Marina Tirion
- ECRIVAIN
- HUMOUR
- FANTASY
- EDITEUR
L’écriture n’est pas mon métier, mais j’adore ça. C’est comme lire un livre, c’est une bouffée de plaisir qui permet de s’évader dans un monde ou un autre qu’on est le seul à connaître dans son ensemble.
Pourquoi le Storytelling ?
Il y a ceux qui dessinent, il y a ceux qui font du sport. Moi, j’écris, et j’aime écrire des histoires qui lient action, humour et mystère…
Écrire c’est un loisir comme un autre, non ?
Interview, impressions...
Qu’est-ce qui vous a inspiré à devenir auteur ?
Ma passion pour la Grèce Antique et sa mythologie est née alors que j’étais gamine. C’est une source d’inspiration inépuisable.
J’ai toujours écrit. De petites histoires, rarement terminées. J’ai souvent eu des périodes sans écrire, et c’est souvent la lecture d’un livre qui redéclenche mon amour pour l’écriture.
“Harry Potter” a été le premier. J’ai commencé à concevoir un monde nouveau, avec une histoire. J’ai conçu l’intégralité de l’énigme et jeté toutes mes idées, mais je n’ai jamais terminé l’achèvement du roman. Il est là, quelque part dans un tiroir.
Récemment, la lecture de romans mettant en scène les dieux grecs, comme “Le dernier Oracle” d’Angès Rabotin, “Neon Gods” de Katee Robert, ou encore “Witch and God” de Liv Stone, m’a donné envie de reprendre l’écriture.
De nombreuses idées ont germé dans mon cerveau et tout s’est enchaîné : les personnages, l’environnement, l’univers, la chronologie, l’histoire. Et en six mois, “L’Ombre de l’Étoile” est né.
- Pour vous qu’est-ce que signifie être auteur ?
Être auteur ?
C’est avant tout aimer laisser cours à son imagination. Écrire un livre, c’est avoir un début et avoir une fin, puis il faut broder le milieu. Mais, s’il faut oser, il faut toujours rester cohérent avec l’histoire. Si un personnage fait quelque chose, c’est pour apporter un plus dans le récit, sinon, c’est inutile qu’il le fasse.
C’est aussi avoir de bonnes connaissances de son sujet. Avoir un carnet de notes, ou plusieurs, afin de poser les idées, les phrases qui surgissent de nulle part alors que l’on fait autre chose.
Mais surtout, lorsque j’écris, c’est pour mon propre plaisir. Je suis ma première fan, mon premier critique et la première personne que je dois satisfaire.
Que voulez-vous transmettre à travers vos œuvres ?
Mes histoires sont inspirées des civilisations anciennes et de leurs mythologies, l’Égypte, la Grèce, la Viking… Je passe beaucoup de temps à me documenter afin de respecter le plus possible les histoires des dieux et autres personnages mythologiques. Bien évidemment, j’y ai incorporé mes propres panthéons et je l’ai volontairement modifié le monde biblique, pour des questions d’éthique, tout en respectant certains fondamentaux.
Il est amusant de découvrir que ce qu’on sait, ou l’image que nous renvoient les films ne correspond pas vraiment à la réalité historique ou mythologique. Si, je prends l’exemple de Thor et Loki, dans Marvel, ils sont frères, mais dans la mythologie nordique, Loki est le frère de sang d’Odin.
Mes romans racontent des histoires faites d’action et d’humour, avec le véritable mythe autour du divin. Si le lecteur va se documenter après sa lecture, alors c’est gagné !
- Pour la suite, quels sont vos futurs projets ?
“Athánatos” est un univers gigantesque et, déjà, un ensemble de projets de plusieurs années. “L’Ombre de l’Étoile” est un premier tome, et le second ne va pas tarder. Il est possible qu’il y ait aussi un tome 3. J’ai déjà des idées, mais ce ne sera pas avant 2025.
Il y aura d’autres livres avant sa sortie.
Car “L’Ombre de l’Étoile” n’est l’histoire que d’un personnage parmi tant d’autres. J’ai déjà prévu environ huit livres, avec les deux romans de “L’Ombre de l’Étoile” déjà écrits, plus une saga de plusieurs romans, toujours dans le même univers, d’un personnage qui me tient à cœur.
Il n’est pas improbable que d’autres sujets germent et viennent se greffer dans la chronologie.