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Takamat, servante du désert

Sous Constantin 1er, en Afrique romaine, une dame riche fuit, avec sa servante, une existence dorée. Pourquoi ont-elles abandonné une vie paisible ? Probable que personne ne le sût. Oubliant ses doutes, la jeune Takamat suit sa maîtresse à travers les montagnes et le désert, bravant les tempêtes, les esprits de la nuit, la soif, les blessures, jusqu’à ce que…

Rien ne les présageait à ce destin incroyable.

Tin Hinan s’oppose aux lois romaines, au fanatisme de certaines hordes, combat armes à la main ses opposants et devient, par sa bravoure, la reine des Berbères. Aujourd’hui encore, Tin Hinan, incarnation de l’intelligence et du charme, et Takamat sont considérées par les Touaregs comme leurs ancêtres.

Asseyez-vous autour d’un feu de bois et écoutez Takamat vous raconter leur épopée.

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1840/1861-Domfront – T2

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1840/1861 – DOMFRONT
 Volume 2 de cette saga historique

Marie Lelandais, aurait pu se fondre dans la population sans que personne ne la remarque, tant elle était discrète. Mais c’était sans compter sur Julien Salles, Maire de Flers, qui, ému par sa vie, décida d’en écrire les détails dans un mémoire qu’il présenta à l’Académie française,  pour qu’un prix de vertu lui soit accordé.
C’était en 1902.
Aujourd’hui, Marie revient nous faire le récit de sa vie en s’adressant à un petit garçon, Côme, que 7 générations séparent. Elle lui raconte avec simplicité ce qu’était sa vie dans ce 19éme siècle.
Dans le premier volume, son récit s’arrête en 1840, lorsque qu’un banquier vient la sortir de l’enfer où elle vivait. Une nouvelle vie s’offre alors à elle, une vie de confort, de sécurité. Elle connaîtra l’amitié sincère et rencontrera l’amour. Mais ce bonheur durera-t-il, dans ce siècle bercé par  tant de transformations politiques, techniques, économiques et sociales ?
Elle connaîtra dans les moindres détails les turbulences d’une famille bourgeoise, qui à l’automne de sa vie, fera prendre un détour insoupçonné à son destin.
La vie n’est-elle faite que d’un éternel recommencement ?

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1861 / 1902 – Paris-Flers T3

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1861/1902 – PARIS-FLERS
3ème et dernier opus de cette saga historique !

1861, Jacques-François LOUVEL, banquier de Domfront et protecteur de Marie,  meurt brutalement et bizarrement. La banqueroute est inévitable.
Paul-Prosper, le frère et associé de la banque Louvel frères, et directeur de la ferme-école du Saut-Gautier, disparaît à son tour. Seule la veuve doit faire face aux créanciers et sa ruine est inévitable.
Marie, sans hésiter et fidèle à la promesse qu’elle fit à son maître sur son lit de mort, décida de sauver sa famille du déshonneur et du scandale en fuyant avec elle et ses enfants pour la capitale, laissant derrière elle, son pays, sa famille, son amour.
Réussira-t-elle à survivre dans ce Paris misérable de ce début de 19ème siècle où une foule de personnes s’engouffre pour se noyer dans la masse ? Neuf ans plus tard, la guerre est annoncée. À nouveau, il faut fuir, se battre et recommencer…
L’auteure, Guylaine Bisson, originaire de Bellou-en-Houlme, un petit village de l’Orne a depuis sa tendre enfance, été passionnée de généalogie et d’histoire locale.
Le hasard, peut-être guidé par Marie Lelandais, lui a mis entre les mains l’écrit que Julien Salles, Maire de Flers dans l’Orne, a transmis à l’académie française en 1902. Ce texte, relatant les grandes lignes de la vie de Marie Lelandais, fut retenu par les académiciens qui décidèrent de lui attribuer le Prix Monthyon ou Prix de Vertu, haute récompense pour son sacrifice et son dévouement.
De ce mémoire, Guylaine Bisson a su, à force de recherches, d’enquêtes, de lecture, en faire un roman, décliné en 3 volumes, digne d’une série télévisée.
La façon dont Marie perçoit et raconte sa vie, avec force, énergie et humour, donne à ce roman, parallèlement à son histoire, une étonnante vision de l’histoire de France de ce 19ème  siècle.
Le roman de l’histoire de Marie Lelandais, ne se lit pas tout simplement, il se dévore.

la sexualité dévoilée : sexologue, féministe et musulmane


4ème de couverture personnalisé :


Nous pouvons être femme, féministe, sexologue et croyante, et respecter les croyances des autres. C’est ce que Nadia E Bouga nous montre dans ce récit. C’est l’histoire d’une femme qui est à la fois sexologue, féministe et musulmane.


Avis personnel sur ce livre :


Sur le site de la bibliothèque de ma ville je regardais les livres qui parlaient de féminisme, et j’ai vu celui-ci. Et j’ai été intriguée car le livre parle également de la religion musulmane et j’apprécie énormément découvrir de nouveaux livres et de nouvelles cultures, avoir différents points de vues autres que le mien. Après lecture de ce récit je peux dire que ce fut un véritable coup de cœur. Nadia El Bouga a une plume magnifique. Elle parle du statut de la femme musulmane, mais pas seulement, et du rapport à la sexualité sans tabou avec une justesse incroyable. L’autrice ne parle pas uniquement de la femme musulmane et de son rapport à la sexualité, mais de l’homme aussi. Cet ouvrage est d’une beauté incroyable. « La sexualité dévoilée : sexologue, féministe et musulmane » est un récit que je recommande avec force.

la querelle des femmes ou n’en parlons plus


4ème de couverture personnalisé :


L’autrice retrace les polémiques sur la place et le rôle des femmes, qui ont surgi en Europe depuis la fin du moyen-âge jusqu’à nos jours. Le récit s’exprimant au travers de traités ou d’œuvres d’art. Elle décrit les positions qui, quelque soit le domaine, ont visé à empêcher ou à faciliter l’accès des femmes aux activités, aux droits ou à une reconnaissance équivalents à ceux des hommes.


Avis personnel sur ce livre :


Tout d’abord je remercie Babelio et les éditions Ixe pour l’envoie de ce livre dans le cadre de la masse critique de Babelio du mois de Février.

Cette lecture fut très complexe car je n’ai pas l’habitude de ce genre d’ouvrages, mais cela était tout de même intéressant et ce livre m’a donné envie d’en lire d’autre sur le sujet, qu’est le féminisme. Quand j’avais lu le résumé je m’attendais à quelque chose comme un débat ou quelque chose d’y ressemblant. En réalité ce sont des faits historiques qui sont relatés. Comme je ne m’attendais pas à cette forme cela m’a un peu perturbé au début.

Je ne peux pas vraiment dire si j’ai aimé ou non car comme je l’ai dit un peu plus haut je n’ai pas l’habitude de ce genre littéraire mais en tout cas j’ai envie de découvrir d’autres ouvrages sur le sujet.

Bien que « la querelle des femmes ou « n’en parlons plus » » fut une lecture complexe ce fut une lecture très intéressante.

En avant toutes !


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Lorsqu’un macho, séduisant jusqu’au bout des chaussettes, et une féministe, séduisante jusqu’au bout des convictions, se rencontrent que se passe-t-il ? Quand la féministe adhère au club « En avant toutes ! » et le macho eu mouvement « Ni brutes. Ni soumis » ? Quand les deux s’affrontent violemment dans une émission de télévision et que, sans crier gare, l’Amour débarque dans la bagarre ? Les deux vont-ils réussir ce défi ? Un couple basé sur un équilibre nouveau?


Avis personnel sur ce livre :


Comment vous dire ? Parti dans l’idée de passer un bon moment, je ne peux que vous avouer mon désarroi et ma déception. D’un côté, le féminisme à 100%. De l’autre, le machisme également réglé sur 100%. Ni l’un, ni l’autre ne font et ne feront de concessions. Tel un mauvais film, l’on pense que la scène suivante sera meilleure. Malheureusement on s’y enlise de plus en plus et l’ensemble traine en longueur.

Ayant eu de bons avis sur Françoise Dorin sur d’autres sites internet mais n’ayant jamais personnellement lu autre chose de cette autrice, je reste perplexe. Je ne dis pas que je ne lirais rien d’autres de ses ouvrages, mais je ne m’attendais pas à faire un résumé aussi court de ce récit. Ceci n’est que mon jugement et ne peut être considéré comme parole d’évangile. Surement et je vous le souhaite, l’apprécierez-vous d’une autre façon ?

Vox


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Jean McClellan est une docteure en neuroscience. Il a passé tout son temps dans un laboratoire de recherches, loin des manifestations qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le désirait, il lui ait impossible de s’exprimer. En effet comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour, pas un de plus. Les femmes ont au poignet un bracelet, et si elles disent plus de 100 mots elles recevront des décharges électriques qui s’amplifieront en fonction du nombre de mots supplémentaires dits. Effectivement, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un group de fondamentaliste, a pris la décision d’abattre l’image de la femme moderne.

Malgré tout, quand le frère du président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. On peut se demander quelle sera la récompense ? A la clef il y aura la possibilité de s’affranchir, et sa fille avec elle, de son quota de mots. Mais ce qu’elle découvrira alors qu’elle a recouvré la parole pourrait très bien la laisser définitivement sans voix…

Christina Dalcher nous offre avec Vox une dystopie glaçante qui rend hommage au pouvoir des mots et du langage.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais beaucoup entendu parler de Vox sur les réseaux sociaux, et le résumé était très intéressant alors je l’ai emprunté à la bibliothèque. L’histoire est très intéressante mais révoltante à la fois, à tel point que parfois j’avais envie de jeter le livre par la fenêtre. En effet les femmes n’ont le droit de dire que 100 mots par jour. Pour comptabiliser les mots, elles portent un bracelet au poignet et si elles disent plus de 100 mots dans une journée, alors elles reçoivent une décharge électrique, qui s’amplifiera plus la femme dira de mots.

Le livre m’a fait penser à « V pour Vendetta », « 1984 » et « la servante écarlate » pour le côté soumission et le côté pureté aussi. Les mots garderont toujours leurs pouvoirs. C’est une très bonne lecture que j’ai beaucoup aimé. Certains personnages sont vraiment détestable.

Orlando


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Orlando est l’image des milles et une vie dont nous disposons, que nous étouffons et que seul Orlando libère. Car il lui donné de vivre trois siècles en ayant toujours trente ans.

D’abord jeune lord comblé d’honneurs, il est nommé ambassadeur en Turquie. Devient par la suite, une femme et rejoint une tribu de bohémiens, puis retourne sous les traits d’une femme de lettres dans l’Angleterre victorienne.

Assoiffée de vie et de poésie, tout comme Virginia Woolf, Orlando traverse les siècles et accumule les sensations. Il déploie les multiples facettes qui composent notre être. La nature de l’homme et de la femme, l’amour, la vie en société, la littérature, tout est dénudé.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais beaucoup entendu parler de ce livre quand je l’ai commencé. Ce livre prouve que je ne lis pas suffisamment de livres classiques, ou anciens car j’ai eu beaucoup de mal à le lire. Alors je ne l’ai pas lu en entier pour éviter d’avoir un avis négatif dessus. Ce qui est certain c’est que je le relirais un jour quand j’aurais lu un peu plus de classique.

La servante écarlate


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L’histoire se passe dans la république de Gilaed. Une république fondée par des fanatiques religieux. Devant la chute de la fécondité, ce gouvernement à réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles.

Defred est l’une d’elles. On lui a tout ôté, jusqu’à son nom. Cette femme est une « servante écarlate », car elle est vêtue de rouge. La jeune femme, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir en regagnant sa chambre à l’austérité monacale, elle songe aux temps anciens, où les femmes avaient le droit de lire, de travailler et de faire d’autres choses encore.

En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais entendu parler de ce livre grâce à la série du même nom. Avant de regarder la série je voulais lire le livre. Je l’ai lu en numérique, un moyen de lecture avec lequel j’ai du mal. Je trouve que j’ai les yeux qui se fatiguent vite, et selon le support on peut être vite déconcentré et faire autre chose. Comme je le disais, j’ai des difficultés avec la lecture sur écran, mais là avec « la servante écarlate » j’ai encore eu plus de mal. J’ai trouvé qu’il y avait trop de retour en arrière, et trop de dialogues sans transitions.

Bien que l’histoire soit intéressante, j’ai eu du mal avec ce récit. Peut-être que je le relirais, mais cette fois en version papier, car c’est peut-être la version numérique qui m’a perdue dans le récit.

Et j’abattrai l’arrogance des tyrans


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En 1381, le roi d’Angleterre décide d’augmenter les impôts pour remplir les caisses du pays. Un pays ruiné par la grande peste et la Guerre de Cent ans. Lorsque les paysans, apprennent cette décision, ils se rebellent. Parmi eux, on trouve John Wyclif, précurseur du protestantisme. Watt Tyler, grand chef de guerre. John Ball, un prêtre vagabond qui est pour l’égalité des hommes en s’inspirant de le Bible. Mais il n’y a pas que des hommes. Il y a aussi des femmes, comme Joana, qui est une Jeanne d’Arc athée, qui n’a pas sa langue dans sa poche. Elle rejoint cette aventure, en se disant que, puisque il est question d’égalité, il serait bon de parler d’égalité Homme-Femme.


Avis personnel sur ce livre :


J’avais commencé une première fois à lire ce récit, mais comme je n’arrivais pas à me concentrer pleinement dessus, je l’avais mis en pause. Je pense que j’ai bien fait de faire une pause car c’est un livre compliqué.
Le fond du livre est très intéressant, mais c’est la forme qui a rendu la lecture difficile en ce qui me concerne. Les pensées des différents personnages, les paroles de l’autrice, ainsi que le langage vulgaire, ont fait que j’ai eu du mal à suivre et que la lecture fût fastidieuse.
Je ne regrette pas la lecture de cet ouvrage, car cela m’a permis de découvrir une nouvelle plume mais, je ne suis pas pleinement convaincue par le style.

Une bonne épouse indienne


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L’un des fondements de la famille en Inde, est le mariage arrangé. C’est l’une des traditions à peu près immuables encore maintenue à l’heure actuelle par les femmes des familles, et à l’insu ou presque des principaux intéressés.
Neel est un indien qui a étudié aux Etats-Unis, et il est devenu un anesthésiste brillant dans le plus grand hôpital de San Francisco, il ne va pas échapper à cette tradition, malgré son passeport américain, et sa maîtresse californienne. Alors qu’il effectue un bref voyage en Inde, il se retrouve marié à Leila, qu’il n’a vu qu’une seule fois. Bien que Leila, soit belle et intelligente, Neel n’en veut pas. Pourtant, il est obligé de la ramener avec lui à San Francisco. Une fois sur place, il va lui mener la vie dure avec pour objectif de s’en débarrasser.
Au début, Leila sera apeurée, soumise et perdue dans un univers dont elle ignore les codes. Elle va pourtant se reprendre, deviner, comprendre et refuser d’accepter. Ce qui fait qu’elle va gagner sur toute la ligne. Sans bruit, sans drame, sans scènes et pas à pas, elle va prouver à son insupportable mari qu’il n’est pas aisé de se couper de ses racines, et qu’avoir une bonne épouse indienne, est sûrement la meilleure chose qui pouvait lui arriver.


Avis personnel sur ce livre :


Un jour alors que je faisais un tour dans une librairie, j’ai vu qu’il y avait des cônes surprises. Comme je n’avais pas d’idée particulière d’achat, et que je souhaitais découvrir de nouveaux livres, j’ai acheté un cône. A l’intérieur, il y avait, « une bonne épouse indienne » et quelques goodies. Je pense que j’ai bien fais, car cela fût une incroyable découverte. En plus, ce n’est pas le genre de livre vers lequel je vais à l’ordinaire.
La plume de l’autrice est incroyable. Je l’ai trouvé fluide. J’ai trouvé les personnages attachants sauf la tante de Neel, mais de mon point de vue, dans tous les ouvrages, il faut un personnage que l’on n’aime moins que les autres. En ce qui concerne Leila, je la trouvais parfois irritante à croire que, ce qui se passait dans les romans à l’eau de rose pouvait être vrai dans la vraie vie, mais d’un autre côté ses croyances la rendent très attachante.
Dans ce récit d’Anne Cherian, on découvre des choses sur la culture indienne ce qui est très intéressant. La lecture de ce livre fût une bonne lecture, et une jolie découverte.