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Aeternitas

Nous vivons une époque de ténèbres et de lumières ; une époque où la frontière entre le Bien et le Mal est si ténue, si fragile, que le souffle du vent pourrait bien l’effacer.

Je me nomme Estienne, cadet d’une noble et ancienne famille de Provence. Je ne suis qu’un simple prêcheur dominicain. Mon père, Rémi de Maurignan, comte de Castellac, possédait un grand domaine qui s’étendait de la puissante République de Gênes à l’est, aux hautes montagnes du royaume du Piémont au nord, et aux immenses territoires du comte de Provence à l’ouest. Au sud s’étirait la mer Méditerranée jusqu’aux confins de l’Orient.
Les conflits de nos voisins nous étaient épargnés grâce à la présence de la blanche abbaye qui se dressait sur le flanc de la montagne, au-dessus du val.
L’abbaye Saint-Sébastien avait été construite voilà plus d’un millénaire. Un terrible tremblement de terre la détruisit en totalité. Ne restait à son emplacement qu’un amoncellement de ruines qu’on disait maudites.

Avec courage et acharnement, les frères cisterciens la rebâtirent sur un éperon rocheux, isolé de tout et de tous. Siècle après siècle, ils y ajoutèrent divers bâtiments. Avec patience et méthode, ils construisirent l’une des plus belles abbayes de la Chrétienté, détentrice de « toute la connaissance du monde ».
La légende raconte que certaines de ses enluminures auraient eu le pouvoir de sauver les âmes. Peut-être était-ce pour cette raison que de nombreux puissants s’y rendaient en pèlerinage ?

La pureté de l’âme… qui sait à quoi elle ressemble.

L’histoire que je vais vous narrer n’est que le reflet de ces hommes et de ces femmes qui croyaient à une idée, un rêve peut-être. Certains se sont battus jusqu’à la mort sur des terres arides loin de chez eux, d’autres ont intrigué pour s’accaparer le pouvoir, mais un seul a compris que la connaissance surpassait toutes les croyances.

Les petites gens, ceux qui n’avaient ni arme, ni pouvoir, ont dit qu’il était un ange venu guider l’humanité vers la paix. D’autres ont vu en lui la réincarnation du Prophète. Un seul homme connait la vérité. Lui qui avait passé la moitié de sa vie en Terre Sainte, Esquieu de Maurignan, comte de Castellac, mon frère ainé.
C’est son histoire et celle de la blanche abbaye Saint-Sébastien que je vais vous conter mais avant cela, ce fut à Rome que tout commença en l’an 1276.

Une vie de flic

Éric est flic depuis le début des années 1990. Il a d’abord exercé en Seine-Saint-Denis, le département de tous les excès, puis dans le Sud de la France. En trente ans de carrière, il a enquêté sur toutes sortes d’affaires et croisé des meurtriers, voyous, professionnels de l’arnaque, petits drogués et grands trafiquants.

Dans ce livre sans tabou, il dévoile l’envers du décor et les moments qui ont marqué sa vie de policier. Les interventions musclées où l’on risque sa vie, les planques interminables, les indics qui flirtent avec l’illégalité, les interrogatoires, le suicide de collègues, les arrestations…

Avec beaucoup de passion, il raconte ce métier souvent injustement décrié. Loin de l’image du «  fonctionnaire  » de police, on découvre qu’être flic c’est d’abord respecter les valeurs de courage, dévouement et intégrité. Un témoignage-vérité sur une véritable vocation au service des autres.

Coïncidences

Je vais vous raconter une histoire. Une histoire vraie, comme il en existe tant d’autres. Mais celle-ci, c’est l’histoire de Caroline et de Jacques. Deux êtres dont les chemins n’avaient qu’une infime chance de se croiser. Pourtant ce fut le cas à deux reprises. Le 25 novembre 1978, lors d’une enquête hors du commun, en plein coeur de Paris, puis trente-huit ans plus tard, tandis que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel venait d’assassiner quatre-vingt-six personnes à Nice. Sur la terre, il existe de multiples destinées. Certaines, d’une belle simplicité, gorgées d’implications et d’altruisme en côtoient parfois d’autres, emplies de douleurs et d’avatars. Les voici réunies.

Tribulations d’un écrivaillon

D’un théâtre Valentinois en passant par un aéroport, de la Tunisie à la Côte d’Ivoire, du Pont du Gard aux rives du Rhône, d’une traversée héroïque et la recette d’une gourmandise, suivez l’auteur dans ses tribulations, tantôt comique , tantôt graves.

Joueur avec les mots, mais toujours rêveur et poète, il accorde un regard parfois acide et réaliste sur nos contemporains, mais aussi porteur de courage pour l’avenir.

De pages en pages, de nouvelles en nouvelles, les textes sana liens  si ce n’est le besoin de crier la vie défilent.

Jean l’Ecaillon

Issue d’une vieille famille de Rimogne (Ardennes), Jacqueline Hiver a voulu rendre hommage, à travers ces textes, au dur travail d’ardoisier exercé par les hommes du village et des environs et, à travers eux, à tous les travailleurs des mines. Mais parler des Ardennes sans parler des légendes était tout simplement impensable.

Les Ardennes, ce sont aussi les forêts, ses places fortes, des résistants, des artistes célèbres et d’autres un peu moins, mais tout aussi talentueux.

Ce sont ces Ardennes-là que Jacqueline souhaite nous faire découvrir. Ce sont SES Ardennes.
Soyez les bienvenu(e)s en terre ardennaise, terre d’histoire et de légendes !

Takamat, servante du désert

Sous Constantin 1er, en Afrique romaine, une dame riche fuit, avec sa servante, une existence dorée. Pourquoi ont-elles abandonné une vie paisible ? Probable que personne ne le sût. Oubliant ses doutes, la jeune Takamat suit sa maîtresse à travers les montagnes et le désert, bravant les tempêtes, les esprits de la nuit, la soif, les blessures, jusqu’à ce que…

Rien ne les présageait à ce destin incroyable.

Tin Hinan s’oppose aux lois romaines, au fanatisme de certaines hordes, combat armes à la main ses opposants et devient, par sa bravoure, la reine des Berbères. Aujourd’hui encore, Tin Hinan, incarnation de l’intelligence et du charme, et Takamat sont considérées par les Touaregs comme leurs ancêtres.

Asseyez-vous autour d’un feu de bois et écoutez Takamat vous raconter leur épopée.

UMR 122

Une unité mobile de reclassement est un programme de formation proposé à des demandeurs d’emploi, et dont le but est tant d’aider à trouver une nouvelle orientation professionnelle que de redonner confiance en soi. Sa durée est de six semaines.

« Longtemps je me suis rêvé en cinéaste. Dix ans de chômage et après une dépression fulgurante, j’ai émergé de mes songes pour m’immerger dans la réalité.

À chaque brassée j’en apprends davantage sur la nature humaine. Un feuilleton inépuisable…»

les cahiers de couleur sodium – L’odyssée de Volti

Une vie, pour peu qu’elle fût suffisamment longue, est une odyssée mais dont le voyageur ne s’est pas rendu dans des pays éloignés les uns aux autres mais traversa des époques — Celles-ci se modifiant régulièrement et, parfois même drastiquement au cours des temps scientifiques et politiques.

Ce cahier de couleur sodium propose deux approches particulières sur la personnalité d’un sculpteur, aujourd’hui décédé, Volti Antoniucci.

La première consiste en l’écriture de souvenirs d’enfant, de fils, qui revinrent à ma mémoire au cours de la rédaction, les faisant ainsi sortir de l’oubli et seront présentés sous la forme de légendes.

Cette partie de l’ouvrage met en avant les particularités d’un individu qui dans nos sociétés modernes seront souvent masquées, étant mis à mal par des pressions essentiellement politiques, corporatistes ou de simples jalousies.

La seconde approche concerne l’œuvre elle-même et regroupe des textes que j’ai écrits depuis de nombreuses années, au fil du temps et des expositions, escortées de citations de critiques qui auront, jadis, parlé et aimé son œuvre.

 

 

Lucy Africa

Lucy est une jeune fille d’origine africaine née en France, à Sarcelles. Elle porte le même prénom que le crâne fossile, âgé de plus de trois millions d’années, retrouvé en Éthiopie en 1974, ainsi que celui de la chanson des Beatles, Lucy in the sky with diamonds.

En compagnie de Paul et de Sam, sa ravissante petite amie, Lucy se rend en Afrique noire, au Bénin, pour participer à la recherche du trésor perdu de Béhanzin, Roi d’Abomey, qui fut combattu à la fin du dix-neuvième siècle par l’armée française dirigée par le Général Dodds.

Lors de cette quête folle qui lui permettra également de mieux connaître ses origines, Lucy va rencontrer des personnages hauts en couleur et vivre des situations palpitantes.

Mais, retrouvera-t-elle le trésor perdu de Béhanzin ? Rien n’est moins sûr…

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le passais – T1

Marie LELANDAIS « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le Passais
En 1902, Julien Salles, maire de Flers dans l’Orne présenta à l’Académie Française un mémoire relatant la vie de Marie LELANDAIS (1821-1902), afin que lui soit décerné « Le Prix de Vertu ». 110 ans plus tard,  Marie revient raconter sa vie à Côme, que 7 générations séparent.
Elle raconte sa vie simplement, parfois avec son parler du pays bas-normand et toujours avec honnêteté, sincérité et humour.
Afin que Côme comprenne bien comment elle a vécu et pourquoi sa vie a été celle qu’elle fût, elle entreprend de commencer son récit par l’histoire de ses deux grands-pères : le « Bleu » et le « Blanc » ou le « Républicain » et le « Chouan », qui s’affrontèrent pendant la Révolution.
Elle raconte le monde rude des paysans normands de cette époque, nous raconte sa vie en tant que bonne de ferme dans ce début de 19éme siècle.
Il s’agit d’une histoire réellement vécue où l’histoire d’une personne, l’histoire locale et l’histoire de France se mêlent.

Il s’agit là du premier volume de cette saga historique 1789/1902
« Cette personne a existé : c’était Marie-Jeanne-Julienne Lelandais.  Tout le monde dans la contrée connait la belle conduite et le dévouement de cette fille……Profitant de la confiance qu’elle m’a accordée, je lui fais raconter tous les détails de son existence ; elle me fait souvent couler des larmes, mais à chaque visite, je recommence à la questionner tant j’éprouve d’émotion et de bonheur à entendre cette brave fille me parler avec simplicité et comme d’une chose toute naturelle des actes d’héroïsme qu’elle a accomplis.. »

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1840/1861-Domfront – T2

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1840/1861 – DOMFRONT
 Volume 2 de cette saga historique

Marie Lelandais, aurait pu se fondre dans la population sans que personne ne la remarque, tant elle était discrète. Mais c’était sans compter sur Julien Salles, Maire de Flers, qui, ému par sa vie, décida d’en écrire les détails dans un mémoire qu’il présenta à l’Académie française,  pour qu’un prix de vertu lui soit accordé.
C’était en 1902.
Aujourd’hui, Marie revient nous faire le récit de sa vie en s’adressant à un petit garçon, Côme, que 7 générations séparent. Elle lui raconte avec simplicité ce qu’était sa vie dans ce 19éme siècle.
Dans le premier volume, son récit s’arrête en 1840, lorsque qu’un banquier vient la sortir de l’enfer où elle vivait. Une nouvelle vie s’offre alors à elle, une vie de confort, de sécurité. Elle connaîtra l’amitié sincère et rencontrera l’amour. Mais ce bonheur durera-t-il, dans ce siècle bercé par  tant de transformations politiques, techniques, économiques et sociales ?
Elle connaîtra dans les moindres détails les turbulences d’une famille bourgeoise, qui à l’automne de sa vie, fera prendre un détour insoupçonné à son destin.
La vie n’est-elle faite que d’un éternel recommencement ?

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1861 / 1902 – Paris-Flers T3

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1861/1902 – PARIS-FLERS
3ème et dernier opus de cette saga historique !

1861, Jacques-François LOUVEL, banquier de Domfront et protecteur de Marie,  meurt brutalement et bizarrement. La banqueroute est inévitable.
Paul-Prosper, le frère et associé de la banque Louvel frères, et directeur de la ferme-école du Saut-Gautier, disparaît à son tour. Seule la veuve doit faire face aux créanciers et sa ruine est inévitable.
Marie, sans hésiter et fidèle à la promesse qu’elle fit à son maître sur son lit de mort, décida de sauver sa famille du déshonneur et du scandale en fuyant avec elle et ses enfants pour la capitale, laissant derrière elle, son pays, sa famille, son amour.
Réussira-t-elle à survivre dans ce Paris misérable de ce début de 19ème siècle où une foule de personnes s’engouffre pour se noyer dans la masse ? Neuf ans plus tard, la guerre est annoncée. À nouveau, il faut fuir, se battre et recommencer…
L’auteure, Guylaine Bisson, originaire de Bellou-en-Houlme, un petit village de l’Orne a depuis sa tendre enfance, été passionnée de généalogie et d’histoire locale.
Le hasard, peut-être guidé par Marie Lelandais, lui a mis entre les mains l’écrit que Julien Salles, Maire de Flers dans l’Orne, a transmis à l’académie française en 1902. Ce texte, relatant les grandes lignes de la vie de Marie Lelandais, fut retenu par les académiciens qui décidèrent de lui attribuer le Prix Monthyon ou Prix de Vertu, haute récompense pour son sacrifice et son dévouement.
De ce mémoire, Guylaine Bisson a su, à force de recherches, d’enquêtes, de lecture, en faire un roman, décliné en 3 volumes, digne d’une série télévisée.
La façon dont Marie perçoit et raconte sa vie, avec force, énergie et humour, donne à ce roman, parallèlement à son histoire, une étonnante vision de l’histoire de France de ce 19ème  siècle.
Le roman de l’histoire de Marie Lelandais, ne se lit pas tout simplement, il se dévore.

Cahier de couleur sodium N°3- Humaliens

Des humanités en balade, dans les profondeurs de l’univers et les étrangetés du futur, dans les paysages de 15 histoires de science-fiction.

Dans une époque où les hommes et même certains scientifiques s’interrogent sur la présence possible d’extraterrestre sur Terre, ces récits imaginaires accompagnent celui, plus étrange, d’une histoire vécue.

 

Extrait de l’épilogue :

De nos jours, de nombreux témoignages accréditent de l’existence possible d’ Humaliens sur Terre à travers la mise en lumière d’évènements incompréhensibles qui sont relatés par des observateurs.

Ils sont recensés, étant illogiques, et analysés par des organismes dédiés. Le principal de ces manifestations trouvera une explication rationnelle et circonstancielle, mais certaines d’entre elles resteront inexpliquées.

 

La force de l’amitié

L’Amitié est une Force… C’est ce que va découvrir un groupe d’amis passionnés d’équitation, présents les uns pour les autres, à chaque fois que l’un d’entre eux subira les aléas de la vie. Comment Ambre, adolescente maltraitée par ses parents, parviendra-t-elle à se reconstruire au fil des mois et des années et à faire confiance à la vie et aux autres ? L’indéfectible soutien de ses amis lui permettra de mettre des mots sur ses maux et de s’ouvrir à l’Amour.

Mémoires de la 1ère guillotine de Haute-Loire

Louison vous présente sa vie, ses origines, ses cousines, ses pourvoyeurs et les bourreaux ainsi que tous ceux qui prenaient soin d’elle. Elle vous parle aussi de tous ceux qui sont passés sous sa lame. Elle se défend : produit du cerveau humain, son but premier était l’humanisation de la mort des condamnés, car la morale humaine de l’époque n’était pas encore à l’abolition de la peine de mort. Elle a été une précurseure de certaines avancées sociales comme les pensions d’invalidité et de réversion.

Au Bout Du Chemin

Antoine se trouve pris au piège d’un épuisement professionnel, confronté aux moments les plus obscurs de son existence et à la conviction d’avoir été injustement traité. Malgré la sollicitude que lui prodigue Marion ainsi que leurs enfants, Antoine s’enfonce dans une période difficile, une traversée aride, dans le but de confronter les peines qui le tourmentent.

Dans cette quête intérieure, il croisera le chemin d’individus aux personnalités totalement disparates, ces rencontres éclairant des facettes de sa propre nature et des éléments de sa quête personnelle. Des réminiscences surgiront, évoquant des moments passés, particulièrement sa rencontre avec Marion, celle qui lui a fait redécouvrir le pouvoir de l’amour. Ces souvenirs émergeront graduellement au fil de l’histoire.

Quelles sont les aspirations profondes d’Antoine ? Quels détails cachés ses angoisses révèlent-elles ? Où le mèneront ces appréhensions ?