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Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le passais – T1

Marie LELANDAIS « Le prix de vertu » – 1789/1839 – Le Passais
En 1902, Julien Salles, maire de Flers dans l’Orne présenta à l’Académie Française un mémoire relatant la vie de Marie LELANDAIS (1821-1902), afin que lui soit décerné « Le Prix de Vertu ». 110 ans plus tard,  Marie revient raconter sa vie à Côme, que 7 générations séparent.
Elle raconte sa vie simplement, parfois avec son parler du pays bas-normand et toujours avec honnêteté, sincérité et humour.
Afin que Côme comprenne bien comment elle a vécu et pourquoi sa vie a été celle qu’elle fût, elle entreprend de commencer son récit par l’histoire de ses deux grands-pères : le « Bleu » et le « Blanc » ou le « Républicain » et le « Chouan », qui s’affrontèrent pendant la Révolution.
Elle raconte le monde rude des paysans normands de cette époque, nous raconte sa vie en tant que bonne de ferme dans ce début de 19éme siècle.
Il s’agit d’une histoire réellement vécue où l’histoire d’une personne, l’histoire locale et l’histoire de France se mêlent.

Il s’agit là du premier volume de cette saga historique 1789/1902
« Cette personne a existé : c’était Marie-Jeanne-Julienne Lelandais.  Tout le monde dans la contrée connait la belle conduite et le dévouement de cette fille……Profitant de la confiance qu’elle m’a accordée, je lui fais raconter tous les détails de son existence ; elle me fait souvent couler des larmes, mais à chaque visite, je recommence à la questionner tant j’éprouve d’émotion et de bonheur à entendre cette brave fille me parler avec simplicité et comme d’une chose toute naturelle des actes d’héroïsme qu’elle a accomplis.. »

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1840/1861-Domfront – T2

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1840/1861 – DOMFRONT
 Volume 2 de cette saga historique

Marie Lelandais, aurait pu se fondre dans la population sans que personne ne la remarque, tant elle était discrète. Mais c’était sans compter sur Julien Salles, Maire de Flers, qui, ému par sa vie, décida d’en écrire les détails dans un mémoire qu’il présenta à l’Académie française,  pour qu’un prix de vertu lui soit accordé.
C’était en 1902.
Aujourd’hui, Marie revient nous faire le récit de sa vie en s’adressant à un petit garçon, Côme, que 7 générations séparent. Elle lui raconte avec simplicité ce qu’était sa vie dans ce 19éme siècle.
Dans le premier volume, son récit s’arrête en 1840, lorsque qu’un banquier vient la sortir de l’enfer où elle vivait. Une nouvelle vie s’offre alors à elle, une vie de confort, de sécurité. Elle connaîtra l’amitié sincère et rencontrera l’amour. Mais ce bonheur durera-t-il, dans ce siècle bercé par  tant de transformations politiques, techniques, économiques et sociales ?
Elle connaîtra dans les moindres détails les turbulences d’une famille bourgeoise, qui à l’automne de sa vie, fera prendre un détour insoupçonné à son destin.
La vie n’est-elle faite que d’un éternel recommencement ?

Marie Lelandais « Le prix de vertu » – 1861 / 1902 – Paris-Flers T3

Marie LELANDAIS / « Le prix de vertu » / 1861/1902 – PARIS-FLERS
3ème et dernier opus de cette saga historique !

1861, Jacques-François LOUVEL, banquier de Domfront et protecteur de Marie,  meurt brutalement et bizarrement. La banqueroute est inévitable.
Paul-Prosper, le frère et associé de la banque Louvel frères, et directeur de la ferme-école du Saut-Gautier, disparaît à son tour. Seule la veuve doit faire face aux créanciers et sa ruine est inévitable.
Marie, sans hésiter et fidèle à la promesse qu’elle fit à son maître sur son lit de mort, décida de sauver sa famille du déshonneur et du scandale en fuyant avec elle et ses enfants pour la capitale, laissant derrière elle, son pays, sa famille, son amour.
Réussira-t-elle à survivre dans ce Paris misérable de ce début de 19ème siècle où une foule de personnes s’engouffre pour se noyer dans la masse ? Neuf ans plus tard, la guerre est annoncée. À nouveau, il faut fuir, se battre et recommencer…
L’auteure, Guylaine Bisson, originaire de Bellou-en-Houlme, un petit village de l’Orne a depuis sa tendre enfance, été passionnée de généalogie et d’histoire locale.
Le hasard, peut-être guidé par Marie Lelandais, lui a mis entre les mains l’écrit que Julien Salles, Maire de Flers dans l’Orne, a transmis à l’académie française en 1902. Ce texte, relatant les grandes lignes de la vie de Marie Lelandais, fut retenu par les académiciens qui décidèrent de lui attribuer le Prix Monthyon ou Prix de Vertu, haute récompense pour son sacrifice et son dévouement.
De ce mémoire, Guylaine Bisson a su, à force de recherches, d’enquêtes, de lecture, en faire un roman, décliné en 3 volumes, digne d’une série télévisée.
La façon dont Marie perçoit et raconte sa vie, avec force, énergie et humour, donne à ce roman, parallèlement à son histoire, une étonnante vision de l’histoire de France de ce 19ème  siècle.
Le roman de l’histoire de Marie Lelandais, ne se lit pas tout simplement, il se dévore.

La folie de l’exil

Le soleil s’était couché pour toujours lorsque tes paupières se sont fermées ce jour. Quand l’aube a pointé son nez, cela ne t’était plus destiné, pour l’éternité. J’espère un jour cueillir quelques matins avec une quiétude apaisante, sans ce bouleversement saisissant qui m’assaille actuellement dès mon réveil, pour ne plus partir. Quand la mort est annoncée c’est pour ne plus nous quitter. Ce retour en arrière impossible. 

Inesa rêve. Elle éprouve ses sentiments dans un sursaut de vie, elle galvanise ses proches, les préserve.

Clara et Sevan sont deux adolescents qui traversent les tourments, les doutes, les inquiétudes, la noirceur familiale. Ils tentent de lever le voile sur une intimité ébranlée.

A travers le secret et l’histoire familiale dévoilée, pourront-ils trouver une limite entre l’exil et la folie ?