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Une vie de flic

Éric est flic depuis le début des années 1990. Il a d’abord exercé en Seine-Saint-Denis, le département de tous les excès, puis dans le Sud de la France. En trente ans de carrière, il a enquêté sur toutes sortes d’affaires et croisé des meurtriers, voyous, professionnels de l’arnaque, petits drogués et grands trafiquants.

Dans ce livre sans tabou, il dévoile l’envers du décor et les moments qui ont marqué sa vie de policier. Les interventions musclées où l’on risque sa vie, les planques interminables, les indics qui flirtent avec l’illégalité, les interrogatoires, le suicide de collègues, les arrestations…

Avec beaucoup de passion, il raconte ce métier souvent injustement décrié. Loin de l’image du «  fonctionnaire  » de police, on découvre qu’être flic c’est d’abord respecter les valeurs de courage, dévouement et intégrité. Un témoignage-vérité sur une véritable vocation au service des autres.

Coïncidences

Je vais vous raconter une histoire. Une histoire vraie, comme il en existe tant d’autres. Mais celle-ci, c’est l’histoire de Caroline et de Jacques. Deux êtres dont les chemins n’avaient qu’une infime chance de se croiser. Pourtant ce fut le cas à deux reprises. Le 25 novembre 1978, lors d’une enquête hors du commun, en plein coeur de Paris, puis trente-huit ans plus tard, tandis que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel venait d’assassiner quatre-vingt-six personnes à Nice. Sur la terre, il existe de multiples destinées. Certaines, d’une belle simplicité, gorgées d’implications et d’altruisme en côtoient parfois d’autres, emplies de douleurs et d’avatars. Les voici réunies.

Tribulations d’un écrivaillon

D’un théâtre Valentinois en passant par un aéroport, de la Tunisie à la Côte d’Ivoire, du Pont du Gard aux rives du Rhône, d’une traversée héroïque et la recette d’une gourmandise, suivez l’auteur dans ses tribulations, tantôt comique , tantôt graves.

Joueur avec les mots, mais toujours rêveur et poète, il accorde un regard parfois acide et réaliste sur nos contemporains, mais aussi porteur de courage pour l’avenir.

De pages en pages, de nouvelles en nouvelles, les textes sana liens  si ce n’est le besoin de crier la vie défilent.

Takamat, servante du désert

Sous Constantin 1er, en Afrique romaine, une dame riche fuit, avec sa servante, une existence dorée. Pourquoi ont-elles abandonné une vie paisible ? Probable que personne ne le sût. Oubliant ses doutes, la jeune Takamat suit sa maîtresse à travers les montagnes et le désert, bravant les tempêtes, les esprits de la nuit, la soif, les blessures, jusqu’à ce que…

Rien ne les présageait à ce destin incroyable.

Tin Hinan s’oppose aux lois romaines, au fanatisme de certaines hordes, combat armes à la main ses opposants et devient, par sa bravoure, la reine des Berbères. Aujourd’hui encore, Tin Hinan, incarnation de l’intelligence et du charme, et Takamat sont considérées par les Touaregs comme leurs ancêtres.

Asseyez-vous autour d’un feu de bois et écoutez Takamat vous raconter leur épopée.

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le passais – T1

Marie LELANDAIS « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le Passais
En 1902, Julien Salles, maire de Flers dans l’Orne présenta à l’Académie Française un mémoire relatant la vie de Marie LELANDAIS (1821-1902), afin que lui soit décerné « Le Prix de Vertu ». 110 ans plus tard,  Marie revient raconter sa vie à Côme, que 7 générations séparent.
Elle raconte sa vie simplement, parfois avec son parler du pays bas-normand et toujours avec honnêteté, sincérité et humour.
Afin que Côme comprenne bien comment elle a vécu et pourquoi sa vie a été celle qu’elle fût, elle entreprend de commencer son récit par l’histoire de ses deux grands-pères : le « Bleu » et le « Blanc » ou le « Républicain » et le « Chouan », qui s’affrontèrent pendant la Révolution.
Elle raconte le monde rude des paysans normands de cette époque, nous raconte sa vie en tant que bonne de ferme dans ce début de 19éme siècle.
Il s’agit d’une histoire réellement vécue où l’histoire d’une personne, l’histoire locale et l’histoire de France se mêlent.

Il s’agit là du premier volume de cette saga historique 1789/1902
« Cette personne a existé : c’était Marie-Jeanne-Julienne Lelandais.  Tout le monde dans la contrée connait la belle conduite et le dévouement de cette fille……Profitant de la confiance qu’elle m’a accordée, je lui fais raconter tous les détails de son existence ; elle me fait souvent couler des larmes, mais à chaque visite, je recommence à la questionner tant j’éprouve d’émotion et de bonheur à entendre cette brave fille me parler avec simplicité et comme d’une chose toute naturelle des actes d’héroïsme qu’elle a accomplis.. »

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1840/1861-Domfront – T2

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1840/1861 – DOMFRONT
 Volume 2 de cette saga historique

Marie Lelandais, aurait pu se fondre dans la population sans que personne ne la remarque, tant elle était discrète. Mais c’était sans compter sur Julien Salles, Maire de Flers, qui, ému par sa vie, décida d’en écrire les détails dans un mémoire qu’il présenta à l’Académie française,  pour qu’un prix de vertu lui soit accordé.
C’était en 1902.
Aujourd’hui, Marie revient nous faire le récit de sa vie en s’adressant à un petit garçon, Côme, que 7 générations séparent. Elle lui raconte avec simplicité ce qu’était sa vie dans ce 19éme siècle.
Dans le premier volume, son récit s’arrête en 1840, lorsque qu’un banquier vient la sortir de l’enfer où elle vivait. Une nouvelle vie s’offre alors à elle, une vie de confort, de sécurité. Elle connaîtra l’amitié sincère et rencontrera l’amour. Mais ce bonheur durera-t-il, dans ce siècle bercé par  tant de transformations politiques, techniques, économiques et sociales ?
Elle connaîtra dans les moindres détails les turbulences d’une famille bourgeoise, qui à l’automne de sa vie, fera prendre un détour insoupçonné à son destin.
La vie n’est-elle faite que d’un éternel recommencement ?

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1861 / 1902 – Paris-Flers T3

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1861/1902 – PARIS-FLERS
3ème et dernier opus de cette saga historique !

1861, Jacques-François LOUVEL, banquier de Domfront et protecteur de Marie,  meurt brutalement et bizarrement. La banqueroute est inévitable.
Paul-Prosper, le frère et associé de la banque Louvel frères, et directeur de la ferme-école du Saut-Gautier, disparaît à son tour. Seule la veuve doit faire face aux créanciers et sa ruine est inévitable.
Marie, sans hésiter et fidèle à la promesse qu’elle fit à son maître sur son lit de mort, décida de sauver sa famille du déshonneur et du scandale en fuyant avec elle et ses enfants pour la capitale, laissant derrière elle, son pays, sa famille, son amour.
Réussira-t-elle à survivre dans ce Paris misérable de ce début de 19ème siècle où une foule de personnes s’engouffre pour se noyer dans la masse ? Neuf ans plus tard, la guerre est annoncée. À nouveau, il faut fuir, se battre et recommencer…
L’auteure, Guylaine Bisson, originaire de Bellou-en-Houlme, un petit village de l’Orne a depuis sa tendre enfance, été passionnée de généalogie et d’histoire locale.
Le hasard, peut-être guidé par Marie Lelandais, lui a mis entre les mains l’écrit que Julien Salles, Maire de Flers dans l’Orne, a transmis à l’académie française en 1902. Ce texte, relatant les grandes lignes de la vie de Marie Lelandais, fut retenu par les académiciens qui décidèrent de lui attribuer le Prix Monthyon ou Prix de Vertu, haute récompense pour son sacrifice et son dévouement.
De ce mémoire, Guylaine Bisson a su, à force de recherches, d’enquêtes, de lecture, en faire un roman, décliné en 3 volumes, digne d’une série télévisée.
La façon dont Marie perçoit et raconte sa vie, avec force, énergie et humour, donne à ce roman, parallèlement à son histoire, une étonnante vision de l’histoire de France de ce 19ème  siècle.
Le roman de l’histoire de Marie Lelandais, ne se lit pas tout simplement, il se dévore.

Mémoires de la 1ère guillotine de Haute-Loire

Louison vous présente sa vie, ses origines, ses cousines, ses pourvoyeurs et les bourreaux ainsi que tous ceux qui prenaient soin d’elle. Elle vous parle aussi de tous ceux qui sont passés sous sa lame. Elle se défend : produit du cerveau humain, son but premier était l’humanisation de la mort des condamnés, car la morale humaine de l’époque n’était pas encore à l’abolition de la peine de mort. Elle a été une précurseure de certaines avancées sociales comme les pensions d’invalidité et de réversion.

Au Bout Du Chemin

Antoine se trouve pris au piège d’un épuisement professionnel, confronté aux moments les plus obscurs de son existence et à la conviction d’avoir été injustement traité. Malgré la sollicitude que lui prodigue Marion ainsi que leurs enfants, Antoine s’enfonce dans une période difficile, une traversée aride, dans le but de confronter les peines qui le tourmentent.

Dans cette quête intérieure, il croisera le chemin d’individus aux personnalités totalement disparates, ces rencontres éclairant des facettes de sa propre nature et des éléments de sa quête personnelle. Des réminiscences surgiront, évoquant des moments passés, particulièrement sa rencontre avec Marion, celle qui lui a fait redécouvrir le pouvoir de l’amour. Ces souvenirs émergeront graduellement au fil de l’histoire.

Quelles sont les aspirations profondes d’Antoine ? Quels détails cachés ses angoisses révèlent-elles ? Où le mèneront ces appréhensions ?

La liste de Schindler

Il est difficile de faire un résumé parfait de livre magnifique, qu’est La liste de Schindler. Ce livre est un merveilleux hommage à l’Allemand Oskar Schindler, qui durant la Seconde Guerre mondiale, sauva mille deux cents juifs de la mort, en utilisant sa position dominante, ainsi que ses relations chez les SS. Il n’hésita pas non plus à utiliser son argent en pots-de-vin pour sauver la vie de ces personnes. Comme je l’ai dit juste avant, il est difficile de faire un résumé de La liste de Schindler, mais il est également difficile de faire un avis. Il est difficile de faire un avis, car cet ouvrage fait parti des récits qui vous prends au ventre et qui nous fait réfléchir, pendant longtemps par la suite. C’est un livre vraiment magnifique. Je pense que je le relirais car j’ai vraiment adoré.

Si c’est un homme


4ème de couverture personnalisé :


Selon moi, il est compliqué de faire un résumé de « Si c’est un homme » de Primo Levi sans dénaturer l’histoire. Le livre retrace la folie meurtrière du nazisme, du point de vue de Primo Levi, qui est enfermé dans l’un des camps car il est juif. Durant tout le livre, il va décrire sa vie, ainsi que la monstruosité des nazis, qui va culminer dans le refus de l’appartenance des juifs à l’humanité.


Avis personnel sur ce livre :


« Si c’est un homme » est un récit dont j’ai beaucoup entendu parler, mais pendant longtemps j’avais refusé de le lire, car je sentais que ce n’étais pas le bon moment et donc, je n’allais pas l’apprécier à sa juste valeur. Je pense que j’ai bien fait d’attendre pour le lire, ou dans ce cas l’écouter. Car en effet, quand je l’ai écouté, j’ai été pleinement happé par le récit. D’autant plus, que le narrateur à une voix qui rend l’histoire beaucoup plus intéressante. Je relirais l’ouvrage de Primo Levi avec plaisir et que cela soit en papier ou en audio.

Elle s’appelait Anne Frank


4ème de couverture personnalisé :


Durant la seconde guerre mondiale, de nombreux juifs se sont cachés. Les Frank ont fait parti de ces « clandestins » qui ont tout fait pour survivre. De nombreuses personnes ont fait leur possible pour aider les juifs à se cacher et à survivre. Miep Gies a fait parti de ces personnes. Après plusieurs années de silence, la jeune femme qu’elle était durant la guerre a décidé de témoigner. Dans « elle s’appelait Anne Frank », Miep raconte comment elle a aider les Frank à se cacher pendant plusieurs mois.


Avis personnel sur ce livre :


Lorsque j’avais lu le Journal d’Anne Frank, j’avais vu qu’il existait des ouvrages parlant de la jeune fille et de son courage. « Elle s’appelait Anne Frank » est l’un d’eux. J’ai adoré ce récit, et la plume de l’autrice aussi. J’ai trouvé cet ouvrage très touchant et très poignant. Avoir le point de vue de quelqu’un qui aide des juifs à se cacher pendant cette période difficile, qu’est la seconde guerre mondiale est très intéressant.
Pour les personnes qui aiment les témoignages, les récits de vies et qui aiment aussi les livres sur la période de la seconde guerre mondiale je recommande vraiment ce livre de Miep Gies.

Toujours là, Toujours prêt


4ème de couverture personnalisé :


Le 7 Janvier 2015 est un jour qui a plongé la France dans l’horreur. En effet, à 11h30 le local du journal satirique est prit d’assaut par deux hommes armés, qui tueront douze personnes. Cette attaque n’est que la première d’une longue série dans la journée. Patrick Pelloux aurait dû se trouver dans le local au moment de l’attaque mais il est arrivé après. Depuis, il se sent comme un rescapé. Dans ‘Toujours là, Toujours prêts’ il raconte ce qui c’est passé, puis comment tenir et continuer à vivre.


Avis personnel sur ce livre :


‘Toujours là, toujours prêts’ fait parti des livres où peu de mots suffisent pour exprimer ce que l’on ressent, car trop de mots ne voudront plus rien dire. Ce récit est extrêmement poignant et touchant, qui nous prend aux tripes. Je le recommande sincèrement. C’est un très beau livre.

Où es-tu maman ?


4ème de couverture personnalisé :


Cathy Glass est une mère d’accueil anglaise expérimentée. Quand on lui confie Melody, âgée de 8 ans, pour Cathy c’est un profil aussi triste que familier, qu’elle a déjà croisé à plusieurs reprises.

La petite Melody est élevée par une mère droguée et alcoolique. En plus de cela la fillette ne mange pas à sa faim, ne vas pas à l’école et vis dans un sous-sol froid et humide avec sa mère. Mais derrière ce cas banal de maltraitance ce cache une réalité bien plus complexe… et plus douloureuse. Avec douceur Cathy va tout faire pour redonner le sourire à Melody.


Avis personnel sur ce livre :


« Où-es tu maman ? » est écrit par une autrice que j’affectionne particulièrement. Ce livre est vraiment touchant on va y suivre Melody, âgée de 8 ans, qui sera placée chez Cathy Glass une mère d’accueil. La petite fille sera placée car sa mère ne s’occupe pas d’elle comme il faudrait. En effet, elle boit et elle se drogue ce qui a des conséquences comme le fait qu’elle oublie des choses. La mère de Melody est atteinte du syndrome de Korsakoff, bien que cela soit une supposition de ma part.

C’est Melody qui a tendance à s’occuper de sa mère. Cathy va aider la petite fille à se détacher de ses responsabilités et lui redonner le sourire. La mère d’accueil va s’arranger pour que la mère biologique de l’enfant reçoive l’aide dont elle a besoin. On s’identifie à Melody et on se demande comment on réagirait à sa place. Comparé à d’autres livres de Cathy Glass « où-es tu maman ? » est un livre plutôt léger bien qu’il soit dur.

Je suis née au harem


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Lors d’un voyage au Nigéria, la mère de Choca Regina Egbeme, est tombée amoureuse du père de Choca, David Egbeme, un riche exploitant agricole qui possédait un harem et dont elle a accepté de devenir la trente-troisième épouse.

 

Choca a vécu une enfance heureuse et insouciante derrière les murs du harem, protégée du monde extérieur. Les femmes et les enfants de David formaient une grande famille où tout le monde s’aimait et s’entraidait. Mais, lorsqu’elle à 16 ans, la vie de Choca se trouve bouleversée, lorsque son père l’oblige à se marier. Son mari est brutal et infidèle, alors elle décide de fuir avec son fils. Fuir… mais à quel prix ?


Avis personnel sur ce livre :


J’avais trouvé ce livre dans une boite à livre et j’avais essayé de le lire une première fois sans succès, cela ne devait pas être le bon moment, alors je l’ai remis dans ma bibliothèque en me disant je le lirais plus tard. Un jour je l’ai pris pour essayer de le relire et, je me suis plongée dans le récit de cette femme courageuse qui a vécu beaucoup d’épreuves mais qui s’est toujours relevée.

 

C’est un récit très dur et j’avais du mettre ma lecture en pause car c’était très éprouvant. Après quelques jours j’ai repris le livre et j’ai pu le terminer. C’est une lecture difficile car on y découvre une vie et une situation très dure et révoltante pour les femmes, du point de vue de notre mode de vie occidental. C’est une lecture très intéressante tout de même car on en apprend un peu sur la culture africaine, même si j’ignore si ça se passe comme cela dans toute l’Afrique.

La fille derrière le miroir


4ème de couverture personnalisé :


Alors qu’elle avait perdu tout contact depuis son enfance avec son grand-père, Mandy apprend que celui-ci est sur le point de mourir  et cette annonce la bouleverse. Elle décide de retourner dans cette maison où elle passait ses étés quand elle était très jeune. Cependant, une fois sur place, elle découvre les raisons qui ont mis fin à ses visites.

Mandy est une jeune femme, vivant dans une maison en Angleterre et elle commence à fréquenter un homme depuis un certain temps déjà. Le problème c’est que la jeune femme n’arrive pas à passer le cap avec lui. Elle ne sait pas pourquoi elle fait un blocage. Mandy va découvrir la réponse dans la maison de son grand-père, en apprenant que celui-ci est sur le point de mourir. Elle va découvrir aussi pourquoi ses parents ont arrêté de l’emmener chez son grand-père quand elle était petite, alors qu’elle y avait passé plusieurs étés.


Avis personnel sur ce livre :


Dans « la fille derrière le miroir » j’ai eu du mal à retrouve le plume de l’autrice, c’est peut-être parce qu’il est écrit de manière différente que les autres livres que j’ai pu lire de Cathy Glass. Pour moi ce fut une lecture très intéressante, mais légèrement moins immersive que les autres livres de cette autrice. Je ne regrette pas du tout de l’avoir lu c’est juste que la présentation est différente des autres ce qui fait que j’étais un peu perturbée.