Mon âme n’a point tolérance de la mort.
— Paul Claudel —
Toi, mon âme et la mort
Après un malaise inexplicable, Benjamin se retrouve brutalement hospitalisé À son réveil, un voile épais recouvre ses souvenirs, laissant dans l’ombre les moments qui ont précédé ce dramatique épisode.
Mais une douloureuse nouvelle lui est révélée : sa femme et sa fille, en route pour le rejoindre à l’hôpital, ont été victimes d’un accident de la route.
Leur disparition abrupte plonge Benjamin dans un cauchemar éveillé, où le deuil se mêle à l’amnésie.
Au cœur de la tourmente, une réalité plus déconcertante se dévoile peu à peu. Benjamin réalise qu’il est en proie à des bonds dans le temps, des sauts qui le transportent sans crier gare vers des moments passés ou futurs, sans qu’il puisse en comprendre le pourquoi ni le comment.
Plongé dans cette dualité entre une vie fragmentée par les sauts temporels et le deuil inconsolable de ses proches, Benjamin se lance dans une quête effrénée pour élucider le mystère qui lie ces deux réalités. Chaque saut dans le temps devient un indice à décoder, chaque instant vécu devient un pas de plus vers la vérité.
« Toi, mon âme et la mort » vous plonge dans l’univers tourmenté d’un homme en lutte contre les méandres du temps.
| Poids | 295 g |
|---|---|
| ISBN 13 | 9782955903148 |
| Format | Broché |
| Nb pages | 230 |
| Parution | 18-09-2023 |
| pa_public | AD2MG AUTOEDITION |
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Cell.7 Tome 1- La mort vous regarde
4ème de couverture personnalisé :
Jackson Paige, ancienne star vedette de téléréalité, a été assassiné. La coupable, restée sur les lieux du crime a déjà tout avoué. Son nom ? Martha Honeydew, seize ans. En vertu de la loi des Sept Jours de Justice, Martha est placée en détention dans la Cellule 1 du couloir de la mort. C’est la première adolescente à être jugée par le système Chacun Sa Voix, dans lequel ce sont les téléspectateurs, qui décident du sort des accusés.
Chaque jour, la jeune adolescente avancera d’une cellule, vers la Cellule numéro 7, où le vote des spectateurs déterminera si ou non elle doit être exécutée.
Dans ce livre il n’y a plus de procès, plus de tribunal, plus de jury. Toute personne reconnue coupable est envoyée dans le couloir de la mort en commençant par la cellule numéro 1. Chaque jour l’accusé change de cellule pour arriver à la numéro 7, l’endroit dans lequel il ou elle apprendra si ce qui l’attend est la liberté ou la mort. Ce couloir de la mort est rempli de caméra, afin que le public puisse suivre ce qui s’y passe et déterminer si l’accusé doit vivre ou mourir. C’est une sorte de téléréalité.
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Lorsque j’ai fait un tour en librairie j’ai été attirée par la couverture miroitante de ce livre. Par conséquent j’ai lu le résumé, et je l’ai acheté car il m’avait intrigué. Un jour je l’ai commencé, mais j’ai mis ma lecture en pause car j’avais débuté d’autres livres que je voulais finir. Une fois ces lectures terminées j’ai repris Cell.7, mais avec le recul je me dis que ce n’était pas une bonne idée, car je n’arrivais plus à rentrer de nouveau dans l’histoire et à m’y intéresser.
J’ai trouvé l’intrigue très intéressante, mais lorsque j’ai recommencé à lire l’ouvrage là où je l’avais arrêté, je trouvais ça long et répétitif. Mais je crois que c’est parce-que Cell.7 est un livre à lire en une seule fois et non en plusieurs. Du moins de mon point de vue.
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Dans « Depuis l’au-delà » nous suivons Gabriel Wells qui est écrivain. Son genre littéraire est le policier et tout ce qui relève du monde de l’enquête. La prochaine énigme qu’il devra résoudre, en est une toute particulière. Afin de mettre un point final à l’histoire, il devra enquêter sur sa propre mort.
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Avis personnel sur ce livre :
J’ai trouvé ce livre vraiment génial. Dès les premières pages nous sommes plongés dans l’histoire et nous n’avons pas envie de lâcher la lecture. Bernard Werber, par ses personnages, nous fait mener une enquête tout en restant fidèle à son univers. A savoir la fiction, la philosophie et la réflexion sur soi.
Au fil des pages nous avons plusieurs suspects, mais aucunes des personnes auxquelles nous pouvons penser n’est coupables. Parfois ce sont les plus petits détails qui révèlent la vérité.
Pour conclure c’est un récit vraiment bien écrit et bluffant. Une œuvre que je recommande avec la plus grande sincérité.
De fièvre et de sang
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L’histoire débute quand une jeune femme se réveille entièrement nue sur un matelas couvert de sang. Elle sait qu’elle va mourir, elle le sent au plus profond d’elle-même. La douleur semble insignifiante en comparaison de la peur, que cette jeune femme ressent…
Le commandant Vauvert, travaillant pour la police de Toulouse, va mener l’enquête en compagnie d’Eva Svärta, une profileuse albinos travaillant à Paris. La profileuse, qui est un personnage excentrique et hors norme, a un véritable sixième sens qui fait d’elle une redoutable traqueuse de l’ombre.
Qui est donc le coupable que les deux commandants traquent ? Une réincarnation ? Un spectre ? Ou une créature d’un autre monde ?
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Pour « De fièvre et de sang » j’avais en pause ma lecture, car je pense que si je l’avais lu d’une traite, je n’aurais pas autant apprécié que cela ma lecture de ce récit. Je pense que j’avais une surdose de ce genre littéraire, qu’est policier/fantastique/thriller, au moment où j’ai commencé l’ouvrage.
J’ai trouvé l’histoire bien faite, l’écriture fluide et les personnages attachants, en particulier Eva. Pour conclure « De fièvre et de sang » est un livre palpitant et haletant. De mon point de vue, c’est un livre qu’il ne faut pas lire le soir quand on est seul(e) et que l’on est peureux(se).
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Marine une jeune femme mariée et enceinte d’un enfant tant attendu, a décidé d’avorter en cachette de tout le monde. Après son avortement, elle s’est enfuie sans fournir la moindre explication, le moindre détail. Pourquoi a-t-elle fait cela ? Pourquoi Marine s’est-elle enfuie et se cache-t-elle ?
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En refermant ce livre, je me suis dis que 156 pages suffisaient amplement. J’ai trouvé que le récit trainait en longueur. D’un autre côté, même s’il était long, il y a des moments où c’était rapide car certains évènements sont à peine effleurés. Cela fait qu’on n’a pas le temps de s’attacher aux personnages.
Peut-être que si je l’avais lu à un autre moment, je l’aurais mieux apprécié. Même si je n’ai pas temps apprécié le livre, cela m’a permis de découvrir une autrice que je ne connaissais pas et je lirais d’autres livres d’elle sans problème.
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J’ai lu ce livre, car Stephen King est un auteur dont j’apprécie particulièrement la plume. Joyland est le quatrième livre que je lis de cet auteur.
Je reconnais que je suis un peu déçue en ce qui concerne cette lecture, car le résumé est trompeur. Quand j’ai regardé la quatrième de couverture, je m’attendais à de l’angoisse, de la peur et du suspense, mais ce ne fût malheureusement pas le cas. J’ai trouvé que cela ressemblait à un journal intime, où le narrateur racontait ce qui lui était arrivé l’été de ses 21 ans, et les mois qui ont suivi.
Ce qui m’a déçu c’est que le résumé nous promettait plein de choses, mais l’histoire n’a pas suivi. Hormis cela, ce fut une bonne lecture que j’ai aimé. L’écriture de King est toujours aussi prenante. On plonge facilement dans l’histoire et nous avons envie de connaitre la fin.
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Aujourd’hui avec le recul, lors de ma deuxième lecture, j’ai mieux apprécié cet ouvrage, car je n’étais pas dans un passage à vide. J’arrive à me concentrer sur mes lectures. Ce qui fait que mon avis à quelque peu évolué. L’histoire est vraiment intéressante. Lors de ma première lecture, j’avais trouvé dommage que certains points soient survolés, et certains personnages à peine nommés. Aujourd’hui, avec le recul je me dis que c’est mieux comme cela, car ça rend l’histoire plus prenante encore. S’il y avait eu plus de détails, je pense que j’aurais décroché, alors que là c’était parfait.
En tout cas je recommande sincèrement cette autrice.
Avis
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