Antoine se trouve pris au piège d’un épuisement professionnel, confronté aux moments les plus obscurs de son existence et à la conviction d’avoir été injustement traité. Malgré la sollicitude que lui prodigue Marion ainsi que leurs enfants, Antoine s’enfonce dans une période difficile, une traversée aride, dans le but de confronter les peines qui le tourmentent.

Dans cette quête intérieure, il croisera le chemin d’individus aux personnalités totalement disparates, ces rencontres éclairant des facettes de sa propre nature et des éléments de sa quête personnelle. Des réminiscences surgiront, évoquant des moments passés, particulièrement sa rencontre avec Marion, celle qui lui a fait redécouvrir le pouvoir de l’amour. Ces souvenirs émergeront graduellement au fil de l’histoire.

Quelles sont les aspirations profondes d’Antoine ? Quels détails cachés ses angoisses révèlent-elles ? Où le mèneront ces appréhensions ?