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La patience des arbres


4ème de couverture personnalisé :


Le 21 mars 2016, Jérémy Laniel, un libraire québécois, vient passer quelques jours à Bruxelles. Le lendemain matin, plusieurs attentats terroristes touchent la ville. Le bilan est lourd. 32 morts.340 blessés. Ces événements ont inspiré à Jérémy ce texte fort. Contre la terreur, il célèbre l’importance du livre et de ses passeurs : les libraires.
Jérémy Laniel est libraire, critique et coordinateur éditorial de la revue Lettres québécoises. En plus de pouvoir le lire, on peut aussi l’entendre à différentes émissions de radio, dont La librairie francophone.
Il pense et dit : « A moi s’imposait l’idée qu’entre tous les commerces, tous pouvaient fermer, sauf un. La journée où les bombes et les balles feraient fermer les librairies, nous aurions perdu. A onze heures, comme l’indiquait l’horaire sur la porte, nous avons ouvert le grillage et déverrouillé la porte. Et nous avons attendu. »


Avis personnel sur ce livre :


Tout d’abord, un merci très chaleureux aux éditions ONLIT, pour l’envoi de ce livre. Ensuite, j’ai trouvé que le récit est magnifique et bien écrit. L’auteur va décrire ce qu’il ressent après les attentats de Bruxelles en 2016. Jérémy Laniel va aussi parler de son amour pour les livres. Il va partager son idée sur le fait que, la lecture, les livres et les libraires seront toujours plus forts que les terroristes. L’auteur pense que, le jour où les libraires seront obligés de fermer à cause des terroristes alors, tout sera perdu.
C’est un texte vraiment bouleversant. En à peine quelques pages, on ressent de très fortes émotions. Je le recommande vraiment.

Le cercle


4ème de couverture personnalisé :


Mae Holland n’en revient pas lorsqu’elle est engagée par ‘Le Cercle’, un fournisseur d’accès Internet, installé sur un campus californien. Celui-ci relie tout ce qui se fait sur internet à un système d’exploitation universel, qui est à l’origine d’une nouvelle ère hyper-numérique, qui prône la civilité et la transparence.
Mae n’en revient pas de travailler pour l’entreprise la plus influente qui soit. Mais, le campus l’absorbe entièrement, l’éloignant de ses proches et l’exposant aux yeux du monde en participant au dernier projet du Cercle, qui est d’une avancée considérable et inquiétante.
Ce qui ressemble d’abord au portrait d’une femme ambitieuse et idéaliste devient rapidement un roman haletant, qui étudie les liens troubles entre mémoire et histoire, vie privée et addiction aux réseaux sociaux, et interroge les limites de la connaissance humaine.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais vu passer ‘le Cercle’ sur les réseaux sociaux, mais sur le moment il ne m’intéressait pas plus que cela. Puis un jour une personne sur Instagram en a tellement bien parlé que cela m’a donné envie de le lire. Donc je peux dire merci à cette personne car je ne regrette absolument pas ma lecture, et en plus cela m’a convaincu qu’on est un peu trop connecté aux écrans.
D’une certaine manière ‘le Cercle’ m’a fait penser à ‘la vague’ de Todd Strasser. Le récit de Dave Eggers est étrange, mais tellement vrai, et assez effrayante comme histoire.
Au début de l’histoire Mae commence son nouveau travail dans l’entreprise qu’est Le Cercle, et elle va commencer à l’expérience client. Un jour, vient le moment où tout s’accélère. On lui explique qu’il y a un classement et que c’est mieux d’être dans les meilleurs. Pour cela, il faut être connecté à longueur de temps et poster sans arrêt, ce que Mae va faire. Elle doit être connectée tout le temps, au point qu’elle ne peut plus rien faire sans être obligée de le partager sur les réseaux sociaux.
En ce qui concerne les personnages, je n’ai pas aimé Mae, qui est la protagoniste de l’histoire. Je l’ai trouvé énervante à se plaindre et se poser des questions. Il y a un moment de l’histoire qui est un très bon exemple. Il y a une question qui est « est-ce que Mae est super ? » il y a un peu plus de 300 personnes sur 10 00 qui répondent non. Cela représente à peu près 3% et pourtant, Mae va se plaindre que ces gens ne l’aiment pas et elle va se remettre en question, et faire en sorte de se faire bien voir.
Francis l’un de ses amis va lui dire que cela ne veut rien dire. En parlant de lui, j’ai trouvé que c’était quelqu’un de très attachant.
Quand je regarde autour de moi je vois pleins de gens sur leur téléphone ou autre écran facilement transportable et je trouve que c’est dommage. Je ne dis pas que je ne suis jamais sur les écrans pour les réseaux sociaux ou autres mais j’essaye simplement de décrocher de temps à autres et de faire autre chose.
Pour conclure, c’est un livre très perturbant et bluffant. J’ai beaucoup aimé, presque adoré même.

La Vague


4ème de couverture personnalisé :


Le livre de Todd Strasser est basé sur une histoire réelle, qui s’est déroulée aux États-Unis, dans les années 1970. Alors que la classe de Ben Ross, un professeur d’Histoire, étudie la seconde guerre mondiale, les élèves s’interrogent sur la facilité du peuple allemand à suivre Hitler. Pour leur expliquer le professeur, va créer une expérience en appliquant certains principes du nazisme, et ainsi donner le sentiment à ses élèves d’appartenir à une élite.
L’expérience va durer cinq jours, et partir très loin. Faudra-t-il un choc pour réveiller les consciences et mettre fin à la démonstration ? Si oui, de quelle ampleur devra être ce choc ?


Avis personnel sur ce livre :


Ce livre est bouleversant et magnifique. La plume de l’auteur est sublime. J’avais vu le film il y a quelques années, et je savais que l’expérience avait été assez loin mais je ne me souvenais plus que ce fût à ce point.
Parfois il n’y a pas besoin de grand discours pour exprimer ce que l’on ressent. C’est le cas ici. Je recommande de tout cœur ‘La vague’.

Apprivoiser le stress


4ème de couverture personnalisé :


Est-il possible de vivre sans stress ? OUI, du moins il possible de faire en sorte qu’il n’affecte pas notre équilibre, ni notre santé !

Mais COMMENT  me direz-vous ?

C’est simple et pratique. Il y a trois étapes :

COMPRENDRE : il est essentiel de comprendre le processus qui s’enclenche automatiquement lorsqu’il y a une situation déstabilisante et qui entraine des transformations chimiques, biologiques et physiques pouvant, à long terme, devenir néfastes pour l’organisme.

EVALUER : grâce à de nombreuses pistes de réflexions proposées, une évaluation de notre vulnérabilité et notre niveau de stress est possible.

METTRE EN PLACE des stratégies efficaces, basées sur des exercices de respiration et de visualisation, et apprendre à apprivoiser et gérer notre stress.

A la fin de cette lecture, nous disposerons d’outils pour installer durablement le bien-être dans notre vie.


Avis personnel sur ce livre :


J’ai eu la chance de participer à la masse critique privilégiée de Babelio sur ce livre et je les remercie encore, pour leur confiance.

Apprivoiser le stress est un très bon livre de développement personnel qui nous permet de mieux gérer le stress, et nous apprendre à le diminuer.

Dans ce livre il y a plusieurs tests qui nous permettent de savoir quel est notre niveau de stress, ainsi que plusieurs exercices pour mieux respirer.

J’ai également retrouvé plusieurs choses que j’avais apprises durant mes études de psychologie. Je trouve que si nous sommes de nature stressée ce livre est un très bon moyen pour nous détendre.

Günther Anders – De la désuétude de l’homme


4ème de couverture personnalisé :


Dans cet essai qui est en quelque sorte une introduction à la pensée de Günther Anders, l’auteur, Thierry Simonelli, s’attache à mettre en avant et en perspective les analyses du philosophe allemand, sur l’obsolescence progressive de l’homme.
Günther Anders est un Européen qui reçut une éducation philosophique de l’entre-deux-guerres. C’est un humaniste farouche, qui mena un combat contre les armes nucléaires dans les années 50 et 60, aux côtés de Primo Lévi et Bertrand Russell.


Avis personnel sur ce livre :


J’ai reçu ce livre grâce à la masse critique de Babelio, que je remercie pour l’envoie. J’avais sélectionné cet ouvrage parmi d’autres car je ne connaissais, ni l’auteur, ni Günther Anders, et j’aime découvrir de nouveaux auteurs et styles.
Thierry Simonelli, l’auteur de ce récit est un psychanalyste et docteur en philosophie, qui s’est intéressé dans cet ouvrage à Günther Anders, qui fût un philosophe du XX° siècle. La philosophie est un domaine qui m’intrigue, sans forcément que je m’y intéresse plus que cela. Je pensais que ce livre m’aiderait à m’intéresser un peu plus à ce domaine qu’est la philosophie, malheureusement ce n’a pas été le cas pour moi.
J’ai eu énormément de mal à comprendre ce que voulait dire l’auteur. J’ai eu la sensation qu’il n’y avait pas forcément d’ordre dans les chapitres ou les phrases. Par exemple, à un moment il y a un chapitre sur la bombe atomique, ensuite on passe à la télévision sans transitions et on revient sur la bombe atomique.
Ce récit fait 91 pages, et je pense qu’avec un tel nombre, il devrait se lire vite, mais j’ai dû le lire en plusieurs fois, car j’ai trouvé le style difficilement accrocheur. Dans certains chapitres, il y a plusieurs fois le même mot dans la même phrase ou le même paragraphe, ce qui pour moi rendait incompréhensible l’idée de base.
Pour conclure, j’ai eu beaucoup de mal avec cet ouvrage, mais peut-être est-ce parce que je n’ai pas l’esprit suffisamment philosophique, pour apprécier et comprendre ce genre de lecture. Après je ne regrette pas ma lecture qui m’a permis de découvrir un nouvel auteur et aussi d’élargir mon champ de lecture.

Et vous avez eu beau temps ? La perfidie ordinaire des petites phrases


4ème de couverture personnalisé :


A la ville comme au village, Philippe Delerm écoute et regarde la comédie humaine. Il le fait pour ramasser toutes ces phrases faussement ordinaires. Il va révéler ce qu’elles cachent de perfidie et d’hypocrisie. Mais, il va également en glisser quelques-unes de plus douce. Ici Delerm laisse éclater son talent et sa drôlerie.
Un exemple typique de phrase qui est une question de fin d’été : « Et… Vous avez eu beau temps ? » Surtout quand le teint très pâlichon de la personne à qui la question est posée, trahit sans nul doute les jours de pluie.


Avis personnel sur ce livre :


« Et vous avez eu beau temps ? » est une belle découverte et un bon moment de lecture. J’ai trouvé la plume de l’auteur incroyable. Le livre se lit très facilement, une fois dedans on n’en sort plus. Philippe Delerm met en avant, avec justesse et humour, la bêtise gentille que peuvent avoir certaines questions. Ce livre nous fait passer un excellent moment. Je lirais d’autres récits de cet auteur sans problème.

Haute trahison


4ème de couverture personnalisé :


Le récit de ce livre est un monologue du narrateur. Celui-ci va se livrer à la critique d’un tableau. Il va également s’interroger sur l’essence et la forme qu’est cette pratique dans la société contemporaine.


Avis personnel sur ce livre :


J’ai reçu ce livre pour une masse critique de Babelio, que je remercie chaleureusement pour l’envoie. Quand j’ai vu que c’était un monologue j’étais un peu sceptique et angoissée, car ce n’est pas du tout mon style littéraire à l’origine. Lorsque je l’ai terminé, j’ai du admettre que je n’avais pas de raison d’avoir les craintes que j’avais, car cet ouvrage se lit très rapidement. D’ailleurs, dans le récit, il y a une phrase qui me correspond tout à fait, je trouve. Cette phrase est : « Il caressait l’idée qu’à cette occasion je sorte une bonne fois de ma zone de confort. »
En lisant ce livre et en le choisissant, je suis sortie de ma zone de confort, et c’est un choix que je ne regrette absolument pas. L’auteur rend intéressant son sujet. Le fait que l’ouvrage soit écrit sous forme de monologue, et que l’auteur exprime ses pensées de temps à autres, ne rend pas du tout ennuyeux l’histoire bien au contraire. Il y a des moments où j’ai eu le sourire aux lèvres.
Je recommande sincèrement ‘Haute Trahison’ surtout si on veut sortir de sa zone de prédilection.

La course ou la ville


4ème de couverture personnalisé :


Les chauffeurs-livreurs apparaissent comme des gêneurs, déclencheurs d’embouteillages et pollueurs. C’est à eux de concilier l’inconciliable. A savoir le stress des automobilistes, les exigences des clients, l’impatience des consommateurs et l’aspiration à la tranquillité des riverains.
Pourtant sans cette vaste population ouvrière, les magasins seraient vides. Alors la question suivante se pose : Qui se soucie de ces hommes et femmes qui approvisionnent les villes ?


Avis personnel sur ce livre :


J’ai trouvé ce livre sur le métier de chauffeur-livreur très intéressant. Ce récit montre ce que la grande majorité des gens ne voient pas et comment ils réagissent, moi y compris je l’avoue, quand nous sommes bloqués derrière un camion de livraison. Depuis que j’ai lu cet ouvrage et que je suis derrière un camion de livraison j’essaye de garder mon calme et de ne pas m’énerver, car le livreur ou la livreuse, fait simplement son métier.
Ce livre est très bien, et il nous permet de changer de point de vue sur le métier de chauffeur-livreur. La plume d’Eve Charrin est magnifique et je recommande ce récit. Je lirais d’autres récit de cette femme sans soucis.

Le moindre mal


4ème de couverture personnalisé :


François Bégaudeau fait le portrait d’une femme qui est animée par la passion du soin. Le besoin d’Isabelle de soulager les patients reste inébranlable. Malgré la mutation que connaît l’institution médicale avec la restructuration, la multiplication des actes et la compression du personnel. Parfois, c’est à se demander, comment continuer à aimer son métier lorsque l’institution à laquelle on a été si attaché se transforme si profondément ?


Avis personnel sur ce livre :


J’ai entendu parler de ce livre, que je ne connaissais pas, lors de ma première année de psychologie. Pendant longtemps je ne l’ai pas lu. Il y a quelques temps j’ai décidé de me lancer dans cette lecture. J’ai trouvé que c’était un récit très intéressant. Dans cet ouvrage, nous suivons Isabelle, une infirmière, qui a choisi son métier à la mort de son père. A savoir aider et soigner les gens.
Dans le quotidien d’Isabelle, on voit les moyens mis à la disposition du personnel médical se dégrader. Que cela ce soit le matériel ou le personnel non remplacé. Pour les hautes instances, le plus important c’est de faire des économies. On peut avoir l’impression qu’elles se fichent du personnel médical et des patients.
J’ai eu le sentiment, que certains médecins se croyaient supérieurs à leurs collègues infirmiers, aides soignants et autres. Qu’ils ne les reconnaissaient pas à leur juste valeur. Quoi qu’il en soit c’est un excellent livre que je recommande sincèrement.

En Amazonie infiltré dans le « meilleur des mondes »


4ème de couverture personnalisé :


Au moment des fêtes de Noël, Amazon recrute des milliers d’intérimaires pour son pic d’activité. Jean-Baptiste Malet, un journaliste, va infiltrer l’un des entrepôts logistiques du commerce en ligne. Après avoir appris la novlangue de l’entreprise et souscrit au credo managérial, c’est la plongée dans la mine pour lui. Il sera pickeur. C’est-à-dire que, Jean-Baptiste sera chargé d’extraire de leurs cellules des milliers de produits culturels, amassés sur des kilomètres de rayonnages. Le journaliste enverra ensuite, ces produits à un packeur, une personne chargée d’emballer les produits. Chaque nuit, il courra son semi-marathon, conscient de la nécessité de faire une belle performance voire de battre son propre record. Tout cela sous le contrôle vigilant des contremaîtres, cachés derrière un écran…


Avis personnel sur ce livre :


J’ai trouvé ce livre incroyable, et génial. Grâce à ce récit nous voyons l’envers du décor d’Amazon, ce qui s’y passe lors de la préparation des commandes. Quand on lit l’ouvrage, on comprend les employés et on les plaint. Quand j’ai finis le livre, je me suis dis qu’on pouvait résumer la situation des employés de cette entreprise par « Travaille, fais ce qu’on te dit et baisse la tête ». C’est le résumé que je m’en suis fait. Les ouvriers ont tellement peur qu’ils n’osent pas se syndiquer.
Simon, l’un des employés, dit qu’il est d’accord avec le syndicat (il en fait parti) mais n’ose pas le dire, car il a peur de perdre sa place de CDI. La plupart des gens travaillant dans les entrepôts d’Amazon sont intérimaires et quand on voit les conditions, on comprend pourquoi. Après avoir lu ce livre on ne voit plus Amazon de la même façon.
Ce livre est juste incroyable. La plume de l’auteur est d’une justesse incroyable. Je recommande ce livre de tout cœur.

Le livre du voyage


4ème de couverture personnalisé :


Dans « le livre du voyage » il n’ya pas de personnages principaux à proprement parlé. L’histoire se déroule entre le livre et le lecteur uniquement.

Le livre est en quelque sorte un livre interactif qui pousse le lecteur à visualiser, imaginer, ressentir des choses. Ce qui sera représenté dans l’esprit dépendra de la personne qui lit, car nous sommes tous différents.

Le personnage principal de cette histoire est nous-mêmes. Le livre va nous servir de guide pour notre évolution spirituelle.


Avis personnel sur ce livre :


Ce livre a été un coup de foudre littéraire. Je pense que tout le monde peut être touché par ce livre, y compris les personnes n’aimant pas lire et même les personnes ayant l’esprit fermé à diverses possibilités.

Le quai de Ouistreham


4ème de couverture personnalisé :


Florence Aubenas souhaite faire un reportage sur la précarité mais elle veut vivre l’expérience elle-même afin de fournir un témoignage au plus proche de la vérité. Pour cela, Florence part pour Caen et s’inscrit au chômage avec pour seul bagage le Bac. Elle ne révèlera pas qu’elle est journaliste. A Pôle Emploi, on va lui proposer de saisir sa chance et devenir agent de propreté dans des entreprises. Cet ouvrage est le récit de cette plongée dans le monde de la précarité. Un monde où on ne trouve plus d’emploi mais des « heures ».


Avis personnel sur ce livre :


‘Le quai de Ouistreham’ est un ouvrage très intéressant, dans lequel Florence Aubenas nous montre la difficulté du travail d’agent de propreté. La difficulté de trouver des heures, la difficulté de vivre ou survivre avec un salaire inférieur au SMIC. C’est un récit qui peut plaire tout comme choquer car les employés de ménages, sont décrits comme des moins que rien par les employeurs. Ils sont mal traités par les employeurs et les employés des entreprises, que ces personnes nettoient. Dans certains cas ils sont même « invisibles ». C’est un ouvrage qui peut plaire surtout si on s’intéresse à l’actualité. Ce livre, que j’ai beaucoup aimé, fait réfléchir et peut changer certaines mentalités.

En France


4ème de couverture personnalisé :


Ce livre est une esquisse des dynamiques qui agitent une France parfois désorientée. Un livre formé de différents récits de vie. « A force de quai de gare et de pourquoi, les textes choisis finissent par dessiner, en pointillé, un territoire ou plutôt un pays. La France. »


Avis personnel sur ce livre :


J’ai trouvé ce livre très intéressant et qui montre bien la France d’aujourd’hui, avec la crise, le racisme, la fermeture d’esprit de certaines personnes sur l’homosexualité ou la mixité sociale. Le récit montre aussi avec brio le ras-le-bol des français envers les politiques. A savoir que le peuple, en a assez de ne pas se sentir écouté par ceux qui gouvernent.
Il y a une phrase que j’ai beaucoup aimé ‘Comment peuvent-ils gouverner la France, alors qu’ils n’arrivent pas à compter pour eux-mêmes ?’
C’est un ouvrage qui se lit assez rapidement car il est court, mais très intense. D’un côté le fait que ce soit différents témoignages, m’a un peu dérangé car je n’ai pas l’habitude qu’il n’y ait pas de continuité mais c’était aussi très intéressant. Les différents témoignages ont un sujet en commun. La peur. La peur de l’avenir. Je recommande sincèrement cet ouvrage de Florence Aubenas.