Eric Oliva


  • AUTEUR
  • HISTOIRES VÉCUES
  • BIOGRAPHIE
  • POLARS

Pour tous les aficionados du roman policier, du thriller, du roman noir et des histoires vraies. Comment, après tant d’années de police judiciaire, ne pas avoir envie de raconter les méandres du métier en les mélangeant à une part de fiction (ou pas).
Des Emma (Du soleil vers l’enfer), des Kevin et des familles Saulnier (Sentence immédiate), j’en ai connu des tas. Leur vie a périclité si vite, qu’ils n’ont pas su s’en relever. Et puis il y a l’envers du décor (Une vie de flic). Celui que vous pensez connaître, mais qui vous étonnera toujours. 

A PROPOS DE MOI

Pourquoi le Storytelling ?

Le storytelling est l’art de raconter des histoires. Quand son métier donne autant de matière, ce serait une gageure de la mettre de côté. Mes histoires une suite d’images qui m’ont touchées au cours des 25 dernières années. La vie tient à un fil.

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« Des chapitres qui se suivent, haletants et addictifs, et qui déversent des flots d’émotions. »

STYLE & INFLUENCES

Interview, impressions...

Où vivez-vous aujourd’hui et pourriez-vous nous expliquer d’où vous vient cette envie d’écrire ?

Depuis bientôt 4 ans, je suis installé avec mon épouse dans la région du Péloponnèse en Grèce où je me consacre à mes chiens, mes oliviers et à l’écriture.

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Pour en revenir à cette dernière, je n’ai jamais été un grand lecteur et mon envie d’écrire est venue sur le tard. À 35 ans, je suis tombé sur un roman d’aventure écrit par mon écrivain fétiche (Clive Cussler). En quelques mois, j’épuisais toute sa bibliographie.

Pour moi, c’était devenu un besoin de lire qui s’est finalement transformé en besoin d’écrire.
J’ai tâtonné un moment, puis me suis décidé à écrire mon premier roman. Quelques années après, Peter (actuellement Mafia en eaux troubles) naissait.
Il était loin d’être parfait, mais plaisait néanmoins à mes premiers lecteurs/lectrices.

Mais la machine était lancée et un an plus tard, c’était au tour de Mrs Meredith Brown de voir le jour.
Le roman d’aventures laissait définitivement sa place au pur polar.

Quels sont les styles que vous avez adoptés ?

Lorsque j’ai commencé (à part mon premier roman qui est un mélange aventures/polar) l’écriture de romans policiers me paraissait être la solution autant logique qu’idéal. Ces histoires que je racontais me replongeaient dans mon vécu et je restais quelque part dans une zone de confort qui me convenait.
Et puis, avec le temps, j’ai compris ce qu’attendait mes lecteurs et je me suis laissé aller.

 

Je devais leur donner ce pour quoi ils prenaient le temps de me lire : émotions, frissons, plaisir et tous ces sentiments qu’on est en droit de chercher dans un roman.
J’ai donc enchaîné les polars, le noir, les thrillers, une biographie et même une autobiographie.

Des projets à court ou long terme ?

Des projets ? Toujours…
Un manuscrit est terminé depuis plusieurs mois et a été transmis pour concourir à un Prix. Ce serait une consécration après ces dix ans de travail, mais les participants sont nombreux et le niveau élevé. (wait and see)

Un second manuscrit est en cours d’écriture. Un polar historique écrit à quatre mains en collaboration avec mon ancien chef de brigade. Un second roman pour nous deux, puisqu’en 2020, Stups était édité aux éditions Lucien Souny puis repris par ma nouvelle maison d’édition Des livres et du Rêve.

Vous avez dit maisons d’édition ?

C’est un vaste sujet sur lequel on ne peut pas vraiment s’étendre.
Il y a celle qu’il faut éviter à tout prix : les maisons d’édition à compte d’auteur. Dès qu’on vous demande de payer pour être édité, il faut fuir.
Les grandes maisons d’édition : tous les auteurs en rêvent, mais peu sont élus. Et généralement, elles ne mettent en avant que leurs têtes d’affiche.

Les autres auteurs, s’ils sont néanmoins correctement diffusés, se perdent dans la masse.

Et puis il y a les petites ME : ce sont chez elles que les auteurs se sentent bien. Ils sont reconnus et travaillent main dans la main avec l’éditeur ou ‘éditrice qui fait son possible pour les faire connaître, les placer sur des salons ou des séances de dédicaces. Car c’est lors de ces journées que l’auteur/l’auteure va rencontrer son lectorat et se faire connaître.

SA PASSION

L'Ecriture...